"Fermeture" de London Calling
Après cinq années sur la toile, London Calling ferme ses portes. Toutes les infos par ici Ashley _ _ Keep calm and come with me in my bed. 2979874845 Ashley _ _ Keep calm and come with me in my bed. 1973890357
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Ashley _ _ Keep calm and come with me in my bed.

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() message posté Dim 19 Oct 2014 - 20:54 par Invité
Keep calm and come with me in my bed.
feat. Ashley & Alfie
Le plaisir est dans la chasse et non dans la capture Agatha Christie
Une journée un peu comme les autres faut dire, je m'occupais de mon grabatère preferer et de son cancer du colon. Alors que je lui prodigué les soins, je remarques que sa tension est trop haute, comme si... Oui le drame fut arrivé, Le viel homme de 80 ans avait les symptomes d'une crise cardiaque. Le medecin en moi c'est sentis l'âme d'un héros et décide d'apeller une ambulance pour l'emmener à l'hopital. Je les ai suivis étant son infirmier, je voulais voir la suite et je m'inquiétais beaucoup pour lui. Je fus embarqué dans l'hopital le plus proche. Je dois dire que je m'attendais pas a un appel en pleine nuit pour m'occuper de lui. Il était 23 heures, Les couloirs blanc et froid de l'hopital me tendèrent déjà les bras. J'attendais dans le couloir des soins intensifs. Habiller de mon habit de travail a la BBC, oué j'étais tout de même professionnel, costume noir et cravate fine... J'attendais le retour des medecins et de ce que je venais d'entendre il allait d'urgence au bloc opératoire. Je tendais mon téléphone voyant a nouveau un sms d'Isaac qui me voulait au bureau. je voulais pas ... pas ce soir j'en avais marre de passer mes nuits à la BBC. Je voulais dormir surtout. Enchainer deux tafs n'étaient surement pas la bonne solution. C'est alors entre deux infirmieres qui rigolaient ensemble, que je le vis. Il était plutôt mignon. Un regard, tout s'est joué en un regard remplit d'un desir sur le coup. On dit souvent que ceux qui ont des orientations sexuelles déviantes repere vite leurs confrères. Je n'y croyait pas un instant, sauf ce soir. Je comprenais une chose le jeune homme avait des envies. Je savais que j'en aurais pour la nuit a passer a l'hopital... Autant avoir un peu de distraction non. je me decolle du mur pour m'approcher de lui, je vis son regard se porter vers une porte, je connaissais pas cette hopital. Je ne saurais dire ce que se serait derrière. Cela dit il rentra en premier, j'eu un sourire. prenant largement le temps pour rentrer, j'observer autour de moi, ce soir cela semblait calme à l'hôpital une première je dois dire. Malgré des infirmières qui riait de moi comme des commères attiré par mon coté seducteur dans ce costume, je leurs souris en dénouant ma cravate, j'attendais qu'elles detournent les yeux pour pouvoir rentrer dans cette pièce. Je m'approchais de la porte et quand je vis l'opportunité s'ouvrir, je glissa ma main sur la porte pour l'ouvrir et rentrer à l'interieur. il fit noir je me sentais un peu à l'étroit avant que cela n'arrive...
© Gasmask  
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() message posté Dim 19 Oct 2014 - 22:33 par Invité

Keep calm and come with me in my bed
Alfie & Ashley

Garde de merde après une journée de merde – vie de merde comme on dit. Comme si, après avoir passé une journée entière dans le service d'Oncologie, la seule chose dont je rêvais était de me retrouver aux urgences pour la nuit. J'aurais peut-être dû échanger ou revendre cette garde – si ce n'est que j'avais nulle part où aller ce soir. Aucune sortie de prévue, aucun ami à voir : rien sinon une soirée morose sur mon canapé à retweeter des messages amusants ou à regarder une série sur mon portable. Tu parles que je sois déprimé. Une journée entière à accueillir des familles qui venaient accompagner des patients rendant leurs derniers souffles, j'espérais au moins qu'aux urgences il me serait permis d'espérer plus.

Tri. Les patients s'enchainaient et je soignais les légères blessures qu'ils avaient – seuls ceux qui ne sont pas réellement urgents viennent ici. Une entorse, un rhume, une douleur innocente. Patient après patient, je prescrivais du Paracétamol en me disant qu'eux, au moins, survivraient jusqu'au lendemain. La règle était très simple : rush impossible jusqu'à minuit environ puis vide absolu. A croire que personne ne voulait perdre sa nuit à l'hôpital pour une broutille. Si seulement ces idiots pensaient pareil toute la journée et pas seulement entre minuit et midi, ce serait une victoire pour tous les internes ici. Le déchoc sonne – un patient devait être arrivé dans un sale état. Derrière la porte de la cabine, l'infirmière appelait le bloc, à croire qu'il y aurait de l'action ce soir.

Saturation. J'ai vidé le tri entier à 23h, je pouvais enfin aller dormir. La chambre de garde est laide et montre bien les efforts que met l'hôpital dans le bien-être de ses internes, à se demander si, vu l'heure, il ne me serait pas juste mieux de rentrer chez moi. Sortir de la cabine, lentement – courir dans un hôpital est et sera toujours mal vu. Adossé au mur en face du poste de soin, je le voyais enfin. Les deux infirmières de nuit discutaient tranquillement alors que je m'approchais d'elle.

"On dirait que la mort nous rend visite ce soir..."

Les voilà qui gloussaient comme pas possible, plus discret tu meurs. Evidemment, il tourna son regard vers elles et, par la même occasion moi. Je n'oublierai probablement pas ce moment – d'après les livres, semblable à celui que l'on a en prenant un trait de coke. Mon cœur accélérait brusquement et mes pupilles se dilataient tandis que ma gorge s'asséchait en un rien de temps. Putain, il était beau. Totalement beau. Quand nos regards se sont enfin croisés, c'était instinctif : je savais qu'il savait que j'avais envie de lui, là, maintenant, tout de suite. Je déteste être porté par le peu de libido que j'ai, mais dès qu'elle frappe, je sens mon pantalon se resserrer. Je lançai mon regard rapidement vers la porte de la chambre de garde, il le suivit. Légère sourire sur les lèvres, je me suis enfin dit que cette nuit n'était pas SI pourrie que ça. Les deux femmes riaient délicatement à je ne sais quoi, c'était le moment opportun. J'entrais dans la chambre en premier et m'asseyais sur le lit dans le noir.

Une minute. Deux. Cinq minutes. Aurais-je mal perçu les signes ? Soudain, la porte grinça et je vis sa silhouette s'engouffrer dans la petite pièce. C'était le moment ou jamais. D'un geste quelque peu brusque, je le plaquai contre la porte tout en écrasant mes lèvres contre les siennes. De ma main droite, j'ai maladroitement remis la clef dans la serrure et l'ai tournée à moitié – signe universel qu'on était "occupé" en chambre de garde pour tous les gens en ayant la clef. Il sentait bon et son corps contre le miens propulsait mes sens dans la stratosphère. C'était un tout et une chose était sûre – ce soir j'allais en profiter. Sourire mesquin sur les lèvres, je me lançai une nouvelle fois sur son corps, déterminé à rester contre la porte et éviter le lit… De toute façon, la nuit serait la seule à porter le blâme ce soir.

© EKKINOX
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() message posté Lun 20 Oct 2014 - 0:09 par Invité
Keep calm and come with me in my bed.
feat. Ashley & Alfie
Le plaisir est dans la chasse et non dans la capture Agatha Christie
A voir les deux infirmière se pavanaient devant moi derrière leurs comptoir, la vue du medecin se glisser dans la salle de repos, me fit doucement sourire. J'avais entendu ce qu'il venait de dire. Voila que je ressemblait a la mort, maudit costar. J'hésitais a rentré quoi que l'idée me plaisait sincerement, j'avais ma main sur la poignée quand j'entendis les infirmieres ricanait a nouveau. En me retournant je remarquais qu'elle faisait une fixette sur le téléviseur qui rediffuser un vieu Mr beans... les gens de nos jours... Je venais a peine de rentrer, cela sentait la sueur dans cette salle. Cela me perturba l'espace d'un instant tenant encore ma cravate à la main et refermant tranquillement la porte, j'essayais de percevoir l'ombre du jeune homme. Je sentis une ombre s'approchais de moi, me plaquant contre la porte, j'en laissa tomber ma cravate sur le sol la sentant filer sous mes doigts, alors que les lèvres de mon inconnu me percuta dans un tango sainglant. Je dois dire que ce baiser passioné me plut dés le début. Me faisant penser que j'allais surement passer une très bonne fin de soirée. Je sentis sa main me froler atteignant alors la serrure pour y glisser la clefs pour la fermé. Je n'aurais donc aucune échappatoir, l'idée me plaisait fortement. L'une de mes mains quand a elle se glissa sous la tunique du jeune homme, je pouvais sentir sa peau, elle était chaud et douce. Je pouvais ressentir le feu qui brûler en lui, c'était agréable. Même de ressentir ses lèvres a nouveau sur les miennes commencait a me faire peter un cable dans mon esprit. Ma deuxieme main, se glissa pour rejoindre l'autre. remontant alors le haut de l'uniforme du jeune medecin. Une fois le vêtement a terre, mes lèvres descendirent le long de sa nuque, alors que mes mins découvrit un peu plus du physique du jeune homme. Je glissa ma main le long de sa jambe jusqu'à sa cuisse, son pantalon me derangeait à un point inimaginable. mes lèvres remontèrent recuperant la passion qu'il faisait preuve à mon arrivé. Je sentis ma veste tomber sur le sol, j'en profita un instant pour arreter le baiser pour regarder de plus pres le corps de Ashley, j'eu un sourire satisfait sur les lèvres en disant: " Sympa la vue..." lui disais-je d'un grand sourire alors que mes mains remontèrent sur les reins du jeune homme. Je l'embrassa peur de temps après alors que ma main se glissa dans ses cheveux, mon autre main se glissa sur son pantalon sentant alors qu'il était bien trop serrer la dedans, j'eu un sourire remplit de malice. Alors que mes doigts jouèrent les funambules avec l'elastique de son pantalon. Tirant legerement sur la ficelle avant son pantalon lui tombe sur les jambes. le laissant alors en sous vêtement face à moi... Je dois dire je n'ai pas déshabiller un homme aussi vite que maintenant. C'était agréable comme sensation de pouvoir.
© Gasmask    
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