"Fermeture" de London Calling
Après cinq années sur la toile, London Calling ferme ses portes. Toutes les infos par ici joint custody. (walt) - Page 2 2979874845 joint custody. (walt) - Page 2 1973890357
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() message posté Ven 21 Nov 2014 - 16:34 par Invité
Rose regrette que la tasse ne soit pas pleine ou alors qu’elle n’ait pas autre chose sous la main à lui envoyer en pleine figure. Fait inexistant jusqu’à aujourd’hui, elle a envie de passer ses nerfs sur lui ou faire n’importe quoi pour qu’il comprenne à quel point il a poussé le bouchon beaucoup trop loin cette fois. « T’es pas trop énervée sinon tu m’aurais appelé Walter… » Si son nom complet, ou plutôt quasi complet pour le coup, ne suffit plus pour prouver l’état dans lequel cette découverte vient de la mettre… En dehors de froncer les sourcils encore plus, la jeune femme ne fait rien. Ce. N’est. Pas. Drôle. Et ça n’en vaut certainement guère le coup. Elle est pas mal énervée, du genre qui arrive peu souvent. « Je te jure que c’est elle qui m’a dragué, elle m’a fait du rentre dedans de fou, même Olaf saute pas sur les gens comme ça. Elle foutait ses mains tout partout et puis une chose entraînant une autre, je pensais absolument pas à toi à ce moment-là. Ce qui devrais te rassurer d’ailleurs. » Encore heureux qu’il n’ait pas pensé à elle à ce moment-là. Ça aurait été un comble en plus d’être particulièrement dégueulasse. Elle pose ses mains sur ses hanches et le fixe, droit dans les yeux, à défaut de cherche autre chose à lui jeter à la figure. C’est fou ce qu’elle peut atteindre si elle fait juste quelques mètres : une poêle, la bouilloire, une autre tasse… Quelques mètres et des objets déjà plus dangereux. Quelques mètres et la société pourrait la classer comme une femme dangereuse. « Attends, ça veut dire que si on va sur un pont et que je te demande de sauter, tu sautes ? » Non parce que s’il ne peut pas céder aux avances d’une femme, il ne doit pas être bien résistant à quoi que ce soit dans le fond. « Je sais pas ce que tu leurs racontes à tes copines aussi… faut que t’arrêtes de dire que je suis le coup du siècle ou je sais pas quoi. » Elle baisse les yeux. Coupable. Enfin presque. En effet, Rose a longtemps faire croire que monsieur était le coup du siècle (sans même avoir voulu un jour tester la « marchandise » elle-même). Mais ces histoires commencent à remonter et cela lui est passé. Depuis, elle est plutôt restée muette sur le coup. Il faut croire que c’est son entourage féminin qui a délibéré le côté « connard fini » et/ou n’a pas su tourner la page. « Puis j’ai fais comme tu dis toujours, je l’ai prévenu que je cherchais rien de sérieux, je lui ai pas promis de promenades en calèches et des weekends en France. Je comprends pas pourquoi elle s’accroche.. » Enfin prête à se calmer (franchement, il y a pire dans la vie : il pourrait avoir fait un gosse dans son dos avec une de ses amies), Rose secoue la tête, soupire et retourne s’assoir. « Parce que… C’est dans la psychologie féminine de vouloir changer les gens, d’être optimiste, bienveillante, ce genre de choses quoi. » Pause. « Enfin c’est pas le cas de toutes, mais de beaucoup… » Rectification. « Tu mérites vraiment ce gage d’abstinence parfois. » La jeune femme a terminé son blabla de psychologue - digne d’un magazine grand public soit dit en passant. Elle ne peut pas s’empêcher de lever les yeux au ciel : Walt est terrible… « En attendant, il va vraiment falloir que tu mettes les choses au clair avec elle. » Elle le met au défi à l'aide de son fameux regard froid. Le dernier, promis (enfin elle va essayer de s’y tenir).
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() message posté Jeu 27 Nov 2014 - 14:09 par Invité
Elle semble redescendre en pression, ce qui soulage un peu Walt. Même s'il s'amuse à la taquiner et la faire monter sur ses grands chevaux, il n'aime pas pour autant se disputer avec elle. C'était d'ailleurs plutôt rare qu'ils se disputent tout court, sinon ils n'auraient probablement jamais réussi à rester colocataires pendant aussi longtemps. Elle reprend position sur son siège, sans qu'il n'ait subi aucune blessure irréversible, on peut considérer qu'il s'en sort plutôt bien. Heureusement que Rose est une personne raisonnable. « Parce que... C'est dans la psychologie féminine de vouloir changer les gens, d'être optimiste, bienveillante, ce genre de choses quoi. ». Il la regarde sceptique, parce qu'on dirait une description du monde des bisounours qu'il offrirait à un gamin de sept ans. Peut-être que Rose est parfaite, bienveillante et tout ce qu'elle raconte, mais c'est loin d'être le cas de la majorité des filles qu'il a fréquenté. Crever ses pneus, lui laisser des messages flippant, ce n'est pas vraiment ce qu'il appelle de la bienveillance. « Enfin c'est pas le cas de toutes, mais de beaucoup... ». Au moins, elle est aussi en est consciente. Il est toujours sceptique ou alors, il est le plus gros poisseux de la planète et il n'attire vraiment que les psychopathes. « Tu mérites vraiment ce gage d'abstinence parfois. ». Il se permet de rigoler, maintenant que Rose a perdu l'envie de le tuer. Aucun doute que sa vie serait bien moins compliqué, s'il pouvait la garder dans le pantalon pendant un moment, mais Rose serait privée de son sujet de conversation favoris. Walt sait très bien qu'elle adore entendre le récit de ses aventures, puis comme cela il n'est pas tenté de la questionner sur la sienne. « En attendant, il va vraiment falloir que tu mettes les choses au clair avec elle. ». C'est plus fort qu'elle, elle ne peut pas s'empêcher de lui faire la morale, ce qui fait lever les yeux au ciel à Walt en réaction. « Oui maman. ». Rien est certain qu'il s'exécute, il est même quasiment sûr qu'il va continuer à faire le mort et attendre qu'elle se lasse. Cela soulage Rose et elle le laisse tranquille pour le moment. À part si elle le force à prendre le téléphone tout de suite pour la rappeler, il ne voit vraiment pas pourquoi il s'exécuterait. « Promis je ferai ça bien. Des conseils ? Faut que j'utilise le fameux c'est pas toi c'est moi ? ». Un pieu mensonge ça n'a jamais fait de mal. Walt n'a aucun scrupule à mentir sur le sujet, après tout c'est elle qui le force à être un mec bien et rappeler une nana qui le stalke et le fait un peu flippé. En voyant réapparaître Olaf dans son champ de vision (après avoir sûrement fait une connerie), Walt se rappelle soudain qu'il avait quelque chose à lui demander à son sujet. « Dit, les chiens ça peut faire une dépression ? Parce qu'il est bizarre en ce moment. T'as rien remarqué ? ». Comme s'il comprenait qu'on parle de lui, le chien se dirige directement vers Rose pour venir quémander sa dose d'affection avec son petit air penaud.
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() message posté Sam 20 Déc 2014 - 16:24 par Invité
De toute façon, peu importe ce que Rose peut lui dire, ça ressortira certainement aussi vite que c’est rentré. Enfin… si cette pseudo morale est vraiment rentrée dans son crâne. Il recommencera… Et tant pis, elle lâche l’affaire en ce qui le concerne et songe à prévenir la prochaine de son entourage qui pourrait ne pas se remettre d’une histoire sans lendemain, parce oui, il y en a d’autres. « Oui maman. » Elle aussi lève les yeux au ciel. Qu’est-ce que Walt peut l’agacer quand il lui répond de la sorte. Quitte à ce qu’il l’appelle maman, Rose aimerait bien parfois avoir la possibilité d’agir en tant que tel et lui mettre une gifle. « Promis je ferai ça bien. Des conseils ? Faut que j’utilise le fameux c’est pas toi c’est moi ? » Rose manque de voir sa mâchoire se décrocher. Et il veut pas qu’elle s’en charge elle même d’expliquer à cette pauvre fille qu’il est sentimentalement handicapé ? Ça lui arrive de réfléchir de temps en temps ? De se mettre à la place de l’autre ? Elle en doute, clairement. Il est bien du genre à agir sur un coup de tête ou après un verre de trop. Sinon ils n’en seraient pas là et n’auraient jamais eu cette conversation. « C’est le meilleur moyen pour qu’elle aille croire que c’est de sa faute… Bref, il ne vaut mieux rien dire de ce genre. À la limite, autant être clair avec elle. » Point final. Maintenant mon petit, tu te débrouilles avec ça. Après tout, elle ne va pas l’accompagner et encore moins lui tenir la main. « Dit, les chiens ça peut faire une dépression ? Parce qu’il est bizarre en ce moment. T’as rien remarqué ? » La jeune femme cligne des yeux, puis s’esclaffe. Parce qu’en plus maintenant il l’a prend pour une comportementaliste ou autre type de psy pour animaux ? Qu’est-ce qu’elle en sait ? Déjà que ce n’est pas toujours évident de comprendre les humains… Walt se moque-t-il encore d’elle ou il est sérieux cette fois ? Dur à déterminer parfois avec lui… Rose se gratte la tête. Elle fixe le chien, les yeux dans les yeux, puis penche la tête. Ce n’est pas pour autant qu’elle comprend de quoi Walt veut parler. « Bah il fait ses petits yeux auxquels personne ne peut résister pour demander des câlins, mais je vois pas ce qui cloche chez lui… » Voilà que maintenant, la brunette va se mettre à paniquer si Olaf a un quelconque problème.  « Tu lui trouves quoi, en dehors d’être bizarre ? » Elle s’accroupit pour se mettre à hauteur du dalmatien. Oui, il lui arrive de temps en temps de cesser de s’agiter dans tous les sens, mais cela ne signifie pas pour autant qu’il déprime. Au cas où, Rose vérifie la température au niveau de sa truffe qui n’est pas anormalement chaude. « Il pleure ? Il a cessé de s’alimenter et/ou de s’hydrater ? » Considérant presque leur chien comme un enfant, elle prend de suite les choses à cœur. La jeune femme s’en voudrait si elle avait raté quelque chose.
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() message posté Sam 27 Déc 2014 - 13:19 par Invité
Pour une psychologue, elle n'est vraiment pas très précise. Il commence vraiment à douter qu'elle ait pu aider qui que ce soit avec des vrais problèmes. « C'est le meilleur moyen pour qu'elle aille croire que c'est de sa faute... Bref, il ne vaut mieux rien dire de ce genre. À la limite, autant être clair avec elle. ». En même temps quand on y pense, c'était de sa faute à elle. Personne ne lui avait demandé d'être collante et de se faire des films. Ne pas répondre à ses appels ce n'était pas assez clair déjà ? Walt hoche la tête au propos de Rose, comme un bon petit soldat, mais sachant pertinemment qu'il ne mettra pas ses conseils en pratique pour autant. Puis, il a un problème plus pressant, la supposée dépression de leurs chiens. Elle se met à rire et il la fusille du regard comme s'il s'agissait de Cruella d'enfer. « Notre bébé va mal et ça te fait rire... ». Elle s'engage dans un concours de regards avec Olaf et il doit se retenir de rigoler devant la scène, il prendrait bien une photo, mais il n'a pas son portable sous la main. « Bah il fait ses petits yeux auxquels personne ne peut résister pour demander des câlins, mais je vois pas ce qui cloche chez lui... ». C'est typique de Rose de se laisser amadouer par leur chien, après on s'étonne qu'il n'obéisse pas et ne fasse que des conneries dans l'appart. « Auquel TU peux pas résister, met pas tout le monde dans le même panier.... panier-chien t'as compris ? ». Il se sent obliger de la corriger, parce qu'il n'a aucun mal à résister à Olaf, enfin c'est ce qu'il aime prétendre. Puis il ne peut s'empêcher de faire une petite blague canine, tout fier de lui avec un grand sourire. « Tu lui trouves quoi, en dehors d'être bizarre ? ». La voilà qui s'accroupit devant le chien et s'en est trop pour Walt qui ne peut retenir un petit ricanement insupportable. Un peu plus et elle allait se mettre à pleurer avant même qu'il ne lui explique quoi que ce soit. « Il pleure ? Il a cessé de s'alimenter et/ou de s'hydrater ? ». Walt se frotte la tête en essayant de se rappeler ce qu'elle lui demande, ses gamelles étaient toujours vides comme d'habitude, un morfale pareil le contraire l'aurait étonné. « Parce que ça pleure un chien ? Genre quand il fait le malheureux quand je pars bosser ? ». Ce n'était pas vraiment de ça dont il voulait parler de toute façon, Olaf avait toujours fait le dépressif quand il était tout seul, mais simplement pour culpabiliser Walt et que celui-ci l'emmène dehors. « Il saute plus quand j'agite des crackers, avant il sautait pour les chopper, il arrivait presque au niveau de ma tête c'était ouf. ». Il lève un regard paniqué vers Rose en réalisant qu'il a parlé des crackers, avec elle il risque de se faire engueuler pour lui avoir donné autre chose que de la nourriture pour chien dégueulasse, mais Walt n'est pas sans coeur à ce point-là. « Puis il se laisse maîtriser par Beckham, alors qu'il fait dix fois sa taille. L'autre fois je suis rentré du boulot, Beckham dormait dans le panier d'Olaf et Olaf était sur le sol à côté comme une pauvre victime. ». Beckham le chat de Walt, la cohabitation entre les deux n'avait pas été simple au début, mais les deux avaient fini par se tolérer, chacun ayant son territoire. Jamais il n'avait vu Olaf se laisser envahir son territoire de la sorte sans réagir.
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() message posté Mer 31 Déc 2014 - 17:37 par Invité
La jeune femme a commencé à scruter le chien tout en essayant de se souvenir ce qu’elle a pu lire sur ce genre de sujets. Oui, parce que même si la psychologie humaine est son domaine de prédilection, sa mère n’a pas pu s’empêcher de lui envoyer un livre sur le chiens quand elle lui a appris qu’elle comptait en adopter un. Apparemment, quand on a la flemme de se faire à manger convenablement au quotidien, on n’est pas capable de s’occuper d’un animal de compagnie. « Notre bébé va mal et ça te fait rire… » C’est l’hôpital qui se fout de la charité ? Lui qui rit à presque tout. « Auquel TU peux pas résister, met pas tout le monde dans le même panier… panier-chien t’as compris ? » Les blagues du genre sont devenues sont quasi quotidiens. Des années d’expériences pour acquérir un décodeur (parce que ce n’est pas toujours évident) et continuer à en rire. Walt n’a pas tort dans le sens où, ouais elle n’y résiste pas, mais elle est certaine que c’est aussi son cas et qu’il n’ose pas l’avouer à haute voix. Avec ses grands yeux là, presque larmoyants. Qui ne peut pas y résister ? « Parce que ça pleure un chien ? Genre quand il fait le malheureux quand je pars bosser ? » Pleure ou pleure pas un chien, voilà la conversation existentielle du jour. Et c’est loin d’être la première. À l’époque où ils vivaient sous le même toits, les deux amis en avaient pas loin de trois du genre par semaine. Elle croyait même qu’ils avaient épuisé les sujets à force. « Ça pleure peut être pas à chaudes larmes, mais ça gémit quand c’est triste. » Toujours au même niveau que le dalmatien, Rose commence à imiter ce que pourrait donner Olaf qui gémit, fait le malheureux pour attirer l’attention et que l’on s’occupe de lui. Peut-être que ça lui parlera plus avec une démonstration. « Il saute plus quand j’agite des crackers, avant il sautait pour les chopper, il arrivait presque au niveau de ma tête c’était ouf. » Jeune et presque toujours en train de sauter et courir dans tous les sens, Rose ne se serait jamais doutée que Walt ne respecte pas le régime alimentaire de leur « bébé ». Mais ce n’est pas le moment de lui faire la morale sur les risques que ces écarts sont mauvais pour le chien, se limitant à une tête de scandalisée. Dans l’immédiat, elle songe à prendre au sérieux son rôle pour remonter le moral de Walt qui, lui, semble être vraiment inquiet par l’état d’Olaf. Pour commencer, la jeune femme cesse tout de suite de rire. « Puis il se laisse maîtriser par Beckham, alors qu’il fait dix fois sa taille. L’autre fois je suis rentré du boulot, Beckham dormait dans le panier d’Olaf et Olaf était sur le sol à côté comme une pauvre victime. » Quant à Walt, il n’a pas eu le droit de lire un tel livre. Peut-être que Rose devrait le lui prêter. Ça doit être le genre de lecture parfaite pour les toilettes. « Ouais, enfin Beckham est un chat. Toi et Olaf vivez chez lui et non chez toi. C’est donc un peu normal qu’il ait le dessus sur le chien. Je m’inquiéterais plutôt qu’il ait le dessus sur toi. » Voilà, en quelques mots ce qu’il doit retenir sur le problème du chat et de la relation avec les chiens (en dehors des clichés habituels d’ennemis). « Par contre, ça ne règle pas le problème de ne plus être très enthousiaste par les… friandises. Et ses gamelles sont vides ou il a un problème avec aussi ? » Ou sinon, c’est qu’Olaf fait son capricieux et qu’il a décidé 1) de bouder les crackers juste pour faire psychoter Walt, 2) de faire attention à sa ligne par lui-même.
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() message posté Mer 14 Jan 2015 - 12:54 par Invité
Si on lui avait dit en se réveillant avec une nana dans son lit, qu'il finirait par avoir une conversation sur les gémissements de son chien quelques dizaines de minutes plus tard, il n'y aurait probablement pas cru. « Ça pleure peut être pas à chaudes larmes, mais ça gémit quand c'est triste. ». Rose commence à imiter les gémissements d'Olaf et un grand sourire s'étend sur le visage de Walt, pas le sourire Oh quelle scène attendrissante, non celui Je vais dire une grosse connerie et ça risque d'être bien trash. « Qu'est-ce que tu veux que j'y comprenne, regarde toi par exemple tu gémis quand t'es heureuse... alors qu'Olaf c'est quand il est triste. ». Walt ne lui ferait jamais oublier la fois où il avait entendu Rose en plein ébats, parce qu'il était rentré dans l'appart à un moment où il ne devait pas y être. Lui n'était pas aussi complexé sur le sujet, que Rose ait entendu ses parties de jambes en l'air était le cadet de ses soucis.
Il s'applique du mieux qu'il peut à expliquer les symptômes de son compagnon poilu en espérant être le plus clair possible. « Ouais, enfin Beckham est un chat. Toi et Olaf vivez chez lui et non chez toi. C'est donc un peu normal qu'il ait le dessus sur le chien. Je m'inquiéterais plutôt qu'il ait le dessus sur toi. ». Walt la regarde un peu perplexe, est-ce que Rose était une fanatique des chats aussi maintenant ? Hors de question que Walt se laisse dominer par un chat ou un chien. Même si c'est vrai que le chat avait tendance à n'en faire qu'à sa tête, contrairement à Olaf qu'il arrivait parfois à canaliser. « Par contre, ça ne règle pas le problème de ne plus être très enthousiaste par les... friandises. Et ses gamelles sont vides ou il a un problème avec aussi ? ». Il se gratte la tête en essayant de se souvenir, chaque jour il devait re-remplir les gamelles, donc oui elles étaient vides. L'alimentation n'était donc pas le problème, peut-être que le chien avait simplement changé de goût en matière de friandises. « Non à ce niveau-là ça va, puis tu verras bien par toi-même cette semaine. » . Au moins il n'aura pas besoin de s'inquiéter pour son chien toute la semaine à venir, puis Rose sera plus en mesure de lui donner une expertise après avoir subi le dépressif pendant une semaine. « Quoi que plus j'y pense, plus je me demande s'il a pas juste besoin de tirer son coup, un peu comme toi... ». Son sourire crétin s'élargit s'attendant à ce qu'elle recommence à lui jeter des trucs ou le frapper avec une poêle. Elle a le droit de parler de sa vie sexuelle active, mais il n'a pas le droit de mentionner l'absence de la sienne. Deux poids deux mesures. Pourtant, rien de ce qu'elle pourra dire ou faire ne l’empêchera de la taquiner sur le sujet.
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() message posté Dim 18 Jan 2015 - 20:10 par Invité
La jeune psy commence à prendre conscience que son imitation du chien, bien qu’assez fidèle à la réalité, frise le ridicule. Elle s’arrête donc aussitôt. Et puis, cela doit être bien assez pour que Walt comprenne de quoi elle voulait parler. Il a beau faire exprès parfois, monsieur n’est pas si idiot que cela. « Qu’est-ce que tu veux que j’y comprenne, regarde toi par exemple tu gémis quand t’es heureuse… alors qu’Olaf c’est quand il est triste. » Rose prend son expression d’outrée. Oui, outrée. C’est exactement ce qu’elle est dans l’immédiat, sans la moindre exagération. Elle n’a pas le moindre problème quand il s’agit de parler de la vie sexuelle des autres (ça fait un peu parti du métier après toi), par contre quand il s’agit de la sienne, c’est un autre problème. « Non à ce niveau-là ça va, puis tu verras bien par toi-même cette semaine. » Bon, si Olaf termine ses gamelles, alors son problème ne doit pas être aussi grave que cela. Il parait également que la nourriture est un bon moyen de mesurer la gravité d’un état d’un animal. Au cas où, elle effleure la truffe du dalmatien : fraîche et humide. La jeune femme s’inquiète déjà beaucoup moins et se relève. « Merci pour ce petit coup de stress. » Ouais, d’accord. Elle a un peu ri plus tôt, mais elle s’est sérieusement fait du souci pour leur bestiole. C’est un peu comme avoir gosse, quitte à en prendre autant soin que la prunelle de ses yeux. Enfin, il s’agit plutôt d’un deuxième gosse en l’occurence, puisqu’on peut encore comparer Walt a un grand enfant… « Quoi que plus j’y pense, plus je me demande s’il a pas juste besoin de tirer son coup, un peu comme toi… » Tête d’outrée numéro deux. Walt n’a pas tort en pensant que la jeune femme serait pas capable de lui envoyer quelque chose dans la figure. Malheureusement, elle n’a rien sous les doigts. Du moins, rien d’inoffensif. « Qu’est-ce que tu en sais ? Et puis ça ne te regarde pas. » Elle le défit du regard. Petit mensonge, certes. Mais il n’a pas besoin de le savoir. Ce n’est pas de la faute de Rose si elle finit par croiser bon nombre de ses conquêtes, alors que de son côté, il ne l’a entendue que quelques fois… « Olaf, ignorons les idioties de Walt un instant... Et bien il faut juste te trouver une copine, mon chien ? Ça doit toujours être moins compliqué que de trouver une femme à ton cher maître… » À moins que le dalmatien soit également un briseur, bourreau de cœur. Tout comme Walt. Tel propriétaire, tel chien ? Ça fonctionne peut-être… « Bon… Une idée sur l’endroit idéal pour trouver la parfaite femme d’Olaf ? Je doute qu’il existe un meetic pour animaux. » Quoique. On sait jamais sur quoi on peut tomber sur internet de nos jours… « Vous et votre chien, rencontrez les femmes de votre vie sur le même site », ou toute connerie dans ce même registre.
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() message posté Dim 1 Fév 2015 - 22:46 par Invité
C'est fou ce qu'il l'a connaît bien, il sait exactement sur quel sujet appuyer pour obtenir une réaction de sa part. Walt est plutôt fier de lui, ce qui doit être d'autant plus énervant pour la jeune femme. « Qu'est-ce que tu en sais ? Et puis ça ne te regarde pas. ». Walt la regarde sceptique, un peu amusé par ses vaines tentatives de le convaincre que sa vie amoureuse n'est pas inexistante. Tel un enquêteur de série télé, il s'apprête à exposer toutes ses preuves, toutes plus débiles les unes que les autres. « Olaf, ignorons les idioties de Walt un instant... Et bien il faut juste te trouver une copine, mon chien ? Ça doit toujours être moins compliqué que de trouver une femme à ton cher maître... ». Il la regarde comme s'il venait de lui pousser une deuxième tête. Ce n'est pas la remarque sur lui qui l'interpelle, elle est probablement vraie de toute façon, mais plutôt Rose qui se tape la discute avec le chien dans sa cuisine. « T'es au courant qu'il va pas te répondre ? ». C'est peut-être évident pour le commun des mortels, mais avec Rose on ne sait jamais, peut-être qu'elle essaye d'utiliser ses super pouvoirs de psychologue pour faire parler leur animal. « Bon... Une idée sur l'endroit idéal pour trouver la parfaite femme d'Olaf ? Je doute qu'il existe un meetic pour animaux. ». Il commence à se demander si sa meilleure amie ne s'est pas mis à la drogue ou si elle ne frise pas un peu le surmenage. Parce qu'elle était sensée être la plus intelligente d'eux deux et elle se mettait à poser des questions ridiculement simples. « Bah au parc. ». Il hausse les épaules pour bien montrer que c'est une évidence et que sa question est vraiment stupide. Le seul endroit où on trouve des chiens en grande quantité c'est le parc tout le monde sait ça, sauf Rose. « Puis comme t'as pas de vie amoureuse, c'est toi qui te chargera de camper au parc le temps qu'Olaf analyse ses options, tu voudrais pas qu'il se case avec la première venue non plus. ». Les après-midi au parc non merci, surtout qu'il n'y a en général que des vieux qui ont la fâcheuse habitude de lui tenir la jambe pendant ce qui lui semble des heures. Depuis quelques temps, il avait pris l'habitude de courir avec Olaf, comme ça personne ne l'importune ou ne l'arrête pour caresser le beau dalmatien. Tout d'un coup Walt se raidit un petit peu affichant une mine beaucoup plus sérieuse. « En parlant de ça, je crois que faut que je t'avoue un truc... je savais pas comment aborder le sujet avec toi, mais je crois qu'il est gay. La dernière fois je l'ai vu se faire monter dessus par un autre chien... ». Walt avait été plutôt mort de rire devant la scène et il avait été tenté de textoter directement Rose pour l'en informer, mais quelque chose l'avait retenu de le faire. Peut-être la peur qu'elle l'accuse d'inventer des trucs, la révélation en face à face était beaucoup plus appropriée, il n'aurait pas voulu manquer la réaction de Rose.
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