| ( ✰) message posté Sam 4 Oct 2014 - 13:48 par Invité
Sebastian Xander Fray London calling to the faraway towns NOM(S) : Fray. PRÉNOM(S) : Sebastian Xander. ÂGE : 32 ans. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : 15 Mars 1982 à Manchester. NATIONALITÉ : Anglais.STATUT CIVIL : Célibataire MÉTIER : Flic. TRAITS DE CARACTÈRE : honnête ; drôle ; altruiste ; bienveillant ; borné ; juste ; maladroit ; aussi impulsif que réfléchi ; loyal ; protecteur ; réaliste ; maniaque ; rêveur ; moyennement patient. ; exigeant ; pessimiste quand l'optimisme n'a plus de sens. GROUPE : Fast in my car.
| My style, my life, my name
Sebastian adore le café noir sans sucre. § Il déteste perdre du temps. § Il est autant détendu qu'anxieux. § Courir est un de ses passe-temps ainsi que le sport en général. § C'est un fan de nougat. § Il se fait souvent des plateaux devant la télévision. § Il se lève généralement tôt mais aime bien traîner au lit. § Sa boisson préférée après le café est la limonade de sa mère. § Ses blagues sont tellement nulles qu'elles en font rire les gens. § D'un naturel calme, il ne s'énerve que très rarement et s'il est à bout. § Il a un tatouage sur le bas ventre. § Sebastian adore sa voiture qu'il s'est acheté lorsqu'il a eu son premier poste en tant qu'avocat. § Il est entré dans la police à 29 ans. § Il a toujours voulu avoir des frères et soeurs mais n'en a pas eu. § Il retire systématiquement les pépins des raisins. § C'est un mangeur de frites assumé, les pommes de terre n'ont pas de secret pour lui. § Il aime n'importe quel style de musique. § Niveau film, ceux d'action ou humoristique lui conviennent très bien. § Sebastian a été adopté. § Ses amis le surnomment Bash ou Seb. § Petit, il rêvait d'être policier mais ne réalisera ce rêve qu'après avoir fait des études de droit et s'être donc reconverti. § Il a réalisé son homosexualité vers l'âge de 17 ans. § Le regard des autres ne l'intéressent plus. § Sebastian agit toujours avec son coeur sauf dans le travail où il n'est pas censé le faire.
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PSEUDO : Sebastian X. Fray PRÉNOM : C. ÂGE : 16 ans. PERSONNAGE : Scénario. AVATAR : Jesse Spencer. CRÉDITS : Internet, bazzart. COMMENT ES-TU TOMBÉ(E) SUR LC ? : J'avais repéré le forum y'a longtemps et je suis repassée puis coup de coeur à vrai dire. |
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| ( ✰) message posté Sam 4 Oct 2014 - 13:55 par Invité At the beginning
Manchester, Nord de l'Angleterre, début d'Avril 1982, quelques jours après la naissance de Sebastian.
« Ce n'est pas par manque d'amour que j'écris cette lettre. Ce n'est pas non plus par manque de joie ou de plaisir. Je ne cherche pas à justifier ce que tu viens probablement de découvrir car il est vrai je n'ai aucune raison valable à part celle d'être peureuse. Je t'ai porté pendant neuf mois. Neuf petits mois. Quand j'ai découvert que j'étais enceinte, j'ai vu mon monde s'écrouler. Je venais juste d'avoir dix-sept ans. Seulement dix-sept petites années que j'étais de ce monde. Sentir la vie grandir en moi n'était pas ce que je voulais. Malheureusement, le destin m'a forcé à te garder en moi car le délai légal était dépassé. Tu dois, probablement et justement trouver ce que je t'écris horrible mais je t'en prie, continue de lire.
Ton arrivée dans mon ventre a été comme un viol de mon intimité. Je te désirais pas. Au début, j'aurais fait n'importe quoi pour qu'on t'extirpes de moi. Les premiers mois de ma grossesse ont été les plus terribles. Mes parents, enfin tes grands-parents, étaient déçus que je me sois laissée aller à l'amour avec ton père, qui pour eux n'était qu'un moins que rien. Au lycée, j'étais devenue la fille enceinte. La fille-mère qui a fait une erreur de jeunesse. L'assumer, t'assumer était dur. Je voyais mon corps changer et je n'étais pas prête à ça. Ton père, lui, m'a soutenu. Il arrivait à me faire me sentir belle malgré l'énorme ventre que j'avais. Il était mon roc.
Avant que je ne t'aime pour la première fois, tu n'étais qu'un fardeau dont je me débarrasserais en accouchant. C'est ton premier coup de pied qui m'a fait t'aimer. Un simple coup. Comme si je voyais pour la première fois la vie. J'étais alors dans les bras de mon amour, enfin de ton père, et nos rires se mélangeaient. C'est alors que je te sentis véritablement pour la première fois. C'était comme magique. Je ne pourrai expliquer ce que j'ai ressenti à ce moment à part une vague d'amour franche et honnête. C'est à partir de ce moment que j'ai commencé à t'aimer. Oui, je te chérissais autant que je le pouvais et de tout mon être. Désormais, je n'étais plus seule, nous étions trois. Ton père, toi et moi. C'est avec toi dans le ventre que j'eus dix-huit ans et fis mes bagages de chez moi. Je trouvai refuge dans l'amour et la maison de ton père. Je me sentais vivante comme jamais. Les jours défilèrent sans que je m'en rende compte. A ce moment là, je me voyais te garder mais j'ignorais que ton père disparaîtrait.
L'accident. C'est l'accident qui a tout détruit. Il m'a détruit tout comme mes rêves et espoirs. Nous nous rendions à l'hôpital ce jour du 15 Mars quand une voiture nous percuta. La collision tua ton père, mon amour et le seul qui me faisait tenir. Avant que l'ambulance n'arrive, j'ai tenu sa main tu sais. Nos doigts se sont entremêlés de longues minutes avant qu'il ne pousse son dernier souffle. J'ai regardé la vie s'échapper de son corps alors qu'elle était encore dans le mien. C'est probablement là que ma décision s'est lentement affichée. Après que je sois arrivée à l'hôpital et que j'ai accouché, ta présence me faisait froid dans le dos. Je n'arrivais et n'arrive toujours pas à poser les yeux sur toi. Tu me rappelles sans cesse cet homme que j'ai aimé et que j'aime encore. Je ne peux me résoudre à voir son fantôme en toi.
Je viens de te placer à l'adoption en tant que mère anonyme. Ton père s'appelait Xander et j'ai demandé à ce que ce soit ton deuxième prénom pour qu'il vive un peu en toi. Je te souhaite une belle vie, plus belle que celle que j'aurais pu t'offrir. Je ne veux que le meilleur pour toi qui reste ma chair et mon sang. Sache que mon amour t'est éternel et malgré mon absence, toujours présent. Les mots me manquent mais pas les sentiments. J'espère que tu me pardonneras. Je t'aime.
Celle qui t'a donné la vie. »
Voilà les mots qui venaient de heurter le visage encore innocent de Sebastian Xander Fray, à peine âgé de 17 ans. Il connaissait désormais la vérité sur sa naissance dont aucune photo ne subsistait. Choqué, c'est dans une étreinte avec ses parents adoptifs qu'il se calma. Andrew et January Fray l'avaient adopté quelques semaines après qu'il soit venu au monde. Ils l'aimaient comme si leur génétique était commune. Stérile, January n'avait pas pu enfanter et Andrew désirant tellement des enfants, l'adoption avait été leur seul recours. Pour le bien de Sebastian, ils avaient décidé de ne lui révéler la vérité que lorsqu'ils le considéreraient prêt, comme aujourd'hui. « Tu nous en veux ? Demanda Andrew. » « On le comprendrait si c'était le cas, tu sais, ajouta January. » « Non, c'est pas ça. C'est juste que vous m'aimez comme si le sang nous reliait, comme si j'étais réellement de votre famille et pour moi, vous êtes mes vrais parents. Vous m'avez rendu heureux sans jamais rien demander en retour et ça, c'est probablement le plus cadeau que vous m'ayez fait. » Essuyant ses yeux qui commençaient à se remplir d'un liquide cristallin, Sebastian quitta la pièce pour se retrouver seul un instant. Il avait eu la chance d'avoir une vraie famille et jamais il ne pourrait remercier assez celle qui l'avait abandonné pour ça. Étrangement, il ne lui en voulait pas. Il ne pouvait pas. Il comprenait tellement sa décision qu'il ne pouvait se résoudre à la détester. Elle aimait tant son père qu'elle n'aurait pu l'aimer lui. C'est depuis ce jour que le blond réalisa à quel point sa famille avait de l'importance pour lui. Ils n'étaient pas unis par le sang mais bien par l'amour et il n'y avait pas de plus beau lien possible.
Alors qu'il apprenait doucement à vivre avec cette nouvelle, Sebastian se voyait perturber par bien d'autres choses. Les hormones en constante ébullition, il avait été forcé de se rendre compte que les filles ne l'attiraient pas du tout mais les garçons oui. Au lycée, son regard se portait sur ses coéquipiers de football et particulièrement sur Mark, d'une beauté foudroyante et envié de tous. Sebastian et lui se parlaient assez souvent et s'entendaient plutôt bien. Ils aimaient les même groupes de musique et partageaient beaucoup d'autres choses. Perdu entre son attirance pour lui et ses récentes découvertes, Sebastian ne savait où donner de la tête. Il n'avait jamais pensé pouvoir aimer les hommes comme ça et puis, décevoir ses parents n'était pas concevable. L'aimeraient-ils toujours autant s'ils savaient ? D'ailleurs, lui même n'était pas totalement sûr de savoir. C'est souvent sur les bancs de leur église de Manchester que Sebastian cherchait des réponses à ses nombreuses questions car la messe ne l'intéressait aucunement. Totalement troublé par sa possible homosexualité, Sebastian n'arrivait plus à se concentrer. Il fit semblant d'être malade et resta quelques jours chez lui afin de réfléchir au calme, du moins c'est ce qu'il pensait. La tête dans les nuages, la sonnette le sortit du vide. Allant ouvrir la porte, Sebastian se retrouva nez à nez avec Mark dont la présence était aussi surprenante que délicieuse. « Salut Bash. » « Salut, qu'est-ce que tu fais là ? » « Je peux entrer ? Demanda Mark en passant le seuil de la porte avant même qu'une réponse ne lui soit donnée. Je voulais voir comment tu allais. C'est joli chez toi poursuivit-il tout en contemplant la décoration. » « Il faut remercier ma mère. Je suis un peu malade dit Sebastian en feignant une toux. » « Sérieusement ? Dit Mark en riant. Il va falloir que t'améliores ton jeu d'acteur mon pote. » « Bon, écoute j'ai pas le temps pour tes petits commentaires. » « Oh ça va, calme-toi. Dis, ça te dérange que je sois passé ? Demanda Mark en s'approchant un peu plus de Sebastian. » « Oui, ça me dérange lui répondit-il de plus en plus troublé par sa présence. » « Ah oui ? Vraiment ? Enchaîna t-il en se rapprochant encore un peu. Je te trouble ? » « Pas du tout mentit Sebastian. » Mark était si proche que leurs souffles se mélangeaient. Il le sentait tout proche de lui et ne savait pas comment réagir. « Tant mieux dit-il avant d'embrasser Sebastian à pleine bouche. » Au début, le jeune homme ne répondit pas avant de rattraper Mark qui allait se dégager. Le baiser était fougueux et doté d'une passion insoupçonnée. Mark décolla ses lèvres des siennes avant de se diriger vers la porte. « On dirait que tu vas mieux. Bon, salut, j'espère que je te verrai demain, au lycée. » Le choc était tel que Sebastian ne bougea pas pendant quelques secondes. Maintenant, il savait. Oui, il savait qu'il aimait les hommes et que de toute évidence ils l'aimaient aussi.
Ce ne fût pas leur dernier baiser. Les garçons jouèrent à ce jeu dangereux autant qu'ils le purent. Un baiser volé dans les vestiaires, une caresse discrète, des doigts entrelacés derrière les gens, cela s'apparentait à une liaison et s'en était une. Ils n'étaient pas prêts à assumer, à s'assumer et à clamer leur amour devant tous. Ils n'étaient que des adolescents cherchant à trouver leur place. Leur relation était difficile. Ils étaient passionnés et cela les détruisait. Ils s'aimaient mais n'auraient jamais le courage de vivre cet amour au grand jour. Ils le savaient pertinemment mais s'entêtaient. Ces moments volés et secrets étaient leur quotidien. Ils mentaient et avaient une double vie. Mark avait une fausse petite-amie et cela faisait du mal à Sebastian. Il devait les voir s'embrasser alors qu'il savait que Mark l'aimait. Leur monde était un énorme tourbillon d'amour à problèmes. C'est lors de leur dernier jour de lycée qu'ils décidèrent de se laisser aller à l'amour charnel car ils savaient que leur relation se finirait bientôt. Ils voulaient profiter de ces premières fois ensemble car s'ils ne le faisaient pas, ils le regretteraient toute leur vie.
Ce n'est que quelques mois après le déménagement de Sebastian à Londres que lui et Mark rompirent. Leur relation n'aurait jamais survécu à la distance et se déchirer n'était certainement pas la meilleure des choses. Ils ne voulaient pas gâcher leurs beaux souvenirs par une triste colère et ils avaient bien raison. Donc à Londres, Sebastian étudiait le droit dans le but de devenir avocat comme il le souhaitait depuis plusieurs années. Sa vie étudiante fût un beau mensonge dont il n'aime pas vraiment se rappeler. N'étant pas à l'aise avec son homosexualité, il avait décidé de mentir et de jouer à l'hétéro même s'il sortit quand même avec des garçons. Ce n'est qu'après avoir fini ses études qu'il rencontra un homme dont il tomba réellement amoureux. Ce dernier lui posa un ultimatum. S'il n'assumait pas leur relation, il le quitterait, ce qu'il fit. Désespéré, Sebastian se décida enfin à faire son coming-out devant ses amis à l'âge de 27 ans car il ne voulait pas perdre Kit. Néanmoins, il s'était réveillé trop tard car ce dernier ne voulait plus de lui. « Il t'a fallu un ultimatum pour te décider mais c'est trop tard, je suis désolé. Je ne veux pas d'un mec qui n'a pas les couilles d'assumer qu'il m'aime. » Officiellement gay devant ses amis, il ne manquait plus que ses parents. Sebastian fût mortifié de les perdre mais décida qu'il était temps. Il ne voulait pas passer sa vie » à se cacher et gâcher toutes les belles histoires qu'il pourrait vivre. « Papa, Maman, je suis homo. Soit vous l'acceptez, soit je vous dis Adieu. » Le silence provoqué par cette phrase fût sans appel.
Au début, la situation fût difficile mais elle s'améliora à force de temps. Les Fray allèrent retrouver leur fils à Londres. Manchester les étouffait et ils voulaient changer d'air. Sebastian se sentit libéré par leur réaction. Il n'avait plus à cacher son attirance pour la gente masculine. Travaillant comme avocat, Sebastian menait une vie assez confortable. Néanmoins, c'est à son 29ème anniversaire qu'il décida de prendre un autre chemin. Il ne voulait plus de cette vie. Il aimait la justice mais pas dans un tribunal. Il préférait largement le terrain. Il voulait changer les choses. Aider, rendre ce monde un peu meilleur. C'est sur cette idée qu'il s'engagea dans la police anglaise en tant que simple agent de terrain. Il trouva son compte dans la simplicité. Il n'habitait pas très loin de ses parents et pouvait les voir dès qu'il le désirait. Cela le rendait assez heureux car l'état de son père s'aggravait. Cela faisait déjà plus de deux mois qu'il n'allait pas bien. La raison de ses douleurs était inexplicable. Ce n'est qu'après avoir eu 30 ans que Sebastian apprit une terrible nouvelle. Son père avait un cancer. Oui, un cancer. Le pire était qu'il en était déjà à un stade bien avancé.
Le choc rapprocha encore plus la famille Fray. Depuis l'annonce de l'homosexualité de Sebastian, ils avaient décidé de ne plus rien se cacher du tout. Désormais, Sebastian et ses parents chérissaient tous ces moments qu'ils pensaient si anodins. Ils savaient que le temps leur était compté donc tout prenait une plus grande importance. Grâce aux traitements et à tout l'amour de son fils et sa femme, le père de Sebastian tenu encore une année. Il décéda quelques temps avant le 31ème anniversaire de Sebastian qui eût du mal à s'en remettre. C'était la première fois qu'il allait souffler ses bougies sans son père. Cela faisait trente-et-un ans que ce bon Monsieur Fray était toujours là, à chanter des 'Joyeux Anniversaire' à tout va. Pour la mère de Sebastian, la situation fût très difficile. Elle ne supportait pas la solitude et la tristesse de ces murs qu'elle regardait chaque jour. Elle demanda à Sebastian de venir habiter avec elle et ce dernier voyant sa détresse, accepta. Ils n'étaient plus que tous les deux maintenant et ils devaient se soutenir. Elle avait besoin de lui et il le savait.
Néanmoins, Sebastian n'était plus un enfant. Il avait déjà 31 ans. C'est pour cela qu'il transforma le garage de la maison en petit appartement. Le lieu est confortable et plutôt bien décoré. Mais ce qui le décorerait encore mieux serait sans aucun doute le beau visage de Junroy O'Flahery. Lui, c'est un petit minet de 23 ans. Il n'habite pas très loin des Fray. C'est un voisin mais Sebastian connaît bien sa famille. Les parents, Cheryl et Damon, les enfants, Coleen, Alvan, Demetra, Brent et puis aussi Zoe et Mickey, les petits derniers encore dans leurs berceaux. Bref, personne n'échappe à son attention, surtout pas Jun. Ils se sont rencontrés un soir 'ordinaire'. Sebastian et son partenaire ramenaient les parents O'Flahery chez eux pour la première fois. Ce fût Junroy qui ouvrit la porte. Sebastian s'attendait à tout sauf à ça. Son regard s'arrêta pendant de longues secondes sur le jeune homme. Comme hypnotisé, il ne pût rien dire avant que Junroy ne parle. « Bon et bien merci de les avoir ramenés mais c'était pas la peine de vous déplacer. » « De rien, ce sont tes parents ? » « Qu'est-ce que ça peut te faire ? Dit Junroy avant de poursuivre. Bien sûr, quoi d'autre ? Bon, allez, bonne soirée conclût-il avant de faire claquer la porte. » Médusé, c'est depuis ce jour que Sebastian se sent plutôt attiré par lui. Il est néanmoins légitime de se demander si c'est une bonne chose. Si Bash connaît les O'Flahery, c'est principalement à cause du travail et mélanger travail et vie personnelle n'est pas forcément la meilleure chose à faire. De plus, Junroy et lui ne jouent peut-être pas dans le même camp. Malgré qu'il ait entendu des rumeurs sur une possible bisexualité du garçon, ce ne sont peut-être que de vulgaires ragots infondés. Sebastian voit bien que la situation est difficile pour Junroy et même si l'amour ne fleurit pas entre eux, il voudrait tout de même l'aider. Il le fait déjà un petit peu en passant à l'improviste avec une bonne surprise ou en cachette pour s'occuper un petit peu des enfants. Malheureusement, l'aîné ne semble pas apprécié cette main tendue. Avec le temps, Sebastian a réalisé que Junroy était bien trop fier pour accepter qu'on l'aide. Il tient à tout faire seul et c'est tout à son honneur. Néanmoins, accepter un peu d'aide ne lui serait pas néfaste. Sebastian tente de contrôler son attirance très prononcée envers le jeune homme mais cela devient de plus en dur. Junroy lui laissera t-il une chance de l'aider voire de l'aimer ? A suivre.
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