"Fermeture" de London Calling
Après cinq années sur la toile, London Calling ferme ses portes. Toutes les infos par ici hapiness is a choice, oh shut up ! + johnathan 2979874845 hapiness is a choice, oh shut up ! + johnathan 1973890357
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hapiness is a choice, oh shut up ! + johnathan

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() message posté Dim 7 Sep 2014 - 17:53 par Invité

Johnathan Stefan Norton

London calling to the faraway towns
NOM(S) : Norton. PRÉNOM(S) : Johnathan, Stefan. ÂGE : 29 ans. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : 25 avril 1985 à Los Angeles, Etats-Unis. NATIONALITÉ : américaine. STATUT CIVIL : marié. MÉTIER  :ancien professeur de sport à la Petride School de New-York et ancien joueur professionnel de football américain. Il reprend l'équipe de football de l'université de Londres et commence tout juste à se faire connaître dans le pays. Depuis son accident, il est inactif. TRAITS DE CARACTÈRE : mystérieux, en colère, susceptible, généreux dans le fond, amoureux, passionné, blessé, rancunier GROUPE : black cabs



My style, my life, my name

2010 Demandez aux personnes autour de vous si elles connaissent Johnathan Norton. C'est obligé qu'au moins une fille vous réponde ! John est particulièrement attirant. Dans le sens où il a un certain charme qui fait en général craquer les filles dès le premier regard. Mais la plupart du temps, il ne se soucis que très peu du regard des autres. Il les ignore et ne pense qu'à sa façon de penser. C'est un garçon assez grand qui n'était pas vraiment massif avant de commencer le football américain. Non il était même plutôt petit et très renfermé. Mais le sport l'a beaucoup développé, et par on ne sait quel phénomène, il a même grandi. ce n'est peut-être qu'une illusion. En tous cas, il paraît très grand et étant assez musclé, il a beaucoup de présence. Il est en général habillé avec un jean et un t-shirt ou une chemise. Juste banal. Il est châtain clair et aime garder ses cheveux long de deux ou trois cm, jamais plus. Il a les yeux marrons genre beau gosse mystérieux et un adorable sourire. Il aime se raser de près car il trouve que même une petite barbichette ne lui va pas du tout.

2013 En un peu plus de deux ans, Johnathan a beaucoup changé. Et même s'il est resté ce grand garçon mystérieux aux sourire ravissant pendant longtemps, les quelques derniers mois passés ont eu l'effet d'un ras de marée sur son apparence. Lui qui n'aimait pas ses cheveux longs, se retrouve avec une coupe aux épaules, le plus souvent gras (sans exagérer bien sûr). La parti inférieur de son visage est recouverte d'une barbe hirsute qu'il n'a pas touché depuis maintenant plusieurs mois. Mais le pire de tout: John est en fauteuil roulant 80% du temps. Suite à un accident de moto, il s'est retrouvé paralysé de toute la partie inférieure de son corps. Malgré que les réflexes y soient toujours présent, il ne ressent plus rien à partir de la taille pendant deux mois. Les choses ayant un peu évoluées, il a récupérer la motricité du côté gauche avec une sensibilité encore bancale. Il est donc paralysé de la jambe droite et il lui arrive de ne pas sentir sa jambe gauche. Il tente de marcher avec des béquille mais ça n'est pas glorieux, il se rabat donc sur le fauteuil roulant. Pour couronner le tout, il souffre de dépression post traumatique.

2010 En connaissant à peu près les épreuves que John a du vivre, on pourrait facilement se mettre à penser qu'il est un jeune garçon timide et anti-sociale qui s'est de suite renfermé pour échapper à l'ambiance super joyeuse dont il ne partage pas l'intérêt. Mais en réalité, John n'est pas du tout comme ça. Au contraire, il est ouvert et ne pense que plus on s'amuse, plus les choses peuvent s'améliorer. Après la mort de ses deux parents, John a développé un courage fascinant. Il est toujours resté digne. tel qu'il était, il n'avait peur de rien. Et surtout pas de l'avenir. C'est lui qui a d'ailleurs protégé sa petite soeur de tout ceci et ainsi, l'a convaincue que leur vie pouvait être très bien. Malheureusement, cette évènement ne pu que l’amputer de la confiance qu'il donnait généralement aux gens. Depuis, cette confiance s'est un peu reconstruite, mais il n'est pas aussi confiant qu'avant. John est généreux et il aime aider les autres parce qu'il ne veut surtout pas qu'ils vivent tous comme il a pu vivre pendant un moment. Il est donc de bon conseil. Mais derrière ce sérieux, se cache un garçon particulièrement farceur. Il aime beaucoup rire et d'ailleurs, c'est son moteur dans la vie. Il aime blaguer et rigoler à longueur de temps. Vous voyez John sans son sourire charmeur ? Inquiétez-vous !

2013 Il est donc temps de vous inquiéter. Le Johnathan tout sourire, gentil et plein de vie a disparut. Suite à son accident de moto, John souffre de paralysie totale de la jambe droite et partielle de la gauche. Mais l'accident n'a pas fait que des dégâts physiques malheureusement. Johnathan souffre de dépression post-traumatique. le mois après l'accident, il ne parlait plus du tout. Furieux et triste, il ne trouvait plus goût à rien. Sa paralysie l'empêchant de faire ce qu'il aimait le plus dans la vie: le football américain. Etant récemment passé pro, cet accident, et cette perte de mobilité lui ai apparut comme la fin de sa vie. Moment difficile à vivre pour sa femme Maisy pour qui il a énormément de respect, sans pouvoir être agréable avec elle. C'est pourtant elle qui a réussi à le faire parler à nouveau. Rien de bien exceptionnel, John reste très désagréable généralement. Il ne supporte plus les conversation plus longues que 5 minutes et encore moins lorsque c'est avec des gens qui montrent leur pitié. Il a arrêté de donner des nouvelles à ses amis et seuls sa femme le voit tous les jours. Il ne se préoccupe plus que de son lit, de sa wii et de ses bouteilles de whiskey. Complètement associable, il ne sort jamais. Au plus profond de lui, il est terriblement triste et ne sait pas comment s'en sortir. Ce fut encore pire lorsqu'il apprit que sa femme était stérile.
 
PSEUDO : madder red PRÉNOM : agathe ÂGE : 20 ans  hapiness is a choice, oh shut up ! + johnathan 274562590   PERSONNAGE : inventé hapiness is a choice, oh shut up ! + johnathan 1922099377  AVATAR : Ashton fucking Kutchinator CRÉDITS : gentle heart, tumblr COMMENT ES-TU TOMBÉ(E) SUR LC ? : c'est une vraie question ? hapiness is a choice, oh shut up ! + johnathan 3112672494


 

 
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() message posté Dim 7 Sep 2014 - 17:53 par Invité
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At the beginning




“ welcome in this crazy life dude ! „

25 AVRIL 1983 Moi, quand je suis né, j'étais aussi attendu que tous les bébés sur cette Terre. Ma famille était une famille très soudée qui aimait beaucoup s'entraider et surtout aider les gens autour d'eux. Et quand on a annoncé mon arrivée à bientôt, ils étaient tous très contents de voir qu'au moins il y aurai un descendant à cette famille. J'étais le premier bien évidemment. Donc c'était une grande nouveauté. Mes parents se trouvaient beaucoup (trop) de choses à faire. Pour s'occuper de moi. Même avant ma naissance. Me faire une chambre, m'acheter des vêtements, des meubles et pleins de jouets. Ils avaient même commencé à mettre de l'argent de côté pour mes études, pour ma vie, pour mon futur, pour que je sois le plus heureux du monde quoi. Et moi, je pointai le beau de mon petit minois un 25 avril de l'année 1987. Il faisait froid et ma mère ne s'attendait pas à m'avoir puisque j'avais deux semaines d'avance. Mais elle fut tout de même conduite à l'hôpital et après osculation, le gynéco annonça qu'il était temps pour moi de sortir. Alors hop ! Direction salle d'accouchement et une heure plus tard, j'étais là ! Autant vous dire que ma maman a beaucoup pleuré. Non seulement parce que les sages-femmes lui faisaient vraiment mal pour lui faire les points, mais aussi parce qu'elle trouvé une énorme ressemblance avec mon père qui lui était très calme mais très heureux cependant !

Puis, alors que j'avais six ans, le même scénario que ma venue au monde arriva. Ma maman était à nouveau tombée enceinte, mais cette fois d'une petite fille. Ma soeur. Alors les jouets, les vêtements, les meubles, la chambre, on repris tout. Il n'y en avait plus que pour ma petite soeur. Mais je n'étais pas jaloux. Au contraire, j'avais envie de voir cette petite fille qui ferait encore plus la joie de la famille ! Et voilà que ma petite soeur Caithleen vint au monde. Tout aurait pu être tellement beau... On aurait pu devenir une belle petite famille à quatre. Une famille pas comme les autres. Une famille d'amour et de bonheur avant tout. Une famille qui peut survivre à toutes les épreuves en restant soudée. Une vraie famille. Mais le destin en a décidé autrement..


“ this life is just bulshit ! „

OCTOBRE 1989Comme convenu, je vais vous expliciter pourquoi cette vie n'est que de la merde et que bien heureusement, ma soeur et moi sommes très proches et très solidaires ! Parce que oui, la vie n'est pas forcement toute rose et toute belle ! Ne vous fiez surtout pas aux amoureux qui passent leur temps à vous dire qu'ils ne pourraient jamais être plus heureux qu'en ce moment et que la vie leur a donné tout ce dont ils avaient besoin. Mais écoutez surtout la partie "Ma vie ne serait plus rien sans elle/lui" ça c'est certain. Parce que quand on est amoureux, il n'y a que notre couple qui compte et tout le reste, on ne connaît même pas son existence. Alors c'est sûr que s'ils avaient pas un partenaire, leur vie serait vraiment que de la merde. Mais eux, et heureusement pour eux, ils ne connaissent pas la merde de la vie.

On dit souvent "Ce qui devait arriver arriva." Mais nous, on ne pensait pas que ceci pouvait arriver un jour ! Vraiment pas ! A la naissance de Caithleen, ma petite soeur, maman eu beaucoup de mal. Elle mis des heures et des heures à accoucher. Et elle était vraiment épuisée. Les sages-femmes ne cessaient de lui dire que ça serait bientôt fini, qu'il fallait qu'elle fasse un dernier petit effort et qu'enfin, elle verrait sa jolie petite fille. Papa lui tenait également la main en l'encourageant du mieux qu'il pouvait. Alors que Caith était enfin sortie, on pensa que tout aller bien se passer. La sage-femme lui présenta Caithleen, la lui posant sur le ventre tandis que papa s'écroulait en larmes de joie. La gynéco vint la recoudre, on la ramena dans sa chambre. Tout aller bien. Le lendemain, elle sentit une douleur puissante et brûlante dans son utérus. On l'opéra immédiatement. Elle avait fait une infection suite aux points appliqués sur son périnée et de plus, une partie du placenta n'avait pas été évacuée pendant l'accouchement et avait infecté son utérus en quelques heures. Les médecins ne parvinrent pas à la sauver. Elles mourut alors dans des souffrances atroces. Ce fut un choc pour tout le monde. Pour les médecins, mais surtout pour papa. N'en revenant pas de ce qu'il venait de se passer, il ne pouvait pas croire que la femme de sa vie venait de mourir en mettant au monde son deuxième enfant. Il n'y croyait tellement pas qu'il demandait à tout le monde de voir sa femme. Il commença à déprimer. Puis, il fallut enterrer maman. Je me souviens de ce moment comme si c'était hier, et à vrai dire, j'aurais préféré ne pas avoir cette image dans ma tête.. Caithleen arriva à la maison et tout le monde était triste. Mais il fallait tourner la page et aller de l'avant. Durant quelques mois, Papa fit les plus grands efforts du monde pour surmonter sa peine et il commençait à y parvenir. Il faut dire que Caith et moi y étions pour quelque chose ! J'avais décidé de devenir grand. Je m'occupais, ou plutôt essayais de m'occuper de pas mal de choses dans la maison. Et même si ça ne réussissait pas toujours, papa était content de me voir essayer. Quant à Caithleen, c'était le bébé le plus adorable du monde. C'était comme si elle se sentait coupable de ce qui était arrivé à maman et qu'elle se faisait la plus petite possible. Malheureusement, tous ces paramètre réunis ne parvinrent pas à tirer papa du trou qu'il s'était creusé. On lui diagnostiqua un cancer du pancréas.  

Il souffrit à son tour pendant quelques mois et succomba à sa maladie. Ce fut la chose de trop dans nos vies à Caithleen et à moi. Certes, elle ne le connaissait pas vraiment, mais comme on dit, un enfant équilibré vie avec ses deux parents. Dès la mort de notre mère, nous étions prédestinés à vivre des moments difficiles, mais lorsque la mort de mon père fut annoncée, nous savions que ça allait être encore pire. Nous étions à présent orphelins. La question de où nous allions vivre se posa donc. C'était quelque peu évident. Les services sociaux se tournèrent alors vers notre tante. Effectivement, la fortune de la famille lui fut entièrement léguée, et nous avec. Le contrat était à la base qu'elle devait s'occuper de nous jusqu'à notre majorité à chacun. C'est ainsi que Caithleen et moi nous sommes reconstruis. Ce n'était pas une mauvaise vit. Bien au contraire, nous étions passé d'enfants de producteurs vivant donc dans une grande maison à enfants d'une héritière de la famille vivant dans un immense appartement de L'Upper East Side. Seulement nous étions détruits de l'intérieur. Enfin plus particulièrement moi étant donné que Caithleen était encore trop petite pour se rendre compte de quoique ce soit.




“ we work on being happier.. „

1989-2010 L'emménagement chez ma tante fut la meilleure chose qui aurait pu nous arriver. C'était une jeune femme pleine de vie, très forte, elle avait fait le deuil de nos deux parents en un temps record. Non pas qu'elle ne tenait pas assez à eux pour les oublier ainsi, mais elle savait qu'elle devait être forte pour nous deux. Elle s'était retrouvé avec notre charge sans même s'en être rendu compte. Et il faut dire qu'elle a vraiment géré. Elle était devenu notre mère et notre père tout en même temps. Sans non plus exagéré. Elle fut un énorme facteur dans me reconstruction. J'ai beaucoup travaillé sur moi-même. Mais ce n'était encore pas assez. Le psychologue que nous voyions, ma soeur et moi suite à la mort de notre père ne cessait de me dire que je devais tenir le cou. Je ne devais surtout pas baisser les bras. Il e conseilla alors de me consacrer à un passe-temps. N'importe lequel. Alors moi je me consacrai entièrement à un sport que j'avais beaucoup vu jouer mais que je n'avais encore jamais pratiqué: le football américain. J'ai alors développé une immense passion pour ce sport. Peut-être parce que je m'y accrochais comme à une bouée.. Quand je jouais, je me sentais voler. Je me sentais libre et heureux. J'oubliais tous mes soucis pour ne penser qu'au jeu. Vraiment c'était très agréable. Alors je décidai finalement d'en faire ma vie. Je voulais progresser du mieux que je pourrais le faire et ainsi peut-être essayer de jouer pro. Jusqu'à maintenant, ça fonctionne plutôt bien. Les quelques petits soucis que j'avais à concilier écoles et football au début se sont peu à peu estompé et je suis même devenu au fur et à mesure un meilleur élève que je n'ai jamais été.

Mon enfance se passa presque normalement. Je n'avais que 6 ans lorsque mon père est décédé, ce qui me laissait une marge pour grandir normalement. Quelques réflexions par-ci, par-là de la part de mes camarades de classe, qui me touchaient au début mais qui ont finis par me passer par-dessus la tête. Ce qui n'était malheureusement pas le cas de ma petite soeur qui, une fois rentrée à l'école, due subir de nombreux abus... J'étais donc là pour elle, faisant de mon mieux pour ne pas qu'elle subisse trop de choses difficiles. Ce n'était malheureusement pas chose facile étant donné mes propres sentiments envers ma petite soeur. Je n'y avais pas vraiment prêté attention jusque là, mais il m'arrivais de temps en temps, de penser qu'au final, c'était en quelque sorte la faute de Caithleen si ma mère était décédée. C'était certainement la pire pensée qu'un frère puisse avoir envers sa propre soeur mais je ne contrôlais plus rien. Je m'efforçais simplement de ne jamais déborder. C'était ma soeur et en aucun cas je ne devais abuser. Mis à part cela, j'étais un garçon parfaitement normal. J'ai eu ma première petite copine en quatrième, ma première fois en première. Je n'étais par contre pas le genre de garçon à faire la fête jusqu'à pas d'heure et à boire de l'alcool jusqu'à ne plus pouvoir se sentir..

Aujourd'hui, je vis à New-York, dans un appartement que j'ai pris juste après ma majorité. J'avais envie de vivre seul. Enfin éloigné de ma tante. Non pas qu'elle n'est pas été gentille avec moi. j'avais juste besoin de voler de mes propres ailes. Caithleen m'a rejoins quelques temps après. Nous nous entendons très bien tous les deux et la colocation est facile. Je passe la plupart de mon temps à déconner sur tout et rien. J'ai pas mal d'amis sur qui je peux compter j'en suis sûr: notamment Shelley ou Micah niveau filles, puis mes amis de l'équipe, il y a Aiden, Devon ou même Liam. Et également Noah. Et puis il y a Maisy... C'est ma meilleure amie. Depuis longtemps maintenant, nous nous entendons très bien et il n'y a rien d'ambiguë dans notre relation. Pour le moment...


“ l'amour ça ne se contrôle pas „

21 NOVEMBRE 2010« Caith j'vais au parc voir Maisy ! J'rentre dans pas longtemps. Tu fais pas sauter l'appart' s't'euplaît ! » Je sortis de l'appart. Je pris les escaliers. Je descendis donc rapidement les escaliers et une fois au sous-sol, je montai dans ma voiture. Je sortis du garage et me dirigeai vers le parc. La ville n'était pas animée, ce qui me permit de passer sans embouteillage et presque aucuns arrêts. Une fois près tu parc, je me garai sur une place vide et entrai dans le parc. Maisy était déjà là. Je marchai lentement cette fois. Une fois à sa hauteur, je la pris maladroitement dans mes bras. Puis je m'écartai. Je mis mes mains dans mes poches en montant les épaules. Je ne savais pas quoi dire. C'était vraiment gênant. Ses magnifiques yeux bleus étaient plantés dans les miens.  Tout ce que je pouvais dire à cette instant, c'est que j'avais peur. J'avais peur de dire ce que je ressentais pour Maisy. Enfin de le dire était une chose. je pouvais le crier sous tous les toits, peu importait. Seulement j'étais incapable de lui dire à elle. Enfin si, je l'avais fais. Mais par sms. C'était presque comme si je n'avais rien dis. On dis souvent que déclarer sa flemme par sms ça craint. Enfin. Maintenant c'était fait, et je ne pouvais pas revenir en arrière. Et maintenant, je me retrouvais face à elle. J'étais alors obligé de tout lui dire. En face. Une bonne fois pour toute. Mais pour le moment, je ne pouvais juste pas. ça ne sortait pas directement. J'attendais juste un signe de sa part. Qu'elle m'aide. Et une fois que je l'ai maladroitement serrée dans mes bras, je me suis écarté d'elle. La tête baissée, j'attendais qu'elle parle. Puis finalement, on commença à marcher dans le parc. Elle venait de me prendre par le bras. Elle s'était carrément enroulée autour de mon bras, et même si mon coeur se mit à battre d'un coup, je me sentais bien. je commençais alors à me décrisper. Puis elle se tourna vers moi. « Raconte moi tout ce qu'il y a à raconter ». Alors que j'avais réussis à me décontracter, je redevins crispé. Il fallait que je me calme et que je parle. Sinon ça allait certainement partir en silence gênant. Trop gênant. Alors qu'on marchait, je regardais au loin. Sans vraiment réfléchir à ce que j'allais dire ou ne pas dire. Tout sortit d'un coup. « Je t'aime. Ok. Je t'aime dans le sens où je suis amoureux de toi. Depuis un petit moment je pense. Avant on était amis et j'aimais beaucoup passer du temps avec toi. Mais sans plus. Puis je sais pas, un jour, tu m'as souris d'une telle façon que je suis tombé amoureux. Depuis, je me retiens de te le dire. Mais quand j'ai vu que ça n'allait pas fort avec Mathys, je me suis dis que je pouvais peut-être bien tenter ma chance.. Et voilà. »

Pour dire que j'étais stressé, c'était vraiment le cas. Je n'avais jamais été aussi stressé de toute ma vie. J'étais vraiment amoureux de cette fille. J'étais amoureux de sa voix, quand on parle tous les deux, qu'on se raconte un peu nos vies, nos emmerdes, et tout ça, sa voix quand elle me donne des conseils. Par la même occasion, je suis amoureux de sa bouche. Une des plus magnifiques bouches que j'ai jamais vu ! Et en plus, elle sait les mettre en valeur ! Et son rire. Aaaaah son rire. Tellement spontané. Presque ridicule si je l'entendais d'une autre bouche. Mais elle n'en a absolument pas honte. Elle me fait rêver avec son rire ! Je suis amoureux de ses yeux ensuite. De magnifiques, grands et bleus yeux. Des fois, elle me regarde fixement. Sans le faire exprès. Avant je n'aurais jamais ressenti autre chose que de l'amitié, et on aurait déconné dessus, mais maintenant, je me noie dans ses yeux jusqu'à ne plus pouvoir respirer. Enfin je deviens un petit peu nian nian là.. Hum. Redevenons un peu plus professionnel. Elle est belle, un peu petite mais avec ses talons, ça compense largement ! Elle a une de ces coupes de cheveux très courtes qui ne va qu'à certaines femmes. Emma Watson ne le porte pas très bien je trouve.. Mais elle, elle est magnifique avec des cheveux courts comme ça ! Elle est simplement magnifique Maisy. Et je suis amoureux d'elle. Mais est-ce réciproque ? Jusque là j'en doute ? Je lui ai déclaré mes sentiments deux fois. Par sms. Je sais; minable.. Mais autant dire que je n'avais plus le choix à ce moment-la. Je l'ai fais parce que je devais le faire. Et je ne pensais pas que c'était une mauvaise idée jusqu'à ma deuxième déclaration. Tout de suite. Dans Central Park. Alors que de nombreuses personnes se promenaient sur les chemins.. Je pensais qu'une fois que je lui aurais tout dis, elle allait craquer. Elle allait me sauter dans les bras, et nous nous serons embrassés. Mais non. Tout ce qu'elle a fait c'est me prendre par le bras pour que l'on puisse continuer à marcher. Mes pensées étaient alors dans un autre monde. Un monde de doute et d'inquiétude. « J'ai l'impression d'être au lycée. » Je crois qu'elle voulait détendre l'atmosphère. Je rigolai légèrement. C'est clair que nous étions dans une de ces situations d'ado qui sortent pour la première fois avec une fille et qui ne sait pas trop comment lui dire.. « Ecoute John. Tu me touches quand tu dis ça. Et faut dire qu'avec tout ce qui se passe avec Mathys. Je ne sais vraiment pas quoi penser à cet instant précis. » Elle s'était arrêtée et elle me regardait encore avec ses yeux magnifiques. Je pris alors une grande inspiration. Il était temps que je me bouge le cul pour avoir cette fille !! « Maisy ! Tout ce que je peux te dire c'est que je t'aime. Sincèrement. C'est pas des conneries. Je t'aime comme personne ne pourra jamais t'aimer. Et bien plus que ce.... de Mathys soi ditant passant.. » Je m'approchai alors lentement d'elle. Baissant légèrement la tête, je montai tout doucement ma main droite vers sa joue que je caressai lentement. Toutes les chances de mon côtés. Je la regardai. Je la couvai de mon regard. Qu'elle comprenne à quel point je l'aimais. Toutes les chances de mon côté. Je la serrai aussi très fort parce qu'il faisait froid et qu'elle avait même sorti une grosse écharpe pour se couvrir le cou. Toutes les chances de mon côtés. Il le fallait. Le temps était avec moi. Parce que je vous le jure, je n'y suis absolument pour rien, mais à ce moment même, il commença à neiger. Un flocon vint se déposer sur le bout de son nez. Je souris. Je lui caresse le bout du nez. Et je m'approche encore. Pour ne plus pouvoir que murmurer. « Laisse-moi une chance Maisy. » Nos lèvres étant prêtes à se toucher, j'attendais.

Tout ce que je voulais depuis le début, c'était être aimé de la fille que je croyais aimer. Parce qu'après tout, j'avais tout de même des doutes. Des doutes qui étaient cachés au fin fond de mon coeur et qui n'étaient encore jamais sortis que lorsque j'avais la crainte de perdre encore l'être que j'aimais le plus au monde. Ces doutes n'étaient rien pour moi. Alors qu'ils auraient pris une dimension si immense dans le cœur de Johnathan Stefan Norton, l'adolescent indécis qui ne tombe jamais réellement amoureux d'une fille. Ces doutes ne concernaient que le fait d'être amoureux en soi. Alors encore un doute s'imposait: et si nous nous trompions tous les deux ? Si Maisy quittait Mathys pour moi et que quelques mois plus tard, elle le regrettait ? Si nous n'avions rien à faire ensemble tout simplement ? Car après tout, nous étions là en train de bouleverser l'ordre des choses. Nous étions en train de tout chambouler. Et peut-être même que ce chamboulement aller rendre les choses encore plus compliquées. Mais je n'avais aucuns doutes à avoir finalement. Enfin, l'attirance qui se faisait sentir entre nous deux depuis le début de cette discussion. Elle s'était accrochée à moi dès le début. Et quand elle me touchait, j'avais le cœur qui faisait un bond. Et quand je l'ai serrée dans mes bras. Juste un peu plus tôt. Pour la réchauffer. J'ai sentis son cœur battre presque aussi rapidement que le mien au même instant. Mais tous ces signes, je ne les avais pas vraiment notés depuis le début. Et pourtant, les manifestations physiques sont certainement la chose la plus fiable au monde ! Enfin d'après ce que j'en avais entendu parler. Alors oui j'étais accro à cette fille. Oui je lui avais dit. Oui j'avais tout fait pour la convaincre de me laisser une chance: la déclaration, le rapprochement physique ainsi que l'émotion. Mais venait encore le moment où elle allait me donner sa réponse. De quelques façons qu'elle le voulait, peu m'importais après tout. Tout ce que je voulais, c'était qu'elle m'aime autant que moi je l'aime. Alors quand je m'approchai assez proche de ses lèvres jusqu'à ce qu'on puisse y déposer un baiser, c'était bien évidemment pour lui demander de le faire. Mais j'avais l'impression qu'elle ne le ferait jamais. Et elle se mit même à pleurer. Mais ce n'était pas mauvais. Ce n'était pas de ces larmes que l'on doit prendre pour une pré-réaction à la réelle réaction. Elle était simplement en train de craquer. De tomber sous mes avances. De se laisser aller. Alors je l'aidai encore. Nos souffles se mélangeaient plus que jamais. Et alors que j'avais presque arrêté d'espérer, elle déposa ses lèvres sur les miennes. Un simple baiser. Un baiser qui me fit l'effet d'un feu d'artifice. Elle avait décidé de me la donner cette chance. Alors je n'avais qu'à répliquer. Je pris sa tête dans ma main droite et l'embrassai comme jamais je n'aurais embrassé personne. Un long et beau baiser qui me parut durer une éternité. La plus belle éternité que je n'avais encore jamais vu. Je m'écartai alors lentement d'elle et la regardai dans les yeux. « Merci. » Et je la serrai dans mes bras.

Et je l'embrassai encore. Ces lèvres que je n'avais encore jamais pu toucher. Ces lèvres que j'avais vu bouger pendant des heures lorsque nous parlions. Ces lèvres que j'avais vu également dans la bouche d'autres. J'avais des visions. Enfin plutôt des flashbacks. A présent, ces lèvres étaient à moi. Et j'en remerciai d'ailleurs Maisy à voie haute. Elle avait pleuré et son maquillage coulait sur ses joues. Elle les essuya. Elle était toujours aussi jolie. Je n'en pouvais plus de la regarder. Elle était à moi. Elle s'écarta un peu et en me regardant, elle me proposa de marcher un peu. Seulement, il commençait à faire très nuit et la neige tombait de plus bel. Je ne voulais pas que nous tombions malade. Et je voyais bien qu'elle était fatiguée. De plus, j'avais besoin de penser un peu à tout ça à tête reposée. « Il commence à faire nuit et ça caille vraiment beaucoup donc j'vais te ramener chez toi. Je crois que tu as besoin de dormir. » Je ne voulais pas l'oppresser. Ce n'était peut-être pas très facile pour elle. Je caressai le dessous de ses yeux pour essuyer les quelques larmes qu'il restait ainsi que la fin de maquillage rapidement essuyé. Puis je déposai un petit baiser sur ses lèvre. Et je la raccompagnai chez elle.




“ like a first meeting „

28 JANVIER 2011« Jooooohn ! C'est cool que tu sortes avec Maisy ! C'est génial génial génial !! », « Mais tu vas te calmer un peu ! On dirait que tu viens d'avoir une nouvelle partition de ta prof de piano là ! Et puis je ne sors pas encore officiellement avec elle. On s'est embrassés, et maintenant on va dîner ensemble. C'est tout. » Caithleen était toute sautillante et elle remuait toute la maison avec un immense sourire, la mains sur la bouche genre avec les yeux qui brillent et tout ! J’avais invité Maisy à dîner. Une soirée entièrement consacrée à nous deux. Je l’avais appelée la veille. Nous ne nous étions pas revus depuis l’épisode du parc qui avait eu lieu quelques jours avant. Après tout, nous n’avions rien officialisé. Cependant j’en avais vraiment envie alors, je me dis que pour ce soir, je devais mettre les choses au clair de mon côté et les faire comprendre à Maisy pour qu’on puisse avancer. Je l’aimais et elle le savait. C’était déjà un sacré pas surtout que ça avait l’air plutôt réciproque. Et me voilà parti. Le restaurant était dans Manhattan, c’était The Carlyle, un grand restaurant réputé pour faire une cuisine très variée mais toujours avec la touche personnelle du cuisinier. Je me garai donc devant le restaurant. Le hall était assez vide et je repérai facilement Maisy qui était arrivée avant moi. Mon souffle fut coupé d’un coup et d’ailleurs, je m’arrêtai. Elle était absolument magnifique. Comme d’habitude, mais elle avait mis une jupe que je ne lui avais encore jamais vu mettre et à vrai dire, je la trouvais encore plus belle dedans. Je repris mes esprits et me dirigeai vers elle. Une fois proche, je lui souris et le plus naturellement du monde, je l’embrassais. Je sentais qu’elle était nerveuse et je décidé, dans un élan de courage d’être celui qui mettrait en confiance.« Je suis content de te voir ma belle. » Je l’embrassais à nouveau, rapprochant son corps un peu plus du mien en l’attirant par la taille. Je sentais qu’elle se détendait. Et moi, j’étais tout à fait à l’aise. Je déposai un dernier baiser sur son nez et je la pris par la main en me dirigeant vers le comptoir d’accueil qui était un étage au-dessus où un serveur nous installa à notre table. « La vue te plait ?» « C'est magnifique Johnathan. »

Nous étions dans un cadre particulièrement romantique et je me retrouvais avec la plus jolie femme de New-York juste en face de moi qui me tenait la main.  « Tu sais que Caithleen me parle tout le temps de toi ? Je crois qu'elle est super contente à l'idée que nous soyions... »  hum. Je tentais le coup.  « Ensemble. » « Elle a bien raison... En plus, on forme un beau petit couple je trouve. » C’est à partir de ce moment précis que je me sentis réellement comme son petit copain. Nous étions enfin ensemble. C’était ce que j’attendais depuis si longtemps ! Et je l’avais enfin. J’étais tellement heureux que les paroles me manquèrent pendant quelques secondes. Je plongeai mon regard dans le sien. Ces yeux magnifiques me dévoilaient tout l’amour qu’elle me portait. Et j’espérais qu’elle voyait dans les miens tout l’amour que je lui portais à elle. Nous passèrent donc un dîner merveilleux. Le repas était en plus vraiment à la hauteur et j’étais très heureux de l’avoir avec moi. Nous interrompîmes tout de même ce moment pour se retrouver chez elle. Une fois arrivé devant chez elle, on sortit de la voiture, elle ouvrit la porte de sa maison et on entrai. Nous étions pas mal silencieux. Je m'approchai onc d'elle, prit son visage d'une main et l'embrassai langoureusement. Je la dirigeai alors lentement dans les couloirs de la maison. J'étais venu plusieurs fois et je pouvais me diriger dans l'appartement les yeux fermés. C'était ce qui était en train de se produire.. Nous nous cognions un peu partout, mais on s'en fichait à vrai dire. Nous arrivions dans sa chambre. Je continuais de l'embrasser et dans un mouvement particulièrement artistique, je quittai ma chemise. Je soulevai son t-shirt qui était rentré dans sa jupe rayée et passai ma main dans son dos, la carressant doucement. « John, je... Je t'aime » C’était tout ce que j’avais espéré depuis bien longtemps. Elle m’aimait vraiment et finalement cette étape n’était autre qu’une ultime déclaration d’amour de notre part à nous deux. Je passai donc ma main sur sa joue et lui souris. « Je t’aime aussi Maisy Cara Williams ». Elle me sourit à son tour puis me déboutonna le pantalon pendant que je lui faisais des bisous un peu partout. Puis ensemble, nous enlevions les derniers vêtements qu’il nous restait et le feu d’artifice. C’était la première fois que je couchais avec une fille depuis bien longtemps, mais c’était absolument parfait. C’était encore meilleur que ce que je m’étais imaginé et je n’avais alors plus aucunes craintes. Tout était parfait. Nous étions en osmose complète et nos deux corps entrelacés semblaient ne plus vouloir se quitter. Ce fut une nuit magique.


“ something snapped me out of a dream „

21 DÉCEMBRE 2011 Un an. ça faisait maintenant un an que j'étais en couple avec Maisy. Ce qui était plutôt subjectif étant donné que nous nous connaissions depuis bientôt quatre ans et que nous étions très proches depuis presque aussi longtemps. Et pourtant, il nous avait fallut tout ce temps pour nous mettre en couple. ça n'avait pas était très simple non plus. Alors que je considérais Maisy comme ma simple meilleure amie, elle était sorti avec un tas de garçons -enfin deux à vrai dire mais c'était déjà beaucoup trop pour moi- qui lui avaient fait beaucoup de mal, et moi j'étais là, à la réconforter, à lui donner des conseils, à tenter d'arranger les choses. A cette époque, ça me paraissait normal. C'était mon rôle d'ami après tout, mais maintenant que je me trouvais dans une position beaucoup plus proche d'elle, je me disais que ça avait été une période très étrange. Finalement, j'avais des sentiments pour cette jeune femme depuis bien longtemps, mais je n'avais jamais vraiment fais attention à leur nature. Pour moi, c'était de l'amitié très forte. Mais lorsqu'elle s'était séparée de son dernier petit ami, Mathys quelque chose, je m'étais immédiatement questionné. Et si j'étais le garçon qui pouvait la rendre heureuse ? Et si après tous ces échecs qu'elle avait vécu avec ces abrutis, je pourrais lui faire connaître enfin le bonheur ? Après tout, nous étions restés très proches pendant des années sans vraiment s'engueuler. Peut-être que ça pourrait fonctionner également en tant que couple. Ces questions, je me les posaient longtemps et puis finalement, un 21 novembre enneigé, dans le parc, je lui déclarait mon amour. C'est à partir de ce soir-là que nous avons commencé à sortir ensemble. Et déjà que notre relation était extraordinaire, elle devint encore plus exceptionnelle. Nous avons passé une année ensemble et les choses se passaient extrêmement bien. A vrai dire, nous ne nous engueulions presque jamais, seulement pour des broutilles dans le genre de John qui ne sait pas repasser une chemise ou mademoiselle Maisy qui trimbale les poils de son chien sur elle et qui en fou partout. En bref, c'était le grand amour, et à vrai dire, on pensait que rien ne pourrait le laisser partir. Malheureusement, les choses allaient se gâter d'ici peu.. Et j'étais l'instigateur des ennuis qui nous guettaient. Pour ma défense, ce n'était absolument pas volontaire et si j'avais le pouvoir de remonter le temps, j'aurais effacé cette soirée qui me retourna complètement le cerveau. Alors que j'avais passé une semaine chargée en examens, je me trouvais un samedi soir, seul, épuisé et au bord de la crise de nerfs. Ce soir-là, Caith était de soirée et Maisy devait réviser pour ses propres examens. je me retrouvais donc seul sas les personnes que j'aimais le plus pour me remonter le moral. Effectivement, en plus d'avoir passer une semaine entière à bosser comme un malade, j'avais l'impression d'avoir foiré tous mes examens et je me retrouvais bien dans la merde pour la suite.. La seule chose qui pourrait alors me remonter, mis à part les deux femmes de ma vie, c'était certainement une bonne grosse fête avec de l'alcool. Et le seul endroit où je pouvais aller c'était le club exit dans Brooklyn. Je m'y suis donc rendu et je m'y suis mis un grand coup au nez. Ce que j'aurais du grandement éviter d'ailleurs parce que ce fut le déclencheur. Je ne me souviens plus exactement des détails de la soirée, mais ce dont je me souviens, c'est de moi, nu, allongé dans le lit d'un mec dont je ne me souvenais même plus la tête. Lorsque je lui demandais ce qu'il s'était passé, il me répondit clairement que nous deux, nous avions eu une nuit merveilleuse et qu'il était prêt à recommencer. C'est à ce moment que j’ai eu la peur de ma vie: il prit mon visage entre ses mains et approcha son visage. Je me suis enfui en courant. Une fois rentré chez moi, je me suis immédiatement rendu compte que j'avais non seulement trompé Maisy, mais en plus avec un mec. C'était tellement étrange et.... étrange que je ne m'en remettais pas. Non pas que je sois homophobe, mais j'étais entièrement hétéro et je ne m'été encore jamais imaginer vivre ça.. C'était comme se retrouver dans la peau de Stue de "Very Bad Trip 2". Horrible. Encore heureux que je ne me souvenais de rien, que personne n'était au courant et qu'il n'y avait aucune preuve. Je ne m'en sentais pas moins coupable et extrêmement mal, mais j'espérais que Maisy ne soit jamais au courant. Mais mon plan fut légèrement compromis lorsque je reçut un coup de fils de ma bien aimée m'invitant dans son appartement pour un dîner romantique en hommage à nos un an ensemble et aux fêtes de fin d'année. Je ne pouvais refuser. Je devais donc aller chez elle le lendemain soir.

Tout se passa plutôt bien pendant environ dix minutes. Maisy prit ma tête entre ses mains et déposa un baiser sur mes lèvres. Puis elle se releva brusquement, déposé Willow qui traînait dans ses pattes et se dirige vers la cuisine. Son comportement était tout de même étrange.. Je me levai à mon tour en prenant Willow et la déposant sur le canapé - pauvre chienne, elle était ballottée dans tous les sens..- et me dirigeai vers la cuisine. Je m'appuyai sur le rebord de la porte en la regardant. C'était comme si on avait cliqué sur le bouton accéléré d'une vidéo. Elle était devenu comme Wonderwoman. Elle s'agité très rapidement, ouvrit le four, sorti la viande cramée -je ne le reconnu même pas au passage..-, la déposai dans l'évier, sorti une pizza du congélo qu'elle déballa et mit dans le four. Tout ceci, elle le fit en marmonnant. Je ne comprenais pas vraiment ce qu'elle disait puisqu'elle avait l'air de se parler à elle-même, mais je reconnu tout de même le mot "paniquer". Il n'y avait donc pas seulement moi qui était en panique ce soir-là. Mais c'était étrange comme retournement de situation. Qu'est-ce qu'il se passait pour qu'elle soit dans cette état ? Elle ne pouvait pas avoir fait de bêtise. Pas elle. La seule possibilité était qu'il lui soit arrivé quelque chose. A elle ou bien même à quelqu'un de proche. Micah peut-être.. Elle se retourna et sans même relever la tête, elle se dirigea vers le salon. Elle du m'apercevoir puisqu'elle releva la tête. « Ah ! Ô mon dieu, John tu m'as fais peur. » Ok il y avait définitivement quelque chose qui ne tournait pas rond. Et j'avais la ferme intention de découvrir ce qu'il n'allait pas. Je pris ses mains dans les miennes et cherchai son regard. « Ecoute Maisy je vois bien que quelque chose ne tourne pas rond. Si tu me disais ce qu'il ne va pas ? ». Je caressai sa joue comme pour la réconforter. J'ai hypocrite. Oui après tout, j'étais celui qui avait fait une connerie et je me retrouvais dans la position de celui qui écoute alors que je devrais être dans la position de celui qui parle. Qui avoue. C'était comme si je lui mentais.  « Je... Mais... Je ne te cache rien » Elle avait bégayé, ce qui me prouvait bien que quelque chose n'allait pas, mais elle afficha tout de même un immense sourire. Un sourire à la Maisy. Un très grand sourire limite comme ceux des actrices qui jouent dans les pubs pour dentifrice extra blancheur. « Et toi, tu n'as rien à te reprocher ? » Pour la première fois de la soirée, j'avais l'impression de bien agir. Et même s'il pouvait y avoir des tas de conséquences graves, je devais assumer. « A vrai dire... Oui j'ai quelque chose à t'avouer. Mais avant j'aimerais que tu saches que je t'aime plus que tout au monde ma puce. Voilà je suis absolument pas fier de moi et je te présente mes excuses pour ce que j'ai fais. Je suis vraiment désolée et j'espère que tu saura me pardonner. Voilà Maisy je...je t'ai trompé. » Sa réaction ne fut pas du tout celle à laquelle je m'attendais !

« Waw John, je suis soulagée ! Franchement je pensais que tu allais me quitter et... et puis je me sens moins coupable de... de... On a fais la même erreur John et je... Oui, je t'ai accidentellement trompé, avec Dylan Cooper, enfin je crois. J'en suis absolument pas fière et... Pfiou je suis... Vraiment soulagée de te l'avoir dis et... » Et elle se rendit enfin compte de l'absurdité de sa réaction. En à peine quelques minutes, elle était passé de la femme de ma vie à une espèce de furie tenant un propos incohérent. J'avais du mal à la reconnaître et la Maisy que je connaissais revint finalement à moi. La réaction que j'attendais en premier arriva. Maisy se leva d'un coup, la tête baissée, et je vis ses petits poings se serrer d'un coup. La tornade arrivait, et elle risquait de faire des dégâts. « Johnathan johnathan johnathan ! » [url=http://media.tumblr.com/tumblr_lwik2zDHHv1qe33cq.gif]Sans prévenir, je la vis se ruer sur moi, tous poings devant, elle commença à me frapper le tSalmon#8c4f35]« Comment t'as pu me faire ça ? Moi c'était accidentel, John. Mais comment t'as pu me faire ça ?! Donne moi le nom de cette pouf que je m'occupe d'elle. Dis le moi ! Mais... Comment tu as... pu faire ça... Comment ?! »[/color] S'en était trop. J'en pouvais plus. Elle m'avait fait sortir de mes gonds. Il était hors de question que je me fasse insulter de la sorte. « ça suffit maintenant tu vas te calmer ok ! » Je tenais ses poings très forts entre mes mains. Tellement fort que j'avais les doigts qui commençaient à devenir blanc. Je me penchai vers elle, afin que mon visage ne soit qu'à quelque centimètres du sien. J'étais devenu tout rouge et je devais avoir les veines qui ressortaient sur mon front. « Comment j'ai pu te faire ça hein ? » J'avais parlé extrêmement bas. « COMMENT MOI J'AI PU TE FAIRE CA ? » je m'étais mis à hurler. Willow, qui était resté sur le canapé se mit à aboyer. « Tu oses me demander comment j'ai pu te faire ça ??!! Moi au moins j'ai les couilles de te l'avouer ! Et je ne fais pas la petite sainte en mentant et en disant que tout va bien et en utilisant mes bêtises pour t'en sortir ! Tu me dégoutes Maisy. » J'approchai encore plus mon visage du sien et en parlant bas. « Tu me dégoûtes. » Je lâchai ses poings, me contrôlant un maximum pour ne pas faire quelque chose que je regretterai par la suite.

Je lui tournai le dos, prenant ma tête dans mes mains et en regardant le plafond. Je faisais de mon mieux pour me calmer. Je sentais les larmes couler sur mes joues. Je n'avais encore jamais été aussi énervé, et encore moins contre Maisy. Quand je disais que jusque là,nous n'avions jamais eu de réelles disputes, j'avais bien raison. celle-ci était vraiment violente et j'agissais selon des impulsions que je n'avais encore jamais eu.. Il fallait tout de même que je fasse sortir cette colère. « C'était un mec. » Je baissai la tête. « Voilà toi tu m'as trompé avec une nana et moi je t'ai trompé avec un mec. » C'était ce que j'avais le plus peur de lui dire. Et c'était fait. D'ailleurs, je n'avais pas prit la peine de réfléchir au fait qu'elle m'avait trompé avec une fille. Etait-elle bisexuelle ? Ou carrément lesbienne ? Remarque si on comparait avec mon expérience, peut-être qu'elle ne l'était pas du tout. Moi-même j'avais couché avec un mec et ce n'était pas pour autant que j'étais bi ou gay.. « Et figure-toi que pour moi aussi c'était une grosse erreur. J'étais complètement bourré. Et je ne me souviens même plus de la nuit.. » Nous finissons par nous calmer un peu, et je me retournai vers elle. « Tu sais Maisy, j'ai toujours cru que tu étais la femme de ma vie. J'avais prévu de me marier avec toi, d'avoir pleins d'enfants avec toi. Qu'on achète une jolie maison avec un grand jardin et une balançoire. Je te voulais pour la vie. Je te veux pour la vie. » C'était la première fois que je disais ça à voix haute. Et j'avais une voix extrêmement calme. Trop calme. Nous avions, ce soir, tout les deux eu des réaction étrange. « Je veux te faire des enfants Maisy. » « Je t'aime plus que je n'ai jamais aimé. Je t'aime plus que tout, plus que ma vie, plus que tout au monde, plus que tout ce que tu peux trouver. Et si je t'aime tant, c'est que tu es l'homme de ma vie, je n'y vois pas d'autre explication. Il n'y a qu'avec toi que je me sens capable de me marier, d'acheter une maison, d'élever un enfant. je vois mon enfant avec tes yeux, avec ton sourire. Johnathan Stefan Norton, fais moi un enfant. »

Ce fut une nuit extraordinaire. certainement la meilleure que nous avions eu. Bon elle était en compétition directe avec la première nuit que nous avions passé chez Maisy, mais elle était tellement chargée d'émotions que je décidai de la mettre à égalité. J'espérait que Maisy serait de cette avis. nous étions tout les deux dans un état étrange la veille au soir, et peut-être qu'en reprenant nos esprits, les choses apparaîtraient différemment.. Je me réveillait donc sur le canapé, Maisy dans les bras, et Willow allongée sur mon bras. Je la réveillai doucement, heureux comme un roi. Et après quelques paroles échangées sur la merveilleuse nuit que nous avions passé, « Épouse-moi Maisy. » Je voyais qu'elle commençait à faire les gros yeux et à vrai dire, c'était fort compréhensible. Je pris alors sa tête entre mes mains. « Je déconne pas, épouse-moi. On est tellement bien ensemble. Tu es la femme de ma vie et je veux qu'on ai des enfants tous les deux. Je veux vivre avec toi jusqu'à la fin de mes jours.» Sa réponse ne fut pas à la hauteur de mes attentes.. « Je ne veux pas me marier et je ne veux pas d'enfant John. J'aime la simplicité de notre relation. Je n'ai pas besoin de plus. » Ne prenant pas la chose du bon côté, je décidai de quitter l'appartement, laissant Maisy derrière moi, ne sachant pas du tout de quoi serait fait demain..




“ it’s a beautiful night, we’re looking for something dumb to do „

5 FEVRIER 2012Pour moi, ce n'était encore qu'une soirée ratée. Comme toutes celles que j'avais passées depuis un mois. C'était une horreur. Depuis ma rupture d'avec Maisy, je n'avais pas réussit à me remettre. Peut-être parce que j'espérais qu'elle vienne me voir et qu'elle me dise qu'elle voulait qu'on revienne ensemble. Oui c'était ça. Je n'espérais plus que ça. Et je ne savais pas si elle venait sur le bateau, mais en tous cas, je ne savais pas vraiment si j'avais envie de la voir. A la fois oui parce que pour moi, il n'y avait pas d'autre façon que ça se passe entre nous deux qu'elle veuille qu'on se remette ensemble. Et à la fois non parce que j'avais peur que ça ne soit pas le cas, et que je sois extrêmement déçu. J'étais donc partagé, et je passais une soirée horrible. Au lieu de rester assis tout seul au bar, je décidai de faire un tour sur le bateau. Histoire de visiter. Après tout, je n'étais que très rarement monté sur un bateau, et je ne savais pas vraiment comme c'était fait. Je commençais par le pont, puis j'entrai dans un couloir avec des portes de chaque côtés. ça devait être les cabines. Alors que je marchais tranquillement le long du couloir, je vis une ombre en face de moi. ça avait l'air d'être une jeune femme. Et lorsqu'elle s'approcha plus, je me rendis compte que ce n'était autre que Maisy. Mon coeur s'arrêta pendant une fraction de seconde. Je n'avais encre jamais imaginé quelle serait ma réaction quand je la reverrai, et bien voilà. C'était fait. J'étais paralysé. Elle s'était également arrêtée, m'aillant reconnu. Elle s'approcha un peu plus de moi et soudain, elle me plaqua contre le mur, me demandant doucement de l'écouter. Je la repoussait alors doucement pour qu'elle ne soit pas aussi proche de moi. Je savais pertinemment que s'il y avait contact physique, j'allais facilement craquer. J'avais besoin d'écouter ce qu'elle avait à me dire au plus profond d'elle-même. « Je t'écoute. » Et je la laissai parler. « J'ai réfléchi, tellement réfléchis tu sais... John je m'en veux de t'avoir menti et de ne pas avoir su ce que je voulais. Maintenant je sais ce que je veux John, je m'en suis rendue compte. Tu m'as tellement manqué et c'est comme ça que je me suis rendue compte que tu m'étais indispensable et que la seule chose dont j'ai besoin et que je veux, c'est toi. » Tout ce qu j'avais voulu c'était de retrouver la femme de ma vie. La personne qui avait le plus compté pour moi et qui compterai d'ailleurs le plus pour moi pour le reste de ma vie. Je la voulais auprès de moi chaque jours. Et depuis notre rupture, je n'avais pas réussi à l'oublier. Et pourtant, il était possible que je ne la revoit plus jamais. Ou du moi pas que je voulais la voir. Et voila que je la croisais dans un minuscule couloir. Franchement, quelle était la probabilité que l'on se croise à cet instant? ? Très petite certainement. Et c'était en train d'arriver. Et encore mieux, elle avait l'air de vouloir me parler sérieusement. J'attendais donc qu'elle me dise ce qu'elle voulait me dire, en espérant au plus profond de moi que ça soit positif.E elle commençait a me dire que je lui manquer. Elle finit par le fait qu'elle voulait être avec moi. Sans m'approcher plus d'elle je pris la parole. « Moi aussi j'ai envie d'être avec toi. Je te l'ai déjà dis d'ailleurs. Mais apparemment on ne veut pas être ensemble de la même façon... » « Johnathan, je t'aime comme j'ai jamais aimé, et comme je serais surement incapable d'aimer quelqu'un d'autre. J'ai besoin de toi. Plus que tout. John, je m'en veux d'être ce que je suis : égoïste, menteuse. Je m'en veux de te faire du mal, parce que c'est ce que je fais d'une certaine façon, mais je ne peux pas te laisser partir.  Johnathan Stefan Norton, épouse moi. » Je la fixai alors un instant. Elle était sincère. Je pris alors sa tête entre mes mains et m'approchai d'elle le plus proche possible et je l'embrassai. Quel merveilleuse sensation que de l'embrasser. ça m'avait tellement manqué. Je posai alors mon front contre le sien. « Qu'est-ce que tu penses d'Avril pour le mariage ? » « John on va se marier, en avril. »


“ mariage „

22 OCTOBRE 2012 « Monsieur Johnathan Stefan Norton, voulez-vous prendre mademoiselle Maisy Cara Williams ? » Mes yeux plantés dans les siens, je ne pouvais plus détourner le regard. Elle était tellement belle, ce voile immaculé tombant de ses cheveux bruns, accordé avec sa robe. Je n'avais d'yeux que pour elle, et tant mieux, elle allait être mienne pour le reste de nos vies. J'étais tellement heureux d'avoir accepté de me marier avec elle, et nous  n'avions pas perdu de temps. Après cette soirée sur le bateau à NY, nous avons pris une semaine pour nous organiser et trois semaines plus tard, nous avions déménagé à Londres. Les parents de Maisy nous ont accueillis les bras ouverts pour les première semaines avant que nous ne trouvions une petite maison pour nous. Toute la famille Williams était enchantée par ce mariage, malgré le fait que je ne les avais encore jamais rencontrés. J'appris donc à les connaître, passant de merveilleux moments en famille, et le courant passa à merveille. Et nous voilà donc, le jourJ, alors que je suis sur le point d'épouser la femme de ma vie.

« Oui je le veux. » Le prêtre annonça alors que je pouvais embrasser la mariée. Je n'hésitai pas un instant, posant mes lèvres sur celles de ma bien aimée. S'en suivi un magnifique banqué, célébrant notre nouvel union. Tot était absolument parfait. Et pour couronner le tout, je me sentais très bien dans mon nouveau pays. Chose à laquelle je n'étais absolument pas certaine quand j'avais décidé de suivre Maisy jusqu'ici. J'avais quitté mon poste à la Petride Scool, mais j'en trouvais un tout nouveau ici, cette fois pour des jeunes un peu plus âgés. En effet, il s'agissait de l'équipe de football américain de l'université de Londres. C'est certes pas du tout le sport nationnale dans le pays, mais j'avas entendu dire qu'elle était composé de jeunes plutôt motivés. Je décidai donc de les prendre sous mon aile, leur faisant partager mon expérience comme je pouvais.

Il ne me fallut que 6 mois avant de repérer tous les talents de chaque joueur, d'en faire des atouts redoutables et de les faire connaître dans le pays. Fier de moi, je vivais une vie tranquille mais très heureuse avec ma nouvelle femme.




“ accident & le reste„

5 FEVRIER 2014 Mais tout ne pouvait pas rester tout rose indéfiniment n'est-ce pas ? Non. Et tout s'effondra à peine deux années plus tard. J'étais toujours autant épanoui dans mon activité d'entraineur de football américain, faisant monter mes joueurs de plus en plus haut dans les classements. A côté de ça, cela faisait quelques temps que nous pensions, Maisy et moi, à aller plus loin dans notre relation, et d'officialiser encore plus loin que le mariage. Nous voulions fonder notre propre famille et partager l'amour qui nous unis avec un petit bout de chou. Tout se passait très bien dans a vie, quand un abruti fit une erreur fatale. Un jour banal où je prenais la moto pour aller au travail, je roulais très bien, comme d'habitude, jusqu'au moment où un chauffard me rentre dedans avec son camion. Puis le trou noir.

Suite à ça, un tas d'opérations, de diagnostiques tous moins encourageants les uns que les autres, et me voilà dans un fauteuil roulant, les jambes paralysée. Au final, ma jambe gauche s'est réveillée et depuis, elle est plus ou moins active, mais ça n'est pas le cas de ma jambe droite. En attendant, mon esprit en a également prit un coup. Je suis à présent en dépression, et ma vie est un enfer.





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() message posté Dim 7 Sep 2014 - 18:06 par Invité
Johnathan is back hapiness is a choice, oh shut up ! + johnathan 1973890357
Re bienvenue A. hapiness is a choice, oh shut up ! + johnathan 1259971015
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() message posté Dim 7 Sep 2014 - 18:16 par Invité
(Re)bienvenue petit muffin. hapiness is a choice, oh shut up ! + johnathan 1973890357

Bon courage pour ce personnage. hapiness is a choice, oh shut up ! + johnathan 902495459
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Robin T. Lawford
Robin T. Lawford
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() message posté Dim 7 Sep 2014 - 18:21 par Robin T. Lawford
Re bienvenue hapiness is a choice, oh shut up ! + johnathan 2507724822 hapiness is a choice, oh shut up ! + johnathan 1973890357
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() message posté Dim 7 Sep 2014 - 18:23 par Invité
Ashton. hapiness is a choice, oh shut up ! + johnathan 1942225346 Bon retour.
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() message posté Dim 7 Sep 2014 - 18:28 par Invité
Ah bah tiens, une tête connue hapiness is a choice, oh shut up ! + johnathan 1499450316
rebienvenue à la maison hapiness is a choice, oh shut up ! + johnathan 1973890357
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() message posté Dim 7 Sep 2014 - 18:31 par Invité
welcome hapiness is a choice, oh shut up ! + johnathan 2894325006 bon courage pour ta fiche
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() message posté Dim 7 Sep 2014 - 18:51 par Invité
Re-bienvenue hapiness is a choice, oh shut up ! + johnathan 1973890357
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() message posté Dim 7 Sep 2014 - 18:52 par Invité
Rebienvenue I love you
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