"Fermeture" de London Calling
Après cinq années sur la toile, London Calling ferme ses portes. Toutes les infos par ici A night at the museum, the remake? [PV Kim] 2979874845 A night at the museum, the remake? [PV Kim] 1973890357
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A night at the museum, the remake? [PV Kim]

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Breena A. Donnelly
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() message posté Sam 27 Avr 2019 - 18:14 par Breena A. Donnelly

A night at the museum, the remake?
La nuit tombée, éteignez vos soucis et allumez vos rêves.

Cette citation, je ne sais pour quelle raison, allait me revenir à l’esprit bien plus tard dans la journée.

« Je vous remercie pour votre attention et vous souhaite une très belle journée, »

Je venais de terminée ma première visite du jour. C’était journée comme les autres. Visites, relevées des œuvres, recherches pour le nouveau projet, bref une journée trop courte pour savoir tout faire ! Mais cela n’était pas un problème pour moi. Étant une personne passionnée par son métier, je n’avais pas peur de la charge de travail qui m’attendait certains jours.  Ce fut donc avec le même enthousiasme que j’attaquais ma deuxième visite quinze minutes plus tard. Et c’est avec cette visite que je terminais la matinée,

Après une pause d’une heure pendant le temps de midi, ou j’en avais profiter pour manger un morceau, j’avais repris le travail par terminer la liste des œuvres qui devaient partir en restauration. Cela allait être rapidement terminé car il n’y en avait pas autant que la dernière fois. Comme cela allait aller vite, je décidais de vérifier que toutes celles qui devaient reprendre leurs places dans la partie antiquité du Musée, étaient bien toutes rentrées. Cela me prit une bonne heure, voir même une heure trente. C’était plus long que je ne l’avais pensé. Mais pas grave, cela ne m’empêcha pas d’encoder le tout dans notre programme.

« Bon, ben voilà c’est fait. Maintenant, je pense que je peux m’attaquer à la poursuite des recherches pour la préparation de notre prochain projet . »

Et pour cela, je devais descendre dans les sous sol ou se trouvait un vrai trésor d’objet, de libres… Bref tout ce dont j’avais besoin pour cela se trouvait donc sous terre ! J’avais signaler à un collègue que je descendais mais par contre, je n’avais pas pensé à regarder l’heure qu’il était. Une fois sur place, je m’installais dans un coin de la salle et je m’attaquais à mon travail. Les heures passaient et moi j’étais la tête plongée dans les livres.

Plus rien de ce qui se passait autours de moi ne m’intéressait. Ce fut lorsque la lumière se coupa que je sortis enfin de mes lectures…

« Ah super !!!! Les groupes électrogènes vont prendre le relais, pas d’inquiétude. »

Enfin c’est ce que j’espérais, mais je me trompais car rien ne se passa. Bon il allait falloir que je remonte, je n’avais pas trop envie de rester ici toute seule. Je refermais tant bien que mal les livres avant de remonter. Pour ce qui était de mes notes, je les laissaient là et je reviendrais les chercher une fois que la lumière serait de retour.

En remontant, je me servait des quelque lumières de secours qui fonctionnait et utilisait mon téléphone portable. Au moment de l’ouvrir j’avais fait une mauvaise découverte, il ne me restait plus que 20 % de batterie. Ce qui voulait dire qu’il ne fallait pas que cette coupure dure trop longtemps.

Une fois les escaliers trouvés, je décidais de les remonter avec prudence. Durant cette ascension une drôle de citation de je ne sais qui me vint en mémoire.  La nuit tombée, éteignez vos soucis et allumez vos rêves. Ben oui c’était pas mes rêves que je souhaitais allumez mais cette foutue lumière. En effet, mon pied venait de glisser sur un bord d’une marche et j’avais bien manquer de m’étaler dans les escaliers.

Une fois arrivée à l’étage, je me sentais perdue. Je ne savais plus trop par où aller. J’avais beau connaître le musée par cœur, une fois dans le noir j’étais totalement perdue. En plus, je ne savais joindre personne car je n’avais pas de réseau. Par sécurité, j’avais coupé mon portable fin de garder le peu de batterie qu’il me restait.

Voyant qu’il faisait également noir à l’extérieur, je me doutais qu’il devait être tard, il ne devait pas rester grand monde dans le musée. Je devais sûrement d’ailleurs être toute seule. Enfin c’est ce que je pensais car j’entendis un drôle de bruit provenir de je ne sais où. Malgré, la panique qui me prit, je décidais d’avancer vers l’origine de ce bruit.

« Il y a quelqu’un ? »

Osais-je demandé.
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Kim Bellingham
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() message posté Sam 4 Mai 2019 - 11:28 par Kim Bellingham

A night at the museum, the remake?
La nuit tombée, éteignez vos soucis et allumez vos rêves.

Ne plus jamais croire quelqu’un qui délègue une tâche en assurant que c’est d’une simplicité déconcertante, que cela ne prendra tout au plus qu’une petite heure pour conclure et signer le partenariat. Elle est bien là la contribution à devenir une personne avec un minimum d’influence grâce aux relations multiples qu’on se fait dans divers domaines de la ville : on nous envoie au charbon parce qu’on a en plus la tête avec le sourire qui va bien pour négocier. Je n’avais certes à m’occuper de rien d’autre que de dire oui amen à tout, le rendez-vous déjà convenu en dehors des heures de visite du musée et les pièces d’emprunt déjà référencées par écrit pour que le responsable à qui j’aurai affaire n’ait qu’à suivre le répertoire pour me confirmer. Pas d’événement ce soir, pas de restaurant de programmé, alors comme une cruche j’ai accepté de me plier à cette corvée pour que l’organisation soit parfaitement gérée et que tout soit prêt d’ici dix jours dans la mission à laquelle je m’étais contractuellement engagée.

Pas le genre de cruche datant de cinq millénaires, trônant au milieu d’un vaste espace et balisée par un épais cordon bordeaux tressé de cinq centimètres d’épaisseur. Non, plutôt la cruche qui poireaute dès son arrivée après son contact car celui-ci est injoignable et que l’agent d’accueil ni le vigile ne laisse entrer plus loin au-delà des horaires d’ouverture. La cruche qui ne s’appelle pas Sa Majesté la Reine ni Kate Middleton pour avoir ce privilège. Le musée n’étant pas le bar select où je passe la majorité de mes soirées, cela restait somme toute normal que je n’y sois pas une V.I.P. mais juste une cruche. Une belle cruche peut-être, qui attendait le prince charmant … ou pour être plus réaliste, un homme potelé que je toisai d’une poignée de centimètres et qui s’essoufflait après avoir mis de longues minutes à venir m’accueillir. Pour sûr, on ne pouvait le confondre avec un homme de la sécurité, dans quel cas le musée serait vraiment à la merci du premier brigand amateur qui voudrait tenter le casse du siècle.

Je le suivis, prenant garde de ne pas le distancer jusqu’à chaque œuvre recensée sur le formulaire qu’il avait lui aussi imprimé dans un ordre différent afin de mieux s’y retrouver par rapport aux étages où se trouvaient chaque objet sollicité. « Vous n’avez pas rassemblé tout pour que ça aille plus vite ? » suggérais-je tardivement. Pas eu le temps de mettre tout en réserve. D’accord, il avait sûrement une expérience dans l’administration inscrite sur son curriculum vitae. Je m’abstins de lui parler du sens des priorités dans la complémentarité des activités entre le musée et l’agence culturelle qui organisait sa journée annuelle, occasion à laquelle je collaborais depuis les préparatifs jusqu’à la clôture, avec ce petit extra dû à l’incapacité de se déplacer pour le gestionnaire des collectivités et relationnel.

Une disjonction se fit entendre, et nous fûmes plongés dans le noir total. L’employé pesta de manière bien plus détendue que l’idée que je me faisais de ma veine à être à ce moment précis à cet exact endroit sans ne plus rien voir autour de moi. Tellement blasée de vivre ce genre de soirée mortelle au cours de laquelle tout s’enchaîne pour faire en sorte que ce soit une soirée pourrie à l’excès, je n’opposais aucune contestation à ce qu’il me laisse quelques minutes pour rejoindre le panneau d’électricité et remettre les plombs. Je regardais le faible rayon lumineux éclairer ses pieds et se promener devant lui puis disparaître avant d’entendre le bruit d’une porte qui se referme.

Les secondes s’égrenèrent un quart d’heure si ce n’était davantage. Je perdais patience, espoir et intérêt pour ce dans quoi je m’étais engagée. J’avais changé de salle, passant dans la suivante pour ne pas que mon sauveur s’inquiète de ma disparation s’il revenait un jour me chercher, même s’il fallait que je n’accroche ni ne casse rien de ce qui était en exposition. D’audibles pas se rapprochèrent, et une voix de femme s’annonça. « Ah enfin quelqu’un ! » je m’enthousiasmais à moitié dans cette situation dont je n’apercevais pas l’issue avant la réouverture le lendemain matin. « Votre collègue m’a laissé en plan depuis au moins une demi-heure », j’essayais de me contenir avec un volume sonore élevé malgré que le silence régnait. Après tout, je ne distinguais pas précisément où se situait cette autre personne, proche mais indétectable. J’en déduisais uniquement le côté duquel je l’avais entendue, et le fait qu’elle doit probablement travailler au musée au regard de l’heure que je n’estimais même plus. A soirée gâchée, ça me ferait rire si c’était une voleuse débutante qui ne s’attendait pas à une coupure de courant pour sa sortie d’initiation.
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Breena A. Donnelly
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() message posté Mer 8 Mai 2019 - 20:33 par Breena A. Donnelly

A night at the museum, the remake?
La nuit tombée, éteignez vos soucis et allumez vos rêves.
Pourquoi n’avais-je pas pris congé ce jour là ou du moins mon après-midi ? Allez savoir ? En tout cas, si j’avais eu le moindre soupçons sur ce qu’il allait se produire ce soir là, je pense que j’aurais pris mes dispositions pour ne pas me retrouver dans cette situation. Hélas pour moi, je me retrouvais dans cette inconfortable situation et j’allais devoir me sortir de là ou du moins, essayer de voir si il y avait quelqu’un d’autre dans le musée, afin de ne pas devoir vivre cela toute seule et qui sait trouver quelqu’un qui possède un téléphone portable avec de la batterie, car le mien était pratiquement mort.

Qu’est-ce qui avait bien pu se passer pour que tout un coup, sans cri égard, il n’y avait plus de courant dans le musée ? Il m’avait fallu une bonne vingtaine de minutes pour remonter du sous-sol et encore dix pour revenir vers nos bureaux et le musée. Jusque là, je n’avais pas rencontré âmes qui vivent. Bon d’accord, avec le noir qui régnait, il était difficile de voir quoique se soit ! Mais par contre, et j’ignorais si c’était le même pour tout le monde, mais un de mes sens s’était développé.  Celui de l’ouïe ! Je ne savais pas si cela était du à la peur ou à autre chose, mais j’avais l’impression d’entre des bruits qui provenaient d’un peu partout à la fois !

Tout en essayant de me déplacer dans le noir, je me demandais si j’avais encore un de mes collègues entre ses murs et si des visiteurs s’étaient retrouvé enfermé dans le musée. Car même si on parvenait à trouver un peu de lumière, il n’était pas possible de sortir car les portes d’entrées fonctionnant sur l’électricité, ces dernières ne s’ouvriraient pas avant le retour du courant !

J’errais toujours dans les couloirs lorsque j’entendis un bruit, un peu plus fort que les autres, provenir, si je ne me trompais pas, de la direction des salles du musée ?  N’étant pas trop à l’aise dans cette situation, j’avais tout de suite demandé si il y avait quelqu’un. Ce n’était pas très malin de ma part car je ne savais à qui je pouvais avoir à faire. Je fis un peu rassurée d’entre la voix d’une autre personne. Une voix de femme, mais qui m’était totalement inconnue. Ne sachant pas trop elle se trouvait, je n’arrivais pas à savoir par où me diriger.

« Vous êtes où ? Ne bougez pas, je viens vers vous. »

Il fallait que la jeune femme reste où elle était. D’abords pour avoir plus facile pour la retrouver mais aussi pour éviter de cogner une œuvre et risqué de la faire tomber. En attendant la réponse, j’avais continué à avancer et mon chemin m’amena à passer devant l’entrée. C’est là que je pus me rendre compte que la coupure de courant était générale.

« Ah ben super, c’est général ! »

Dis-je un peu plus fort que je ne l’aurais souhaité. Je me demandais bien qui pouvait être cette personne ? Un visiteur ? Une nouvelle recrue pour le musée ? J’ignorais totalement de qui il pouvait s’agir. Tout comme j’ignorais si j’avais encore des collègues dans le coin tout comme si les agents de sécurité étaient présent dans le musée. Puis la phrase que la jeune m’avait donné en réponse me revint à l’esprit, elle avait parlé d’un de mes collègues. De qui pouvait-il s’agir ?

« Euh vous avez parlé d’un de mes collègues, vous pouvez me donner son nom ?

Peut-être que si elle se souvenait du nom, je pourrais avec le peu de batterie qu’il me restait, le contacter pour voir où il se trouvait et si il pouvait nous dire quelque chose sur cette coupure de courant. Il pouvait peut-être aussi nous trouver des lampes de poches.
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