"Fermeture" de London Calling
Après cinq années sur la toile, London Calling ferme ses portes. Toutes les infos par ici (Jurry & Tristan) don't text and walk. 2979874845 (Jurry & Tristan) don't text and walk. 1973890357
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(Jurry & Tristan) don't text and walk.

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Destiny Tynged
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() message posté Sam 22 Déc 2018 - 19:35 par Destiny Tynged
don't text and walk.



Vous (Jurry) êtes pressée et tout en marchant, vous êtes en train d'envoyer un message pour prévenir de votre retard, tout en jetant un œil à votre chemin. Arrivent les escaliers, que vous gérez habituellement sans aucun soucis, mais manque de chance, aujourd'hui ce n'est pas le cas. Vous trébuchez et dans votre chute, vous vous accrochez à ce que vous pouvez, à savoir à l'inconnu (Tristan) devant vous. Non seulement, vous tombez, mais vous l'entraînez avec vous. Félicitations, vous l'avez mis de mauvaise humeur.

Il n'y a pas d'ordre défini dans ce RP. Ce RP est issu du système RP est aveugle 2.0.


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Tristan Proinsias
Tristan Proinsias
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() message posté Mar 25 Déc 2018 - 21:26 par Tristan Proinsias
Don't text and drive
Tristan avait profité d’une après-midi de libre pour faire un peu de shopping dans la ville. Parfois, à s’acheter uniquement des tenues de soirées, il oubliait de refaire son stock de jeans et surtout de pulls.
C’est donc avec les mains remplies de sacs, des lunettes de soleil sur le nez et un caban beige sur les épaules qu’il s’engagea dans les rues pour le trajet du retour jusqu’à son hôtel.


Malgré le froid, c’était une belle journée. Il avait donc ouvert les pans de son caban sur une de ses innombrables chemises blanches et un simple pantalon de toile brune. Bien sûr, quelques personnes le reconnurent mais la majorité des gens n’osèrent pas l’approcher, se contentant de le regarder avant de sourire ou de rire et parfois même d’essayer de le prendre en photo.


D’habitude, Tristan s’arrêtait pour faire quelques photos ou signer quelques autographes mais pas aujourd’hui. Non pas qu’il était pressé mais plutôt qu’il avait tout simplement envie de se réserver des moments à lui pour lui où il pouvait tout simplement être un citoyen lambda à faire son shopping dans Londres. Comme c’était impossible, il se contentait d’à peu près.


Sur le chemin, il s’arrêta dans un petit café, commandant un latte dans un gobelet refermable, feignit d’ignorer les murmures des deux employés de caisses et continua sa route, laissant tout de même quelques livres de pourboires.


Il savait déjà ce qu’il allait faire en rentrant, s’installer confortablement sur son lit et regarder la dernière saison de Rick et Morty. D’ailleurs, la dernière photo instagram qu’il avait partagé sur cette série était un très beau cliché de lui et de son ex compagne, en pyjama devant la télé. La toile en avait été secouée, à l’époque, c’était la première photo d’eux deux. Ils avaient eu le droit à des articles au titre racoleur comme « Le célèbre acteur Tristan Proinsias, au lit avec une jeune femme ? » ou encore « Qui est cette charmante actrice dans le lit d’Hadès ? » Alors que la photo ne suggérait rien d’autre qu’une soirée pyjama entre amis.
Bien sûr, quelques jours après ça, des clichés pris par des paparazzis d’eux en train de s’embrasser à la terrasse d’un restaurant avaient confirmé les rumeurs d’une relation.
Potassant ses pensées, il s’engagea dans les escaliers menant au métro, ne faisant pas attention à son environnement. Ce qui finit par lui jouer des tours puisqu’une personne inconnue le percuta de plein fouet et s’étala au sol, l’entrainant dans sa chute. S’il parvint à sauver le contenu de ses sacs de s’échouer sur le sol sale et humide du métro, il ne réussit pas à éviter à son latte de s’ouvrir et de se renverser autant sur sa propre chemise que sur les vêtements de la personne qui l’avait entrainé à terre.




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Anonymous
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() message posté Sam 29 Déc 2018 - 12:46 par Invité
Les révélations avaient eu lieu. tu l'avais mise sur le fait accompli. tu étais toujours vivante, tu allais pourrir sa vie. t'étais plus la Jurry qu'elle connaissait, plus la rigolote, ni l'aimante. un coup de couteau dans le dos c'est ce qu'il a fallu pour qu'un nouveau masque apparaisse sur ton visage. froid, meurtrier. tes yeux ne reflétaient plus que le vide que tu avais en toi. tu ne rentreras pas pour les fêtes. pour la première fois. tu savais que c'était à ce moment là, où les gens puaient la bonne humeur que tu pourrais frapper pour faire mal. la revancharde qu'on pourrait t'appeler.
revenant à tes pensées, tu remercies poliment le conducteur qui t'a laissé t'engager sur le passage piéton. pour passer ici c'était un peu la guerre. si tu essayais de t'imposer, surtout face à un bus, tu risquais ta vie. t'avais donné. t'avais déjà connu ce qu'était la mort avant qu'on te ranime. pas de lumière blanche à la fin du tunnel. pas de petit film de ta vie. rien. comme un trou noir. l'ennui. qui sait ton âme n'avait peut-être pas encore quitté ton corps rt tu en aurais sans doute vu plus si cela avait duré plus longtemps. tu ne serais peut-être plus là aussi si cela était arrivé.
Aujourd'hui tu avais rendez-vous à l'hôpital dans lequel ton dossier a été transféré, des contrôles, voir si les résultats de l'opération était toujours bon. tu penses que oui, tu n'as pas de douleur plus que ça mais après tout tu n'es pas médecin toi.
Le verdict tomba. tu allais bien, ton utérus reprenait petit à petit forme grâce à l'implantation de cellules souches qu'on t'a fait. tu les avais étudié et cela semblait être le meilleur traitement si tu ne voulais pas d'une ablation. après tout, tu ne voulais peut-être pas un enfant l'année dernière mais dans quatre ans, cinq tu espères que ce projet prendra forme. avec un homme à tes côtés, une situation stable.
Décidant de rentrer, téléphone en main en train d'écrire à ton ancienne colocataire comment cela s'est passé, ton pied heurte la marche. t'essaie tant bien que mal de t'accrocher à la barre mais elle est trop loin. de ta sixième marche tu entraines l'homme qui en est à la quatrième en partant du bas. tu chutes, il chute. ton genou te fait mal mais c'est la chaleur d'un liquide que tu ressens le plus.
"Putain..." commenças-tu en enchainant avec des insultes espagnoles uniquement pour montrer ton mécontentement. si ce n'était que ça, tes mains ont touché le sol immonde du métro. le bain à bactérie. t'as presque envie de vomir. tu te relèves, attrape un mouchoir et du gel hydro-alcoolique. décidant par la suite de sécher ce café. quel bouffon, tu ne lui accordes même pas un regard. t'es peut-être fautive, il a détruit ton haut.

@Tristan Proinsias
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Tristan Proinsias
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() message posté Ven 4 Jan 2019 - 11:29 par Tristan Proinsias
Don't text and drive
Tristan mit quelques secondes à reprendre ses esprits et analysa son environnement. Une jeune femme venait de le percuter et de les faire tomber tous les deux, renversant son latter autant son haut à elle que sur le sien.

Se relevant vite, peut-être un peu trop vite au vu des étoiles qui dansèrent un moment devant ses yeux, il lui tendit immédiatement la main pour l’aider mais elle y parvint sans aide.
Même s’il n’avait pas vraiment de responsabilités dans ce qui venait de se passer, il se sentait
terriblement coupable alors sa bouche se tordit et il déclara, sincèrement touché


« Oh, je suis désolé je… Je ne vous avais pas vue, tout va bien ? »



Il se souvint de son genou heurtant sur une des marches et grimaces en pensant à sa propre omoplate qui avait subi le même sort, il s’empressa de rajouter


« Vous n’avez pas mal ? »


Puis réalisant l’ampleur des dégâts, à savoir le latte renversé qui avait détrempé leurs habits, il continua


« Oh mon dieu, je suis tellement désolé… Je… Je vous dédommagerai ! »


Mais ce n’était pas vraiment qu’une question d’argent, sinon il lui aurait simplement tendu quelques centaines de livres sans rien dire. Il se sentait vraiment mal, d’ailleurs la lueur terriblement désolé animant ses yeux le trahissait  plus qu’autre chose.





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