| ( ✰) message posté Lun 14 Avr 2014 - 16:22 par Invité Eywa Shay O'Connor London calling to the faraway towns NOM(S) : O'Connor. PRÉNOM(S) : Eywa Shay.ÂGE : 22ans. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : 1991 en Irlande.NATIONALITÉ : Irlandaise. STATUT CIVIL : Célibataire. MÉTIER :Etudiante en photographie. TRAITS DE CARACTÈRE : Attentionnée, Courageuse, Pleine de vie, Généreuse, Têtue, Impatiente et parfois possessive. . GROUPE : Walk on a line.
| My style, my life, my name Eywa est d'origine Irlandaise et est passionné de cette culture • Adore les jeux vidéos • S'endort souvent avec beaucoup de mal • A des problèmes d'anxiété et fait des crises d'angoisse • Mange beaucoup de citron • La photographie c'est toute sa vie • Elle espère un jour se faire connaitre grâce à ses clichés • Elle aime courir • Est une grande lectrice et écrit parfois lorsqu'elle trouve le temps • Regrette infiniment le fait d'avoir voulu s'enlever la vie • N'en parle très peu et a honte de cette épisode dans sa vie • Elle est du genre à aimer la solitude mais aime tout aussi bien être entouré de gens • Est très loyale et n’abandonne jamais un ami • Quand elle a une idée, elle ne l'a pas ailleurs • C'est quelqu'un d'hypersensible, elle ressent tout très fort, elle peut sauter de joie et se sentir vraiment bien comme tomber de très haut et tomber dans un état de quasi dépression • S'attache assez vite aux gens mais met du temps à faire confiance. |
My style, my life, my name PSEUDO : Pleasure.PRENOM : Léa. ÂGE : 19 ans. PERSONNAGE : inventé. AVATAR : Malese JowCREDITS : Oxitaane COMMENT ES-TU TOMBÉ(E) SUR LC ? : par un top site :) |
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| ( ✰) message posté Lun 14 Avr 2014 - 16:22 par Invité At the beginning Lorsque je me remémore ma vie en partant de mon enfance jusqu’à maintenant, je peux dire que j’ai de la chance d’être encore là. J’ai toujours eu envie de coucher sur papier les évènements qui m’ont fait devenir ce que je suis aujourd’hui, voilà pourquoi je prends mon courage à deux mains. Parce que je veux témoigner pour tous ceux qui ont vécus la même chose que moi mais qui n’ont pas eu la chance d’être arrêté à temps. Je suis bien mystérieuse n’est ce pas ? Pourtant, je crois que cette précaution n’est pas inutile ; parce que faire confiance à quelqu’un, la mettre au centre de votre vie est en même temps agréable, lorsque cette dernière le mérite et dangereuse. Je commence donc cette histoire au commencement c'est-à-dire à partir du moment ou la vie ne me parut plus comme un long fleuve tranquille.
Lorsque j’avais huit ans, mon père avec qui j’étais très proche mourus et ma mère et moi nous retrouvâmes seules, sans aucun repère pour nous guider. Mes parents qui étaient en vérité d’origine Irlandaise venaient tout juste de poser leurs valises et même si l’intégration fut assez aisée en raison de mon jeune âge, elle fut très difficile pour eux. La langue fut une barrière des plus solides et quoi qu’on en dise, les étrangers sont vus de la même manière un peu partout : c'est-à-dire comme des personnes devant faire leurs preuves dont on ne sait pas grand-chose sur eux. Je me suis rapidement faite des amies mais nous devions très souvent déménager en raison du travail de mon père et alors que je commençais à me sentir chez moi quelque part ; mes parents refaisaient les cartons. En moins de deux ans, mon anglais fut aussi parfait qu’il pouvait l’être mais mes professeurs ne réussirent pas à m’enlever un fond d’accent qui persistait.
Après la mort de mon père, plus rien ne fut semblable à notre vie d’autrefois. Nous déménageâmes une fois de plus puisque ma mère ne pouvait rester dans une maison pleine de souvenirs. En plus d’avoir perdu mon père, je perdais mes amies et mes repères. Les années d’après passèrent plutôt rapidement, sans doute du fait que chaque journée se ressemblait. De plus, le manque qu’on ressentait avait rendu notre vie terne et à chaque moment de bonheur, nous nous souvenions que l’homme de la maison était absent.
Ma mère ne se remaria pas et du refaire des études en même temps qu’elle travaillait comme femme de ménage. Après quelques temps et grâce à ses efforts, notre niveau de vie s’améliora lorsqu’elle devint agent immobilier et pour la première fois, la vie devint plus facile. Oui, c’est au lycée que tout se gâta et c’est aussi à cette période que je reçus mon premier ordinateur portable. Ma mère, consciente de mon rêve de devenir un jour un écrivain reconnu choisit le jour de mon anniversaire pour me l’offrir. Je fus tout d’abord hyper excitée lorsque j’ouvris mon paquet mais si j’avais su que ce dernier serait à l’origine de bien des souffrances, je l’aurais sans doute jeté par-dessus la fenêtre. Revenons donc à nos moutons. Quand je suis arrivée en dernière année, un nouveau réseau social propre à mon école vu le jour et moi qui rêvait de publier mes écrits et de les faire lire ce site était l’occasion de tester mon talent. Je fus à peine arrivée que des petits malins dont je ne connais toujours pas les noms se sont amusés à me pirater mon compte. « Je suis une vilaine et je ne me calmerais jamais » , voici le mot qu’ils ont écris à ma place sur mon mur. Rien de méchant me direz-vous ? C’est exactement ce que m’a dit ma mère après m’avoir demandé de supprimer mon profil. Comment aurais je pu le faire ? Tous le monde était dessus et je souhaitais vraiment me refaire des amis comme dans mon ancienne école. Vous l’aurez compris, je n’ai pas supprimé mon profil et j’ai continué à le consulter en cachette. Bien heureusement, j’avais réussi à changer le mot de passe pour que ceux qui m’avaient fait ça ne puisse pas récidiver mais lorsque je revins au lycée, mon nom était sur toutes les bouches. « Mais qu’elle dévergondé, il parait qu’elle se fait tous le campus » - « Comme ça elle fait la sainte nitouche mais derrière elle en redemande ». Voici le genre de commentaires dont j’ai eu droit à chacun de mes passages. Peu à peu, les personnes continuèrent à poster sur mon mur des paroles du même genre qu’on me lançait au lycée et même si ma mère était attentionnée envers moi, elle ne vit rien.
Je souffrais, cela va sans dire et je me demandais comme ses gens pouvaient autant me détester alors qu’ils ne me connaissaient même pas. Au fil des semaines, tout s’accéléra alors que je pensais que l’ignorance allait calmer tout ce beau monde. Des vidéos truquées furent crées, des insultes et des menaces de mort étaient régulièrement postées sur mon mur aux yeux de tous et ce dernier fut vite pour moi le mur de ma honte. D’ordinaire forte et déterminée, j’en venais à croire que je méritais ce traitement et finissais même pas me détester. Je fis croire à ma mère que j’étais malade, alors qu’en vérité je n’osais plus aller à l’école pour affronter tous ces regards inconnus. La force qui me caractérisait autrefois et que mon père chérissait temps s’effondra. Complètement obsédée par ce que l’on pouvait dire sur moi, je continuais à regarder mon mur qui continuait de se remplir sans que je puisse intervenir : « Non mais regardez cette salope, elle cache bien son jeu, je l’ai même vu s’envoyer en l’air en pleine rue » - « Non mais regardez là, une tête qui irait bien dans un film porno » - « Vous pensez pas qu’on devrait appeler les flics ? Les putes sont interdits ». Concrètement, je me sentais violée et écrasée par toutes ces affirmations sur moi. Étais je réellement ce genre de fille ? La honte ? Je la connaissais que trop bien. Le manque ? Mon père m’appelait à lui. Dignité ? Je ne connaissais plus ce mot. C’est alors que tout mon monde devint encore plus fade qu’auparavant. J’entendais à nouveau les paroles de mon père : « Ne pleure pas ma chérie, bientôt ce sera fini ». Oui, s’en était fini pour moi et c’est pourquoi je choisis ce soir là pour avaler le plus de somnifères possible. Je connaissais leur emplacement, il me suffisait de me servir et attendre que mon papa m’emmène loin de cette vie si dure. Respirer, trop difficile pour moi. Sourire, trop compliquée pour moi. Vivre, s’en était trop.
Ma mère rentra finalement plus tôt et me trouva dans cet état. Je ne vous dis pas sa réaction et je compris en la voyant aussi mal qu’à la mort de mon père que je n’avais plus le droit de la faire ainsi souffrir. Nous sommes aujourd’hui trois ans après ce qu’il s’est passé et je suis à l’université des Arts de Londres. Si j’ai déménagé pour échapper aux rumeurs, mon cœur reste encore emprunt de mon geste. Je vais m’en sortir, parce que je veux vivre. |
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| ( ✰) message posté Lun 14 Avr 2014 - 16:26 par Invité Bienvenue parmi nous |
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| ( ✰) message posté Lun 14 Avr 2014 - 16:27 par Invité Merci beaucoup Juliett |
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Alycia Hemsworth growing strong » Date d'inscription : 15/02/2014
» Pseudo : margaux ; stardust
» Schizophrénie : jamie & gabrielle
| ( ✰) message posté Lun 14 Avr 2014 - 16:31 par Alycia Hemsworth Bienvenue chez nous :yayay: Si tu as besoin, surtout n'hésite pas Bon courage pour ta fiche |
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| ( ✰) message posté Lun 14 Avr 2014 - 16:48 par Invité Welcome Bon courage pour ta fiche, si tu as la moindre question n'hésite pas et au plaisir de trouver un lien par la suite |
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| ( ✰) message posté Lun 14 Avr 2014 - 16:49 par Invité Bienenue |
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| ( ✰) message posté Lun 14 Avr 2014 - 16:53 par Invité Welcome sur LC J'ai eu un bug en voyant ton profil avec le Aimee T. Je comprenais plus rien xD En tout cas, elle est super jolie Malese, j'aime beaucoup sa bouille Bon courage pour ta fiche ! |
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| ( ✰) message posté Lun 14 Avr 2014 - 17:08 par Invité Bienvenue et bon courage ta fiche miss ♥♥♥♥ |
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Margot Bernstein-Woolf MEMBRE » Date d'inscription : 15/02/2014
» Pseudo : violent delights. (morgane)
» Avatar : alicia vikander
| ( ✰) message posté Lun 14 Avr 2014 - 17:39 par Margot Bernstein-Woolf J'ai bugué aussi en voyant Aimee mais malese bienvenue sur LC du coup & bonne chance pour ta fiche |
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| ( ✰) message posté par Contenu sponsorisé |
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