Nous vous demandons un minimum de 500 mots pour votre histoire. Vous pouvez la présenter de la forme que vous le désirez (extrait de journal intime, RP, rendez-vous chez un psychologue, interview, ect...).Cinq avril 1989 maternité de Séoul et le jour des arbres qui a pour tradition de planter des arbres et des fleurs et témoigne du respect de la nature et de l'environnement. Ce que les parents de Dae-Hyun respectent. Madame Kang est chirurgienne de renom et Monsieur Kang un soldat, le couple s'est rencontré lors d'une mission humanitaire que faisait Madame et de leurs amours, union est né Dae-Hyun.
Dae-Hyun, c'est moi mon prénom veut dire Meilleur, Honorable et vous comprendrez pourquoi ce prénom me convient. J'ai grandi à Séoul dans les quartiers riches, je grandis tranquillement avec beaucoup d'amour de ma mère qui comblait l'absence de mon père. Un mois après mes quatre ans la joie, les rires furent rapidement remplacer par les cris, les larmes, en effet en fin de soirée lorsque ma mère fut de retour un officier arriva avec la casquette de l'uniforme de mon père, aussitôt ma mère dit plusieurs fois que ce n'est pas vrai qu'il allait revenir, mais les larmes finirent par faire leurs apparitions, je ne pourrais pas dire à mon père que son fils est en avance, en effet je compris pourquoi ma mère pleurait, pourquoi l'officier fut présent, mais je fus fort et le seul homme de la maison et malgré ma taille je sortis « je suis là maman, soit forte», trois semaines plus tard ce fut le jour, plus précisément le six juin 1993 mon père fut incinéré et je choisis de transporter l'urne dans son linge jusqu'à la maison, une maison que j'allais dire au revoir pour aller en Angleterre où ma mère eu un poste, mais aussi pour ne pas revoir les souvenirs dans la maison.
My name is Kang and my first name is Dae-Hyun. Me voilà en Angleterre avec ma mère et mon père que j'avais choisi d'emmener, ma mère avait demandé un poste à Londres, mais aussi pour être près de sa famille, comme d'habitude une nouvelle maison imposante avec une gouvernante qui fut office de nourrice pendant l'absence de ma mère, mais je passais la plupart de mon temps dans ma chambre à lire tranquillement. Un matin, ma mère fut à la maison, mais cela était parce que j'avais des examens à passer à l'hôpital, la raison ? Ma mère pensait que je renfermais ma douleur de la disparition de mon père et aussi que la gouvernante lui avait rapporté, que mon vocabulaire était assez riche et que je posais beaucoup de questions pour mon âge. C'est une fois à l'hôpital que je fus dans une pièce et une vitre séparait de moi et ma mère ainsi que le médecin, je commençai les tests pour évaluer mon QI , le résultat après trois jours fus que j'avais un QI de 140, mais je compris ce que ma mère voulait faire et je lui dis que je souhaitais faire une scolarité simple, dans une école normale et que j'allais faire mon maximum pour être conforme aux autres, ce que cette dernière fut ravie de voir que je pensais aux autres et que je ne mettais pas en avant le fait que je sois surdoué. Je fus dans le système scolaire privé, je fis de mon mieux pour faire des erreurs et ne pas être le premier de la classe.
J'assistai à huit ans au remariage de ma mère, en effet cette dernière fit la rencontre du Président-directeur Général du groupe SK de Corée du Sud, la rencontre ne fut pas banale pour ma mère, car elle dut opérer la mère de mon futur beau-père et bien sûr ce dernier rencontra ma mère pour la remercier et ensuite une invitation, puis deux, puis trois et voilà le mariage entre la chirurgienne et le PDG de SK, d'ailleurs cela fit la une des médias téléviser , journaux, internet. Mon petit confort, ma tranquillité fut finie par ce mariage, car au retour à l'école, tout le monde me regarda et certains décidèrent de s'éloigner de moi et d'autres de venir simplement à cause de mon statut. Je fus obligé de déménager dans une autre demeure avec ma mère, mon beau-père et une nouvelle situation. À dix ans, mon beau-père me reconnut comme son fils, je fus heureux d'ailleurs ma relation avec lui fut sans problème jusqu'à ce que j'entre au collège et que je commence à me chercher et ne pas faire comme mon beau-père le souhaitait.
Ah les baisers, les caresses, les doux regards, le premier baiser, les rendez-vous. Cela a un mot je crois que c'est l'amour non l'Amour avec un grand « A», vous allez sûrement me dire que c'est super que je vais être un homme exceptionnel vus le remariage de ma mère. En réalité, son nouveau mariage m'a un peu bousculé niveau psychologique, en effet mon père remplacé par un homme qui sent l'argent, cela me donne envie de vomir pour être franc. Donc avec ma popularité, mon physique attirant comme souvent les gens disent, je joue avec cela et je sors avec des filles dont la relation dure pendant trois semaines et ensuite, je la largue pour une autre. J'ai déjà aussi été avec quelques hommes, mais j'ai plus été avec les femmes. Parler plusieurs langues, être coréen et l'entretient de son physique et sa personnalité est ce qui attire les personnes qui craquent sur moi et passe dans mes bras.
Le service militaire, je ne l'ai pas fait par obligation, ni de force. Non, je voulais rendre hommage à mon père ainsi. Mon soit disant beau-père fut contre cette idée et il a tenté tout pour me persuader de ne pas le faire et en dernier recourt ce dernier à demander à ma mère de me convaincre que cela est une stupidité. Mais ma mère prit mon parti et me dis que je n'avais pas besoin d'avoir son accord, que si c'est ce que je voulais elle ne dirait pas non, car je suis majeur et c'est ma vie. C'est donc à dix-huit ans, après la fin des études que je me rends en Corée du Sud pour entrer dans l'Armée de terre de la République de Corée, une fois arrivé le chef me salues et me dis que mon père était un soldat exceptionnel aux yeux de la troupe. Puis en rejoignant mes compagnons, ses derniers se mirent à applaudir, mais je ne fis qu'un mince sourire. Vous allez dire, j'ai sûrement donné des nouvelles ou bien eu des permissions, j'en ai eu oui, mais j'ai choisi de rester en Corée du Sud et ne donner aucune nouvelle. Je fis 10 ans de service militaire ayant souhaité m'éloigner de ma famille et de ce qui se passaient autour de moi. Je ne savais pas ce qui m'attendait au retour et j'ignorais totalement.
Le retour du soldat après dix ans à la base, à mon retour, je fus étonné de voir une personne avec mon prénom et mon nom dessus, arriver à sa hauteur, il me salua en disant être engagé par mon beau-père, je l'avais oublié lui. Sans me dire quoique ce soit, il prit mes bagages et alla vers la voiture, je m'installai à l'arrière une fois à la voiture pour ensuite voir le chauffeur démarrer et partir dans une direction que je ne savais nullement, en chemin, il me dit que mes parents étaient en voyage humanitaire et qu'il avait décidé que j'allais vivre dans la maison et que j'avais une voiture et du personnel à disposition. Je ne dis rien étant fatigué du voyage dans l'avion. Je pus dormir un peu et écouter tranquillement de la musique. De temps en temps, je regardais le paysage à travers la fenêtre.
Nous y voilà à la maison, j'avais oublié qu'elle était immense 40,000 pieds carrés plus précisément avec piscines intérieures comme extérieur, enfin une maison immense et aussi je peux être tranquille et me reposer et faire mes activités que j'aime. Je suis d'accord, je ne supporte pas mon beau-père, mais un beau-père riche ou plus précisément milliardaire et une maison comme ça, c'est le pied. Surtout, que j'ai une salle de cinéma et je ne suis pas obligé de me rendre au cinéma et la salle de sport et sublime.
Aujourd'hui, je suis encore en repos et je réfléchis à ce que je peux faire, mais un soir une personne du personnel m'a dit que je devais essayer d'être artiste, que je dansais bien avant le départ pour mon service militaire que je devais tenter et qu'en s'excusant elle me dit avoir écouté lorsque j'ai chanté dans ma chambre.
En effet, le personnel de maison n'avait pas l'autorisation d'être dans les couloirs lorsque mes parents ou moi étions à l'étage, leurs places étaient dans la cuisine, dans le salon et ou salle à manger pour servir les repas.
Je choisis de la relevée, alors qu'elle s'était directement mise à genoux pour demander pardon puis lui demanda une tasse de thé, cette dernière heureuse alla rapidement préparer ma tasse de thé en me disant « merci monsieur vous êtes quelqu'un de bon ».