"Fermeture" de London Calling
Après cinq années sur la toile, London Calling ferme ses portes. Toutes les infos par ici don't you mind ? 2979874845 don't you mind ? 1973890357
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Anonymous
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() message posté Ven 3 Mar 2017 - 23:00 par Invité

Solana "Sol" Folks

London calling to the faraway towns
NOM(S) : Folks, ton nom d'épouse. Tu es née "Pratt" et puis tu as volontiers troqué ton nom pour le sien. PRÉNOM(S) : "Solana, comme le soleil" qu'elle disait ta mère. C'est doux, c'est mélodieux, mais tu préfères "Sol" tout court. ÂGE : T'as seulement vingt-quatre ans et pourtant, quand tu regardes derrière toi tu te dis qu'il s'en est passé tellement des choses durant ce petit fragment de vie. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : Par un quatorze janvier pluvieux, propre à la ville londienne, tu poussais ton premier cri. Déjà tu voulais te faire entendre. NATIONALITÉ : Tu es née ici, tu as grandi ici, tu ne connais que ça. Tu es britannique même si tu rêves parfois à un peu plus d'exotisme. STATUT CIVIL : Il t'a demandé ta main et tu lui as donné, sans hésiter. MÉTIER : Ton travail tu le vois plus comme une passion qu'autre chose. T'as jamais vraiment l'impression de bosser quand t'es au salon de tatouage avec ton fils dans les pattes et ton beau-père jamais bien loin. Tu fais ce que tu aimes, tu dessines. TRAITS DE CARACTÈRE : Tu es douce et sensible. Parfois excessive. Tu es fragile et ça se sent un peu même si tu fais tout pour le cacher. Tu es perfectionniste, que ce soit au travail ou dans ton rôle de maman, tu as toujours peur de mal faire. Ton but c'est de toujours réussir à contenter tout le monde, même si des fois toi tu passes un peu à la trappe. Ta jalousie te rend limite malade. C'est sûrement ton pire défaut et tu as du mal à t'en débarrasser.  GROUPE : écrire ici.



My style, my life, my name

Chacune de tes journées débute quand ton petit bonhomme ouvre les yeux. Tu vas toujours le chercher dans son berceau pour le prendre avec toi dans le lit. En général Finley est déjà parti alors c'est votre moment à vous.
Ensuite tu lui prépares de quoi manger, puis tu le laisses devant les dessins-animés pendant que tu te douches et te prépares. Tu optes toujours pour une tenue noire. Pas parce que tu es gothique, juste parce que c'est ta couleur. Puis c'est au tour de Sloane.
Après quoi tu te rends au salon de tatouage du père de Fin. T'aimes bien bosser pour lui et avoir la possibilité d'avoir toujours ton fils pas loin alors c'est l'idéal.
T'as toujours eu une passion pour le dessin, ça a toujours été ton univers, mais le tatouage c'est ton homme qui t'en a donné le goût et puis tu t'es lancée là dedans jusqu'à en avoir sur le visage.
En fin d'après-midi en général tu rentres quand le petit commence à fatiguer. Tu prépares le repas du soir. Toujours la viande à part pour Fin parce que toi tu n'en manges pas. Du moins plus depuis quelques années parce que tu trouves ça barbare.
Tu joues avec ton fils à peu près jusqu'au retour de ton mari sans vraiment voir le temps passer. Dans le fond tu t'amuses autant que lui et tu t'émerveilles de voir chaque jour de nouvelles mimiques sur son visage.
Puis vous dînez, et tu demandes toujours comment était sa journée, ce qu'il a fait etc, même si tu lui as déjà demandé au cours de la journée par sms. Tu demandes pour voir si ça réponse sera différente et pour être sûr qu'il n'a pas menti.
Ensuite c'est ce que tu vois un peu comme votre moment dans votre petite bulle. T'as besoin de ça pour sentir qu'il t'aime, qu'il regrette pas d'avoir fait de toi sa femme. Qu'il te désire toujours autant, toi et pas une autre.
Tu vas toujours embrasser ton deuxième petit homme avant de t'endormir, tu chantes pour qu'il s'endorme et tu lui dis que tu l'aimes "aller-retour jusqu'à la lune".
En principe tes yeux se ferment toujours avant même que tu sentes la présence de ton mari auprès de toi. C'est votre rituel comme tu es une grosse dormeuse. Tu lui chauffes la place, puis il te rejoint bien plus tard et dans un demi sommeil tu le laisses t'étreindre.
PSEUDO : Tat. PRÉNOM : Tatiana. ÂGE : 23. PERSONNAGE : Inventé.  AVATAR : Hannh Pixie Snowdon. CRÉDITS : Whorecrux. COMMENT ES-TU TOMBÉ(E) SUR LC ? : Par bouche à oreille. CE COMPTE EST-IL UN DOUBLE-COMPTE ?: Nope.



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Anonymous
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() message posté Ven 3 Mar 2017 - 23:00 par Invité
At the beginning

Tu as toujours eu ce sentiment de différence, ce sentiment que tu ne trouverais jamais ta place nulle part, sans vraiment pouvoir l'expliquer. Tu le voyais comme tu pouvais le sentir. Tu as pourtant eu une enfance tout ce qu'il y a de plus normale, avec un papa et une maman normale, dans des boulots tout ce qu'il y a de plus banales. Rien d'extravagant, mais tu n'as pourtant jamais eu à te plaindre. Tu as toujours eu tout ce dont tu avais besoin et plus, tu avais même parfois trop de tout, ce qui t'as à quelques moments donné un caractère quelques peu capricieux. Cependant, tu as toujours été dévorée par ta solitude, toujours un peu à part à l'école, dans tes activités, partout. Tu étais un peu celle dont on riait une fois le dos tourné, celle qui essayait tant bien que mal de rentrer dans le moule sans jamais y parvenir. Ca la rendait malade ta mère, elle qui faisait tout pour que tu t'intègres. Elle te demandait chaque jour comment avait été ta journée, si tu t'étais fait de nouveaux amis, et tu avais pour elle chaque jour la même réponse. Mais T'avais essayé, aussi et surtout pour lui faire plaisir à elle, puis t'as finalement laissé tomber.

T'as pris un nouveau départ au cycle secondaire, c'était ta chance d'y parvenir. Alors tu as commencé à te démarquer par ta façon de te vêtir, à te maquiller aussi, même si au début tu ne t'aventurais pas plus loin que le trait de crayon noir sur la paupière. Tu te cherchais un peu à dire vrai, mais c'était ta manière de montrer au monde que tu t'en foutais, que tu serais qui tu as envie d'être. C'était les temps pour toi des premiers concerts, du rock'n'roll bien sûr, des premiers émois, de la découverte du sexe opposé aussi, même si t'as toujours été assez mal à l'aise avec la gente masculine, encore un peu aujourd'hui. Tu restais celle en retrait de ce côté là, celle qui ne sortais avec personne, la timide. Mais tu vivais à ton rythme tes premières expériences, tes premiers tout, malgré quelques réticences et incertitudes.

Et puis sans trop que tu saches d'où, il a debarqué dans ton champ de vision, lui, le bad boy tatoué. Il était à peu près tout ce que tu n'étais pas, sûr de lui, séducteur, confiant, et ça t'attirait autant que tu en avais peur. Peur de ce que tu ne connaissais pas. On t'avait dit de l'éviter, et tu avais toi-même essayé de te convaincre que c'était pour le mieux, que jamais il ne poserait les yeux sur toi de toute façon. Et pourtant malgré ça, tu n'arrivais pas à te le sortir de la tête, il t'obsédait et tu te surprenais à épier ses allers et venues, t'étant soigneusement procurer son emploi du temps pour pouvoir le suivre de près. Ouais, c'est à peu près comme ça que tout a commencé. Tu admirais cette attitude qu'il avait en toutes circonstances, cette désinvolture, pour laquelle elles devaient toutes craquer. Et toi tu les méprisais autant que tu les enviais toutes ces filles qui se trimballaient toujours pendues à son bras. Tu t'imaginais pouvoir en un simple regard mettre le feu à leur tignasse et t'en débarrasser pour de bon. Le problème c'est qu'il y en avait toujours une nouvelle et qu'il avait l'embarras du choix. C'était ce genre de mec, et déjà, avant même que vous ne soyez quoi que ce soit l'un pour l'autre, ça te faisait mal. Tu aurais du fuir, t'interdire de ressentir tous ces sentiments qui te chamboulaient, mais tu l'as pas fait.

Et puis un jour, c'est finalement arrivé. Il t'adresse la parole, et toi tu lui réponds. Vous discutez, et toi tu fais tout ton possible pour ne surtout pas avoir l'air idiote, pour ne pas dire de bêtises. Tu joues avec cette mèche de cheveux devant ton visage et tu souris aussi, tu souris beaucoup, sans raison particulière. Tu ne sais même plus de quoi vous discutiez ce jour là, sans doute quelque chose sans importance, mais tu étais aux anges. Puis y'a eu la première invitation à sortir. Un rencard. Enfin c'est toi qui disait ce mot dans ta tête parce qu'officiellement s'en était pas vraiment un. Ta mère t'avait laissé y aller sans que tu aies à la prier, malgré la désapprobation totale de ton père. Elle t'avait même donné un peu d'argent et avait fait du shopping avec toi quelques jours précédents pour te trouver une jolie tenue. C'était comme si c'était son rencard à elle tellement elle y accordait de l'importance, mais tu n'allais pas la laisser te voler ton moment. T'avais juste volontairement omis de lui dire l'endroit où vous aviez réellement rendez-vous. Au lieu de ça, tu lui avais juste dis que vous iriez sûrement au cinéma "comme de son temps". Du coup tu t'es retrouvée devant ce bar, hésitante, prenant ton courage à deux mains pour pousser la porte. Un coup d'oeil rapide à la salle et tu le remarquais un peu plus dans le fond assis avec sa bande d'amis. L'envie irrépressible de faire demi-toir t'assaillit mais il ne t'en laissa pas le temps, te faisant un petit signe pour que tu viennes te joindre à eux. Alors tu t'avanças, remarquant la faune de ce bar. Ca ne t'étonnait pas vraiment que ce soit son genre d'endroits, mais pourquoi te faire venir quand il est avec tous ces potes ? Qu'est-ce qu'il croyait ? Tu t'asseyais au bout d'une banquette, te retrouvant en face de lui à fuir son regard tandis que les autres faisaient comme si tu n'étais pas là, à parler de filles et tout le toutim. Tu te demandais ce que tu faisais là, si ce n'était pour la bière.

Dès le lendemain tu as simplement repris ta petite vie, te disant juste que tu t'étais fais tes propres films et que tu t'étais tout inventé, que ce soit les regards, les non-dits, et cette attraction. Tu étais déçue et te sentais un brin ridicule mais tu savais désormais que lui et toi ça ne se ferait jamais, que tu devais passer à autre chose, même si c'était dur d'effacer tout ces fantasmes que tu t'étais faite sur lui... Il le fallait pourtant. Et puis finalement c'est lui qui est un peu revenu en voyant qu'après l'episode du bar tu avais commencé à l'ignorer ou du moins te contenter de juste le saluer. De fil en aiguille vous avez commencé à passer du temps ensemble, parfois même tout seuls, comme des amis. Et même si tu ressentais toujours cette attraction, tu n'en faisais rien. Et puis un jour ça s'est fait naturellement. Vous vous êtes embrassés presque comme si vous aviez toujours été ensemble, presque comme une évidence. Et puis tu lui as donné ta virginité, parce que ça devait être lui, tu le sentais et tu le voulais plus que tout à ce moment là. T'avais eu un peu mal, comme une première fois sans doute, mais il avait fait en sorte que tu te sentes à l'aise alors tu t'es juste laissée porter. Tu l'as laissée faire, savourant ce qu'il te faisait.

Dès le lendemain tu t'es sentie changée, comme si tu étais différente, comme si tu en avais l'air et que tout le monde pouvait le voir sur ton visage. Tu rougissais quand on te demandait comment avait été ton week-end et redouter le moment où tu allais le croiser dans les couloirs du lycée. Tu savais qu'il n'était pas clairement à toi et que ça allait être dur d'être la seule fille qu'il fréquente mais tu le voulais et tu as eu besoin de le lui dire. Il n'avait pas répondu par la négative et même si tu t'attendais à ce que ça prenne du temps pour qu'il te soit complètement fidèle, tu ne savais pas encore dans quoi tu mettais les pieds. Tu allais le découvrir bien assez tôt.

Il t'a fallut du temps pour t'en apercevoir, à croire que jusque là tu avais été aveugle, ou tu avais décidé de fermer les yeux parce qu'à dire vrai, il n'avait jamais vraiment fait en sorte de se cacher. On te l'avait dit au début mais tu ne voulais pas l'admettre. Naïve. Il avait fallu que tu le vois de tes propres yeux. Et là ça été comme un coup de poing en plein visage. Tu as instantanément senti quelque chose se briser en toi. Ton coeur. Et ta confiance. En les autres, mais surtout en toi-même. Des larmes. Des cris. Tu lui as dis que tu le quittais et ça te rendait malade de voir qu'il s'en fichait. Et tu es revenue quand même, parce qu'il te manquait et parce que tu avais besoin de lui. Tu en avais marre de te morfondre, alors que lui était sûrement bien tranquille à faire la fête quelque part. C'était ta faute dans un sens. Tu lui avais montré qu'il pouvait te manquait de respect alors il n'y avait pas de raison que ça ne recommence pas. Il fallait s'y attendre. Encore une fois, puis une autre, et toujours tu revenais vers lui, te disant que c'était la dernière fois, qu'il voyait le mal que ça te faisait, qu'il ne recommencerait pas. Mais ça te faisait toujours ce même effet, comme un os qui se brise dans ton corps, une souffrance profonde que tu ne pouvais pas vaincre. Mais tu aimais ça, enfin tu l'aimais lui, et ça te détruisait. Tu aurais voulu que ça s'arrête, que tout s'arrête, mais tu continuais à t'infliger tout ça sans réussir à t'en décrocher. Tu rampais même pour qu'il te reprenne, tu essayais de faire passer sa colère et de te rendre agréable en espérant des temps meilleurs.

C'est devenu encore pire quand il est arrivé à la fac. Tu le redoutais sachant qu'il avait deux ans d'avance sur toi. L'éloignement. Le besoin de se faire un nouveau cercle d'amis, de rencontrer de nouvelles personnes. Tu le voyais arriver gros comme une maison. Un peu comme si tu fonçais à deux cent à l'heure en plein mur. Et il a continué évidemment. Il ne s'en est pas plus caché quand tu as debarqué dans la même fac que lui. Pourtant il se mettait toujours dans tous ses états quand une personne du sexe opposé avait l'audace de se mettre sur ton chemin. La jalousie était mutuelle mais il avait l'art et la manière de faire fuir à toutes jambes ses potentiels rivaux. Ca te faisait sourire autant que ça te rendait folle. Mais ça te rassurait sur le fait qu'il t'aimait, au moins plus qu'il ne le laissait paraître. Et puis tu es tombée enceinte. Petit à petit tu t'es désintéressé de tes études de lettres. Tu as vécu dans la psychose. Tu ne te levais plus pour aller en cours, de peur de le croiser. Tu te demandais comment le lui dire, et si même tu devais le lui dire. Tu appréhendais ce moment. Mais tu l'as fais. En pleurs. Tu lui as pris la main, lui faisant promettre de ne pas s'énerver. Tu lui as dis et il t'as promis que c'était fini. Tout. Que tout allait changé. Qu'il t'aimait, toi et le bébé à venir.

Il t'a demandé ta main dans la foulée, avant même que ton ventre s'arrondisse. Il a mis son genou à terre. Et toi tu as pleuré, tu as ri et pleuré, les deux en même temps. Ce jour là tu étais en pyjama, dans le simple appareil d'une beauté qu'on vient d'arracher au sommeil. Tu as juste hoché la tête. Il t'a mis la bague au doigt en guise de promesse, et il t'a pris des ses bras. Quelques mois plus tard vous vous êtes unis, devant toute sa famille et la tienne, malgré leur crainte pour toi, et devant toute une assemblée d'invités. Un mariage en grande pompe. Il l'avait sans doute fait plus pour toi que pour lui, pour te prouver qu'il s'engageait vraiment et qu'il serait toujours là. Tu as encore pleuré, pleuré de joie cette fois. Le plus beau jour de ta vie. Ce jour que tu n'aurais jamais pensé arriver.

Quelques mois après, il t'amenait à la maternité après de fortes contractions. Tu avais un mois d'avance mais ton fils voulait déjà pointer le bout de son nez. Prématuré. Aussitôt sorti, on te l'arrachait pour l'amener dans une pièce voisine. Et là, tu tremblais. Par peur qu'il y ait un problème. Par peur qu'il soit mort-né. Tu t'imaginais tout et n'importe quoi. Et Finley à côté de toi qui te rassurait tout en gueulant sur l'équipe médicale pour savoir ce qu'il se passait. Tu paniquais. Et personne ne te disait rien. Les plus longues minutes de ta vie. Tu regardais Fin, les yeux pleins de détresse et lui te serrait la main pour te réconforter. Les infirmières t'ont finalement ramené ton fils, le posant doucement sur ta poitrine. Tu pleurais, encore. D'émotions et de soulagement cette fois. Vous étiez à présent une famille. Un papa et une maman. Et tu te disais que vous reveniez de loin.
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() message posté Ven 3 Mar 2017 - 23:01 par Invité
ton pseudo est tellement beau don't you mind ? 1973890357
bienvenue parmi nous et bonne chance pour ta fiche don't you mind ? 2555317567 don't you mind ? 208687334
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() message posté Ven 3 Mar 2017 - 23:09 par Invité
bienvenue parmi nous don't you mind ? 1973890357
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() message posté Ven 3 Mar 2017 - 23:20 par Invité
Bienvenue parmi nous. don't you mind ? 1973890357
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() message posté Ven 3 Mar 2017 - 23:30 par Invité
merciii don't you mind ? 1922099377
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() message posté Ven 3 Mar 2017 - 23:32 par Alycia Hemsworth
Bienvenue, don't you mind ? 1922099377 & bon courage pour ta fiche. don't you mind ? 1973890357
Si tu as besoin, n'hésite surtout pas. don't you mind ? 2941632856
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() message posté Ven 3 Mar 2017 - 23:38 par Invité
bienvenue!
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Rhiannon O'Connor
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() message posté Sam 4 Mar 2017 - 0:23 par Rhiannon O'Connor
Bienvenue don't you mind ? 208687334 Amuse-toi bien par ici don't you mind ? 1922099377
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() message posté Sam 4 Mar 2017 - 0:45 par Invité
bienvenue sur LC don't you mind ? 1922099377
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