"Fermeture" de London Calling
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Sublime & Silence

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Anonymous
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() message posté Dim 22 Jan 2017 - 0:30 par Invité
sublime & silence.
(doré) ▽ Sublime & silence Autour de toi tout tremble Et tout finit C'est à moi que tu penses À nos ivresses blanches
Je fuis Paris .  

(oué alors cherche pas pour le titre je l’écoute en boucle (c’est mes copains dans le clip) BREF)

Matinée pluvieuse et froide, beaucoup trop froide pour que je le supporte, les vacances sont terminés, l’année reprend son cours normal et moi je suis là comme un abruti sous la couette, n’ayant vraiment pas envie de me lever. Me tortillant comme un asticot sans scrupule de me faire pêcher pour le petit dej je sens un truc chaud à mes pieds, c’était rugueux un peu doux. Mais rugueux à la fois. Je tente de sortir ma tête de mon cocon en remarquant Marcello qui m’attendais pour sortir… Putain de clébard, il ne peut pas faire ça dans les toilettes comme tout le monde ? Je me lève difficilement j’ai encore des courbatures de ma séance de sport intensif d’hier pour tenter de me réchauffer. Je marche difficilement, la tête dans le brouillard et assis le cul entre deux chaises de façon très littérale, je tente de m’habiller. J’hésite encore entre trois et quatre couches, mais en tout cas rien que de voir la buée sur mes fenêtres me fait prendre conscience que dehors ce n’est plus un temps à mettre la truffe dehors. Jeans & sweet-shirt j’étais fin prêt. Echarpe & Bonnet me voilà plus que prêt pour affronter le froid hivernal, c’est à ce moment que je décide de regarder l’heure 7 heures ! rien que ça ! Bon bah vu que je suis levé autant que j’y aille à fond non ? On sort de l’appartement le froid qui régnait dans la cage d’escalier était phénoménale j’en sentis mes os se congelait alors que j’étais déjà frileux de nature. Je descends et Marcello a trop tendance à tirer sur la laisse. Salté de clebs j’ai bien faillit m’écraser le nez sur le sol, j’adorai les staffs c’était des chiens malins et fourbe. On se remet souvent en question avec ses chiens là le défi est presque constant et ça me plait.

Je longe Camden street, l’odeur du KFC de bon matin me donne la nausée et je continu jusqu’à St Martin’s gardens. C’était un lieu très beau même en hiver et bizarrement le seul endroit ou Marcello daignait faire ses besoins. Un petit marchand ambulant me propose du café, je lui offre quelques pennies pour avoir ce breuvage que je le trouvais tout de même infecte. Je m’assois sur un banc, observant le monde se déferlait sous mes yeux, un peu comme les rouages d’une horloge, mais cela semblait trop silencieux. Comme un silence avant un orage. La tempête de Neige d’il y a quelques semaines avaient nettoyer les rues de Londres et avait redonner à la ville cette pureté qu’elle avait autrefois. Tandis que le café me brulait instantanément l’œsophage, je ressens des élans mélancoliques me prendre d’un coup. Ce n’était vraiment pas mon genre, j’observe Marcello qui se donnait à cœur joie à mordiller un bâton de bois.

Les minutes passent comme des secondes, le monde se déroule sous mes yeux et mon café descend petit à petit. Jusqu’à ce que j’entende mon téléphone sonnait, c’était mon réveil qui m’avertissait que je devais descendre à l’atelier. Oui je m’étais surtout mon réveil pour m’avertir que je devais aller bosser. Je me relève et puis je reprends la route vers l’atelier. Quelques mètres plus tard, je reprends deux cafés. Un pour moi et un pour mon ami, je connaissais ses goût et Altaïr avait un coté rêveur, un coté qui me plaisait beaucoup chez lui, mais putain qu’est-ce que ça pouvait m’énerver surtout qu’il est lent… Et je hais les personnes lentes…

Après avoir longé Camden street, j’ouvre les portes de l’atelier, j’entends des pas au moins je ne peux pas négliger sa ponctualité : « Altaïr c’est toi ? » Je ne le vois pas, mais cela ne pouvait être que lui, je pose les cafés sur le comptoir : « J’ai ramené le café, alors ta passé une bonne soirée ? » oui bah c’est un peu normal que je lui demande enfin c’est bon les langages du boulot ça fait paraître le temps moins long, je m’approche du carnet de rendez-vous, je devais finir le dessin d’un tatouage et j’avais un tatouage à 11 heures j’ai un peu de temps pour flâner un peu, même si je n’aime pas ça. J’étais un peu flemmard sur le coup, j’ai mal dormit quand même cela se voyait sur mon visage qui était blême.


(c) AMIANTE

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