"Fermeture" de London Calling
Après cinq années sur la toile, London Calling ferme ses portes. Toutes les infos par ici Dean ▼ Confessions sous l'aiguille. 2979874845 Dean ▼ Confessions sous l'aiguille. 1973890357
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Dean ▼ Confessions sous l'aiguille.

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() message posté Jeu 29 Déc 2016 - 23:25 par Invité
confessions sous l'aiguille.
(holmes) ▽ Nous recevons tous au berceau les croyances de notre tribu en tatouage ; la marque peut sembler superficielle, elle est indélébile.  

10 heures du Matin, un relan de sky me brûle l'oesophage... Je me réveille alors que je me rend compte que je ne suis pas seul dans mon lit, la lumière me brûle a rétine, j'ai la tête dans le gaz et le cul dans le brouillard. je me redresse, je constate que je suis nu et à coter de moi, un jeune homme... taillé comme une crevette. Je ne me souviens même plus de son prénom, j'ai du trop boire la nuit dernière. Je me lève, j'allais être en retard. La crevette faisait la Moule sur son rocher. Il dormait à point fermer, il allait bien finir par rentrer chez lui. Arriver dans ma cuisine, je m'assois sur un tabouret de bar et je saisis mon agenda. prenant le Feutre. J'analyse mon planning de rendez vous j'avais un rendez vous en debut d'après midi avec ce Dean qui était venu quelques jours plutôt pour me demander des renseignements sur son tatouage. J'entend un bruit derrière moi, un bruit de fracas, comme une masse qui tombe sur le sol. Je me retourne observant mon affiche française d'un Pain au Chocolat dans un style affiche de Propagande soviétique avec marquer en haut "Chocolatine" j'aimais bien ce style, et l'affiche était cool c'est pour cela que je l'ai prise. Le bruit venait de ma chambre, c'est l'individu qui s'est levé il sort s'approchant de la cuisine et ce qui me marqua c'est la Moquette qu'il avait sur le torse... Comme pouvait on être si gringalet et avoir autant de poil... Descendance portugaise sans doutes. « Alors mon petit Ours tu es tombé du lit? » Petit sobriquet ridicule et pourtant cela m'amusait, il grogne d'un son très sourd et grave comme quoi il en avait dans le torse. Il s'approche de moi voulant m'embrasser, je ne refuse pas, mais l'odeur de Cendrier froid me coupa l'appetit. Je me lève, tentant de trouver un calecon dans une banette de linge plié que je n'ai pas eu le temps de ranger. Le jeune homme s'habille alors que je saisis un caleçon avec l'elastique Rouge d'une marque connu, je décide de l'enfiler, me sentant déjà plus à mon aise face à lui. Il me dit qu'il me rapellera, mais j'hesite encore si je repondrais ou non. Il s'en va me laissant seul avec ma bistouquette. Après une bonne douche et de quoi faire un petit repas ce midi. Je recoi un coup de téléphone de Marcus qui était en bas, me disant qu'il fermait la boutique pour le repas et qu'il reviendrais pas avant demain.

Vers 13h50 je quitte mon appartement habiller d'un jeans et d'un marcel noir avec une tête de mort mexicaine. Je rejoins mon Atelier alors que je m'appretais a preparer mon matériel, je remarque que c'était le bordel dans la salle et surtout dans le bac de stérilisation ou tout était sans dessus dessous. C'était vraiment le numéro complementaire pour une journée de merde. C'est à ce moment que j'entend la petite clochette comme quoi un client rentré.

Les mots que tu as à placé : Bilboquet ; Pain au chocolat ; Bierraubeurre ; Parlote ; Winter is Coming ; Marmelade ; Cigarette ; Malediction ; Valériane ; Papouasie.

(c) AMIANTE

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() message posté Ven 30 Déc 2016 - 4:15 par Invité


Confessions sous l'aiguille.

feat. Cosme J. Estevez



Et encore une journée stressante s'annonce pour aujourd'hui. Je ne sais plus où donner la tête avec tous ces castings qui ne mènent à rien pour le moment. Stressante oui, mais pas seulement nom de Zeus! L'ennui! Ca fait maintenant une bonne demi heure que je m'occupe avec ce bilboquet à essayer de faire rentrer ce semblant de phallus dans ce qui pourrait être une métaphore imagée d'un vagin. Je respire un grand coup avant d'expirer un profond soupir. J'ai faim. C'est la seule chose qui me traverse l'esprit et bien entendu c'est quand j'ai besoin du stagiaire pour lui faire faire des choses idiotes comme des Bierraubeurres maisons qu'il n'est pas là. Peut-être que je devrais mettre la main à la pâte comme on dit. Ca me prendra bien un petit moment non? C'est ainsi que je balance ce jouet stupide sur le bureau et me lève de ma chaise pour me diriger vers la cuisine tel un zombi, un fichu marcheur blanc qui ouvre soudainement la porte du frigidaire pour y découvrir quoi? Rien. C'est une malédiction ma parole! J'ai beau relooker chaque étage de ce dernier, ce que je vois c'est ce pot de confiture de marmelade que Maho m'a fait acheté, pour au final le laisser pourrir ici durant son absence. Quand va-t-il revenir? Je ne sais guère mais il me manque. Sa présence me manque, son odeur me manque, le voir faire des vidéos improbables et inutiles me manque, le sexe me manque aussi c'est vrai. Je suis même obligé de m'imaginer des scénarios bidons avant de dormir, fantasmant sur sa personne tout en m'astiquant la nouille pour ressentir un petit moment de jouissance et me prendre une bonne cigarette comme un cliché réel de ces films à l'eau de rose. Pas besoin de valériane pour vous aider à vous assommer pour trouver le sommeil, de toute façon ça ne sert à rien, l'homéopathie ce n'est que du placebo. Un jour j'ai avalé une quarantaine de ces tubes car je trouvais ça bon, c'était un traitement. Tout ce que j'ai gagné c'est d'avoir perdu un ou deux kilos.Bref. Je referme la porte de ce frigo.

Je relève la tête pour voir l'heure et me rends compte qu'il faudrait que je m'active si je ne veux pas être en retard à mon rendez-vous. Professionnel bien entendu. Je m'habille vite fait, rien de bien classe comme j'ai l'habitude de porter et m'en vais tout droit vers la sortie. Lunettes de soleil sur le nez, ce n'est pas car cette boule de feu brille qu'il ne fait pas froid. J'ai l'impression de vivre un épisode de Game of Thrones où durant tout le long ils nous disent que Winter is Coming alors que ça fait six saisons qu'il y a assez de neige et de glace pour refaire le château de Frozen. En chemin, j'aperçois une boulangerie française. Ils sont doués ces mangeurs de grenouille pour la cuisine quand même. Je m'y arrête et hésite à parler français à la boulangère, lui demandant le seul mot qu'on m'a appris pour dire la viennoiserie que je désire mais il semblerait qu'elle ne me comprenne pas. "Un Pain au Chocolat?" lui répétais-je donc avec cet accent anglais qui me fait dire Pain comme Pain. Ca ne m'étonnerait pas d'un côté. C'est une réelle douleur de dire cette expression. Je préfère utiliser un mot du terroir, ça fait moins touriste anglais qui va à Paris pour la première fois, vous me voyez? Bref. Je ressors tout content et vais sûrement prendre 500 grammes.

J'entre enfin dans le salon de tatouage, ayant prévu de me faire une lune avec des motifs de Papouasie et de ces îles paradisiaques. Ca révèle un petit côté de combattant je trouve, une force, une puissance. Tout ce que je n'ai pas mais j'aime bien croire le contraire. Peut-être que cela m'inspirera. Je souris à l'homme que j'avais vu peu de temps avant et m'accoude au comptoir. "Salut! J'espère que tu vas bien. Je suis à l'heure je crois, j'ai été un peu pressé toute la matinée, je ne savais plus sur quel pied danser. Tellement de choses à faire, je suis beaucoup trop occupé ces temps-ci mais j'ai réussi à me libérer pour toi!" lui dis-je sur un ton rapide en lui adressant un clin d'oeil. Je sais bien que je peux être très amical avec les gens mais je ne pensais pas avoir autant la parlote avec lui alors que ça ne fait que deux fois que je le vois. "Je suis prêt à passer sous l'aiguille si tu le veux ou après ta cigarette. Enfin bref, c'est toi qui décide!" ajoutais-je. Bref. Je viens sûrement de passer pour un imbécile.

Je le suis finalement jusqu'à l'arrière boutique, appelons ça comme ça pour me faire marquer au fer rouge. Je m'allonge légèrement sur la table destinée à cela et lui tends mon bras pour qu'il me fasse ce rond rempli de ces symboles. Pourquoi faire ça? Je ne sais pas. Sur un coup de tête. Je m'ennuie. Il faut bien que je trouve des choses sympas pour tuer cette routine. Je le regarde se préparer et sens enfin l'aiguille contre ma peau. J'ai envie de rigoler et de pleurer en même temps à cause de ces picotements mais je serre les dents et ne réagis pas. Je ne sais pas pour combien de temps on en aura mais pour quelque chose de cette taille, il faut bien une quarantaine de minutes. "En vrai, je m'emmerde un peu en ce moment. Londres, j'ai fait le tour. Je suis revenu dans mon pays paternel une fois que celui-ci est décédé alors que j'étais un bambino. Avant j'étais à Palerme en Sicile. Ca me manque un peu pour être honnête. Faudrait que tu y ailles si tu n'y as jamais été. Pas forcément en Sicile mais l'Italie en général. Cette ambiance chaleureuse et amicale, on ne la rencontre que très peu ici, en Angleterre. Ceux qui sont comme ça et que je connais viennent tous d'ailleurs. Tu viens d'où toi?" lui dis-je réalisant que je raconte un peu ma vie. Mais c'est un peu comme le coiffeur non? Bref. Je viens de prendre mon tatoueur pour mon psy.

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() message posté Sam 31 Déc 2016 - 1:39 par Invité
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(holmes) ▽ Nous recevons tous au berceau les croyances de notre tribu en tatouage ; la marque peut sembler superficielle, elle est indélébile.  


Mon salon avait l'air comme ça petit, une pièce centrale, mur blanc avec d'un coté tout les tatouages que j'ai pu réalisé sur un mur, un grand canapé en cuir vieillit. Un comptoir avec mon ordinateur et la caisse. Et puis il y a deux porte, l'un est un grand rideau noir menant dans l'arrière boutique qui est la salle de tatouage. Et une plus petite menant au sous sol, où se passe les Piercings. Sur les murs des dessins ont été fait à la bombe, des icones de la culture cinématographique un Alien, un Freddie Kruger etc... Ca plait généralement et je trouve cela tranquille j'aimais bien après tout c'est Marcus et moi qui avons choisit.

Je tourne la tête une fois que la porte s'ouvre, je le vois planter devant le comptoire comme un teubé issus d'un inceste je m'approche retirant mes gants de latex pour les jeter dans une poubelle specifique. « Salut Dean. » même pas le temps de continuer qu'il commencer à parler, au depart je me dit que ca ne durera pas longtemps. Salut! J'espère que tu vas bien. Je suis à l'heure je crois, j'ai été un peu pressé toute la matinée, je ne savais plus sur quel pied danser. Tellement de choses à faire, je suis beaucoup trop occupé ces temps-ci mais j'ai réussi à me libérer pour toi!" J'ai l'impression qu'il ne sait pas arrête une seconde pour respirer, je me mis à sourire à son clin d'oeil, ce mec était beau et il en jouait divinement bien, son clin d'oeil pouvait faire flancher n'importe quel personne, mais bon je suis professionnel je n'allais pas me laisser faire. « Bon tu es prêt sinon? Parce que la ratatouille ne va pas se faire toute seule" disais-je en riant alors que j'ouvre le rideau menant dans une salle derrière, un coin tranquille avec des decoration sur le mur, c'était sombre et intime. Un rouge cramoisie sur les murs avec des fresques indigènes. les dernières photos de Vacances au Costa Rica ainsi que des photos de l'église de San José. Magnifique eglise que j'ai adoré visité. Ma famille est très croyante et je le suis aussi sans pour autant étaler ma réligion, je préfère la garder pour moi car cela ne regarde que moi. D'autre photos, des stands d'un marché plein de couleur et des grigris a base de pied de poule. "Je suis prêt à passer sous l'aiguille si tu le veux ou après ta cigarette. Enfin bref, c'est toi qui décide!" Je me suis mis à rire, je ne fumais pas enfin pas au boulot. « Allons y monsieur la pipelette, on y sera encore demain sinon. T'en fais pas pour la pipe, je la préfère longue dans le temps et humide. »

Il y a une vérité qui se propage depuis longtemps,  les gens se confient alors qu'ils sont dans une position qui peut paraître indélicate. Comme si on était fait pour être psy enfaite. desfois j'en entend des verte et des pas mure: des fetichistes du Sombrero, des fachos de Satan limite trop proche de l'overdose de connerie. Je l'invite à rentré, il s'installe sur le siège et je lui demande d'enleve son haut pour avoir plus facilement accés son bras. je fouille dans un porte revue pour retrouver le calque du tatouage qu'il avait demandé. J'enfile des gants, je passe une crême anesthésiante sur son bras. J'attend quelques secondes et je sors la machine, j'insere l'encre et je l'allume. Je commence mon Art. Je me concentre. Je suis les traits alors que Dean lui se croit vraiment chez le psy:

"En vrai, je m'emmerde un peu en ce moment. Londres, j'ai fait le tour. Je suis revenu dans mon pays paternel une fois que celui-ci est décédé alors que j'étais un bambino. Avant j'étais à Palerme en Sicile. Ca me manque un peu pour être honnête. Faudrait que tu y ailles si tu n'y as jamais été. Pas forcément en Sicile mais l'Italie en général. Cette ambiance chaleureuse et amicale, on ne la rencontre que très peu ici, en Angleterre. Ceux qui sont comme ça et que je connais viennent tous d'ailleurs. Tu viens d'où toi?" Trop d'informations, j'en ai la tête qui tourne, je tente tout de même de me concentrer. Il est italien, je le savais déjà. Il a le mal du pays ca se ressent dans sa façon de parler et puis il est nerveux il parle trop... Et surtout trop vite. heureusement que je suis Anglais avec son accent à couper au couteau des étrangers auraient eu du mal à le comprendre et puis il me pose une question et je finis donc par lui répondre: « Je ne suis pas d'accord avec toi... Londres est l'une des villes les plus chaleureuse que je connaisse dans le pays. Faut connaître les bonnes adresses et surtout les bonnes personnes. Je suis d'Eastwick. Mais dans ma famille, ils viennent d'Argentine et du Brezil. C'est un tout autre univers, mais j'ai beaucoup voyagé donc mon avis est un peu faussé... » Je prend mon temps pour parler, je voulais pas baccler le travail. j'avais estimer le temps à trois quart d'heure, autant prendre son temps. « Je suis déjà aller en Italie, j'ai visité la Toscane, Venise et Florence. Je suis pas aller dans le sud j'avais pas trop le temps déjà » Je me demandais vraiment s'il alait continuer à se plaindre, un truc comme ça et je demande à passé mon diplome de psychiatre « Et sinon tu es sur un projet en ce moment ? » demandais-je alors histoire  de voir s'il allait changer de sujet.

" Les dix mots que tu dois placer: Maison de passe ; Sodomie ; Maracas ; Syphilis ; Pâté en Croute; Croque mitaine ; Poilu ; Vapeur; Anaphalbète ; Courtisane
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() message posté Sam 31 Déc 2016 - 17:18 par Invité


Confessions sous l'aiguille.

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Je fronce légèrement les sourcils en entendant ce qu'il me dit. Je connais bien Londres. Je suis peut-être rital et je le reste mais je suis tout autant anglais. Buckley ça ne sonne pas italien à ce que je sache! Je connais aussi les bonnes adresses. Déjà je suis dans le même quartier que ce tatoueur, à Camden, le quartier punk de Londres où alcool, ivresse, rock'n'roll et sexe sont les mots clés pour désigner cet endroit donc le joueur de maracas il va descendre d'un étage. Mais il m'apprend qu'il est brésilien. Je comprends mieux pourquoi mes envies de sodomie sont si présentes. Ils sont assez hot ces gens là et je n'ai plus l'occasion de m'en faire un à présent. A moins que je suggère l'idée à ma courtisane du nom de Maho. Oui, je le considère un peu comme mon homme à tout faire. J'ai bien le droit non? C'est un jeu entre nous. A force de se faire des plans à trois, notre loft va vraiment faire office de maison de passe. J'espère cependant qu'avec tous ces plans à trois, on n'attrapera pas des maladies du style le SIDA ou la syphilis. Je crois que je ne m'en remettrai jamais si ça devait arriver, étant toujours du genre clean. Par contre, pour renforcer encore plus mon fantasme, j'aimerais que ce charmant monsieur soit poilu. Maho n'a pas vraiment de poil sur le torse mais ça réveille un certain côté viril je trouve, du moins sur les autres étant aussi lisse qu'un pâté en croûte, les reliefs se formant sur mon corps n'étant rien d'autre que les abdominaux et pectoraux.

Mais là n'est pas la question. Le fait qu'il est lui aussi visité mon pays me réchauffe le coeur autant qu'un cuir-vapeur. Oui je suis nostalgique de mes terres maternelles mais cela ne veut pas dire mon pays paternel ne me convient pas. Au pire, je peux m'en aller aussi vite que je suis venu et pourquoi pas faire une mission humanitaire ou donner certains cours à des analphabètes pour qu'il s’imprègnent de ce savoir si particulier. "Au moins tu as vu les principales villes dirons nous de ce magnifique pays. Je crois que dans celles que tu as cité, Florence reste ma préférée avec la Statue de David, la Santa Maria del Fiore ou le Ponte Vecchio. Après Venise reste charmant dans son genre bien que ce soit cliché mais j'aime beaucoup le fait que les maisons tiennent sur pilotis mais c'est dommage que tu ne sois pas allé à Rome par exemple. Je suis certain que la Fontaine de Trevi t'aurait plu. Je crois que c'est mon lieu préféré dans la capitale," lui dis-je tout en me prenant pour un guide touristique. Peut-être que c'était ça ma vocation mais je ne sais pas si à Londres ça m'aurait plu. Il y avait pleins de métiers que je rêvais de faire comme photographe, avocat, ou encore croque-mitaine mais ayant parler de ces projets à ma mère, cette dernière trouvait que c'était un eu glauque.

Mais voilà qu'il me parle de mes projets. T'as cru que tu allais avoir une interview comme ça? Non, sans rigoler, ça ne me dérange pas de lui répondre mais j'ai tendance à garder mes projets secrets. Même mon bien aimé n'est pas vraiment au courant du projet en lui-même, juste que je fais passer des castings en ce moment mais rien de bien folichon. "Pour être tout à fait honnête avec toi, j'ai souvent lu et entendu que si l'on veut qu'un projet se réalise, on ne doit pas en parler à qui que ce soit et je prends vraiment ces mots à la lettre. Donc je ne te répondrais que oui seulement mais je n'en dirais pas plus," lui dis-je en lui souriant en coin.

J'en suis actuellement au point où mon tatouage me fait penser à un massage. Il s'intéresse un minimum à moi peut-être, il faut bien que je lui renvoie la pareille. "Si tu devais te rappeler un souvenir d'enfance, ça serait quoi tiens? Ou tes tatouages ils veulent dire quoi? Je veux une description complète, je suis prêt à t'écouter car souvent ça a une signification pour la personne sauf si on arrive à un point où c'est en mode "yolo je me fais tatouer car c'est joli". T'es es comme une valise sur laquelle on colle des timbres de n'importe quel pays? Genre partout où tu vas tu te fais marquer pour garder un souvenir?" lui demandais-je de mon blabla habituel.

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() message posté Dim 1 Jan 2017 - 6:16 par Invité
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(holmes) ▽ Nous recevons tous au berceau les croyances de notre tribu en tatouage ; la marque peut sembler superficielle, elle est indélébile.  



Je lui raconte la plupart de mes voyages en Italie, après tout il me l’avait demandé. La Sicile était bien une idée d’excursion, mais je me suis dit autant fait le Sicile et la Sardaigne ce qui était à coté finalement. Mais à ce moment là où ou je voulais y aller, je me suis blessé, saleté de pavé m’étant coincé le pied entre deux pavés je m’en suis tordu la cheville ! Au lieu de crier « Mortecouille ! » je remarque que ma cheville avait doublé de volume un peu comme une Damelot. Je l’écoute Mr Le guide : « Au moins tu as vu les principales villes dirons-nous de ce magnifique pays. Je crois que dans celles que tu as cité, Florence reste ma préférée avec la Statue de David, la Santa Maria del Fiore ou le Ponte Vecchio. » Chacun des endroits qu’il cite, me ramené dans le passé… Quand j’ai traversé le Ponte Vecchio ou encore admiré la Statue de David, ou franchis les portes Santa Maria del Fiore qui a été finit par mon Homonyme Cosimo de Medici. Alors que je continue mon travail je l’écoute : « Après Venise reste charmant dans son genre bien que ce soit cliché mais j'aime beaucoup le fait que les maisons tiennent sur pilotis mais c'est dommage que tu ne sois pas allé à Rome par exemple. Je suis certain que la Fontaine de Trevi t'aurait plu. Je crois que c'est mon lieu préféré dans la capitale. » Sa connaissance de l’Italie était admirable, enfin je connaissais la fontaine de Trevi et les maisons sur pilotis de Venise et je dois dire que j’ai trouvé cela comment dire cela sentait la merde imaginer le truc s’effondre c’est un peu trop malaventurebesac quand même ! Alors que j’avancais sur les contour de son tatouage je lui avoue : « Cela m’aurait plus c’est sur ! ce qui m’aurait plus se serait encore la basilique St Pierre ou encore le Colisée. L’histoire que dégage ces monuments ont quelques chose qui m’ont toujours plus, entre la puissance du Vatican et toute l’histoire autour du Colisée.  »
 
A ce moment je lui pose des questions sur son projet, après tout je n’allais pas me dégingler face à lui. C’est toujours une bonne raison de jouer la curiosité maladive et de pouvoir en apprendre plus sur un réalisateur qui commence à percer dans le métier. Au début j’ai bien cru qu’il allait m’envoyer sur les roses, et que j’allais devoir trouver moult raison à avoir une petite info, mais je fus d’autant plus surpris qu’il ne me laisse pas choir :  "Pour être tout à fait honnête avec toi, j'ai souvent lu et entendu que si l'on veut qu'un projet se réalise, on ne doit pas en parler à qui que ce soit et je prends vraiment ces mots à la lettre. Donc je ne te répondrais que oui seulement mais je n'en dirais pas plus," Je veux pas dire, mais il se frotte le fessard un peu là. Il pouvait directement le dire qu’il voulait pas m’en parler de peur que j’en rajoute une couche sur une de mes vidéos, je ne lui en veut au moins il me laisse croire à un projet. : « Eh bien c’est tout à ton honneur mon cher !  » disais-je d’un leger clin d’œil avant de reprendre : « Je suis aussi sur un projet en ce moment, j’attend des nouvelles de la BBC pour voir si cela est possible, mais bon le réal’ est un peu con sur les bords a ne pas répondre ». Je n’allais tout de même pas lui dire non plus ce serait un peu francherepue quand on y pense.

je continue son tatouage, le bruit de la machine m’a toujours plus, un son strident et continu proche du bourdonnement d’un insecte, ca m’apaise mais je reste tout de même concentré se serait malheureux que je lui tatou un gros cœur avec Mommy marquer dessus. Enfin je veux pas cuer le lièvre, mais j’irais prendre mes jambes à mon cou pour fuir à Tombouctou.  "Si tu devais te rappeler un souvenir d'enfance, ça serait quoi tiens? Ou tes tatouages ils veulent dire quoi? Je veux une description complète, je suis prêt à t'écouter car souvent ça a une signification pour la personne sauf si on arrive à un point où c'est en mode "yolo je me fais tatouer car c'est joli". T'es es comme une valise sur laquelle on colle des timbres de n'importe quel pays? Genre partout où tu vas tu te fais marquer pour garder un souvenir?" J’essaye de mémoriser chacune de ses questions, après tout il voulait apprendre à me connaitre alors pourquoi pas jouer à ce petit jeu : « Un souvenir d’enfance ? Hum… laisse moi réflechir » je prend temps, arrête un peu la machine, car du coup je n’étais plus concentrer. Soudain une idée me vient et je reprend le tatouage : « La première fois que je suis allé en Argentine, j’avais… Je ne sais plus je crois que j’avais 7 ans tout au plus. C’était la première fois que je prenais l’Avion… Depuis tout petit j’ai été bilingue, ma mère parlait souvent espagnol à la maison. Au debut, mes premier pas à buenos aeres, j’avais peur… Trop de bruit c’était pire qu’à Londres ,les gens se hurlait dessus c’était en plein jour de marché c’était terrible. Et puis on avait prit une Jeep pour allait dans la campagne et la je vois une maison avec un grand jardin dominait par une petit forêt. Il y avait des enfants qui hurlait et courraient partout. C’était tellement atypique, je me suis rendu compte à ce jour que je me sentais vraiment chez moi làbas. Et que Londres n’était qu’une maison comment une autre… » Tout les souvenirs me remonte en tête, le visage de mon abuela et toutes ma famille. L’odeur des épices et de la nourriture qui me faisait découvrir un nouveau genre de vie… Je n’allais pas continuer à parler de ça j’allais être mal après. Car quand je reviens ici a chaque fois, j’ai le mal du pays et ca m’angoisse. C’est bête mais c’est comme cela. « Ensuite les tatouages… Le premier tatouage que je me suis fait j’avais quoi 17 ans, c’était pour marquer une nouvelle étapes de ma vie… J’avais arrêter le lycée, je m’appretais a faire mes études de journaliste et je m’étais fait ce symbole sur l’haine » Je pose la machine sur la petite tablette me levant, je baisse un peu mon Jean, montrant ma ceinture d’adonis et en dessous on appercoit un petit symbole runique sur l’haine. C’était un symbole que mon père avait la facheuse tendance de dessiner partout :  « Mon père dessinait ce symbole n’importe où, c’était pire qu’un Toc. Pour lui c’était un symbole d’espoir, pour lui c’était un rêve qui ne s’est pas réalisé, mais il ne perdait pas espoir c’était le logo de son entreprise de musique. La Clé de Fa en gros. » Je remet bien mon pantalon pour me rassoir : « Ensuite pour ce qui est du reste c’est un mélange… Effectivement, je n’aurais pas dit un timbre, mais plus une référence… Il y a beaucoup ce qui concerne ma passion le Cinéma, tu vois la tu as Janet Leight dans sa fameuse scene du film psychose. Tu as Woody Allen là et puis d’autre la Lune de Georges Méliès, les Oiseaux de Hitchcock. Et puis plein d’autre. Les Tatouages que j’ai au chevilles et aux pieds, ce sont mes premiers tatouages en tant que tatoueur. Quoi de mieu que de le faire sur soi même pour s’entrainer. Et puis quand je suis aller faire mon tour de la Californie, je me suis arrêter dans les plus grand salon de tatoueur, je voulais avoir une trace de ceux qui m’ont inspiré pour faire ce metier.Disais-je d’un grand sourire… J’étais un peu mélancolique, mais je préférais continuer le travail : « Et toi dit moi, ce tatouage qu’est ce qui signifie. Il me semble pas que tu m’en ai parler la premier fois que tu m’en as parler ? »



" Les dix mots que tu dois placer: Gourgandine, sac à foutre, blaireau , andouille, porc au caramel, culcul la pralinette, galinette cendrée, vasectomie, particule.
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() message posté Lun 2 Jan 2017 - 23:18 par Invité


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Je connaissais tous les endroits qu'il me citait bien qu'ils ne furent pas les premiers que j'ai eu en tête. Comment ai-je pu oublié de citer le Colisée pour parler de Rome et le Vatican qui est juste à côté? Dans ce cas, je peux aussi mentionner la Chapelle Sixteen, restons dans le cliché encore et toujours. C'est comme si je parlais de la Chine et que je criais sur tous les toits que j'ai envie de porc au caramel sauf qu'il ne vaut mieux pas que je ne pense à ça car je commence à avoir faim et surtout à avoir le bras engourdi à force de rester dans cette position. Pourquoi le temps ne passe pas si rapidement que je l'espérais? Je laisse échapper un soupir, tournant la tête vers lui en le relookant de haut en bas. C'est dans ces instants précis que je regrette de ne pas être célibataire bien qu'être en couple avec ce blaireau d'américain est la meilleure chose qui me soit arrivé dans la vie. Peut-être que d'ailleurs je devrais penser à cette romance pour un sujet bien culcul la pralinette. Ca a tendance à fonctionner auprès des filles qui rêvent du grand amour alors qu'il ne viendra jamais et elles seront tellement malheureuses de ne trouver personne ces andouilles qu'elles vont aller se taper n'importe qui comme de bonnes gourgandines qui se respectent -ou justement pas-. Oui mesdames. Vous êtes au fond, des sacs à foutre. Allez, mille baci per voi!

J'aimerais dire que j'ai oublié le fait qu'il fait des vidéos critiques, or, ce n'est pas le cas. Il doit tout de même être assez réputé pour être contacté par ce genre de radios télévisées. Je ne vais pas faire le rabat-joie à essayer de le démonter car il a fait une vidéo sur mon film, bien au contraire, une critique constructive, qui refuserait? Peu importe ce qu'on fait, il y aura toujours du bon et du mauvais, la perfection n'existe pas bien que certaines choses peuvent sembler parfaites. C'était mon premier long-métrage et grâce à ses remarques je peux voir ce que le spectateur aime ou n'aime pas bien que ces avis ont une très légère importance pour moi, étant du genre à faire des films pour le plaisir d'en faire. "Ce n'est pas pour prendre leur défense mais je pense qu'ils ont énormément à faire, peut-être même sur ce début d'année, entre les fêtes et tous les événements qu'il peut y avoir. Ils sont à l’affut du moindre sujet pour leurs affaires mais ça viendra, peut-être dans une semaine ou deux non? Ca fait combien de temps déjà?" lui répondis-je. Et j'étais sincère. Je lui souhaite le meilleur, il a tout pour réussir, et en plus dans l'art de dessiner. Un artiste dans l'âme si ce n'est pas beau!

Tout en fermant les yeux, je me conter l'un de ses souvenirs, essayant de m'imaginer la scène. J'imagine des rires sur des visages d'enfants, un ballon qui se passe d'une personne à l'autre, dans un bruit assourdissant et cela m'a subitement réchauffé le cœur, commençant même à avoir les larmes aux yeux car cela me faisait penser à ma chère Italie. C'était un peu la même ambiance, une approche chaleureuse et conviviale. Pourquoi ai-je quitté ces terres? La douleur est si profonde que j'ai l'impression de subir une opération chirurgicale digne d'une vasectomie bien que n'ayant pas testé la chose. J'essaie tout autant de me sortir ces images de la tête mais il n'y a rien à faire. Je suis en train de perdre ma virilité à cause d'un pays. Wow. Pour vous évitez ceci, je peux vous parler d'une phrase sortant tout droit de certains cours de physique, d'SVT ou de ce que vous voulez, qui est sûrement sorti lui-même de Wikipédia. "Le sable est un matériau granulaire constitué de petites particules provenant de la désagrégation d'autres roches dont la dimension est comprise entre 0,063 (limon) et 2 mm (gravier) selon la définition des matériaux granulaires en géologie. Sa composition peut révéler jusqu'à 180 minéraux différents (quartz, micas, feldspaths) ainsi que des débris calcaires de coquillage et de corail." Voilà. J'espère que cela vous a ennuyé tout autant qu'à moi, d'autant plus que de parler de sable, de corail, ça me fait penser à la mer et vous savez de quoi est entourée la Sicile? OUI. D'EAU NOM D'UNE GALINETTE CENDRÉE! Et vous savez ce qu'il y a d'autre en rapport avec de l'eau? Ces putains de larmes qui commencent à perler sur mes joues.

Et pendant que je craque, lui s'arrête de faire son travail et me parle de ses tatouages non mais sérieusement. Offre moi une bière, un billet d'avion, je ne sais pas moi mais ne descend pas ton froc, j'ai autre chose en tête! Bien que... Ca pourrait être intéressant. J'ouvre à peine les yeux, ayant une vision assez floue sur ces dessins et j'essaie de capter quelques mots prononcés par l'argentin, comme si une majeure partie de sa vie était basée sur la musique et le cinéma, ce que je trouvais fascinant bien que je ne trouvais rien à en dire. Je redressais la tête, passant une main sur mes yeux pour tenter de reprendre mes esprits mais lorsqu'il me posa la question en retour, je m'effondre encore plus en larmes comme si je venais de subir une mort de plus dans ma vie et que cela me déprimait au point que si on s'adresse à peine à vous, vous n'arrivez pas à le supporter. "Je ne sais même plus. il me semble que l'idée de base était de représenter la force mais il s'avère que je suis plus faible que je ne le montre ou peut-être ai-je été fort un peu trop longtemps. Je ne comprends pas et je suis désolé, ça ne m'arrive que très rarement de finir comme une fontaine devant les gens et même tout seul à mon appartement mais je crois que la c'est le morceau de parmesan qui fait déborder les carbonaras," lui répondis-je en me redressant sur le siège. "Je crois que j'ai besoin d'une cigarette. On peut faire une pause s'il te plait? Ou alors on finit et on prend une pause avec autre chose que du simple tabac séché, si tu vois ce que je veux dire," continuais-je en fronçant légèrement les sourcils comme pour afficher sur mon visage qu'il ne s'était absolument rien passé. "Ou si tu veux, je m'en vais chercher de quoi boire un peu, ça nous permettra d'oublier cette scène. Je pense que c'est le mieux et si je le fais maintenant, on aura peut-être la chance d'avoir des bières fraîches, si ce n'est pas beau!" lui dis-je en esquissant un léger sourire sur mes lèvres tout en passant une main dans mes cheveux pour les remettre en place.

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() message posté Mar 3 Jan 2017 - 1:53 par Invité
confessions sous l'aiguille.
(holmes) ▽ Nous recevons tous au berceau les croyances de notre tribu en tatouage ; la marque peut sembler superficielle, elle est indélébile.  


Ca me crispait rien d'y penser, desfois ces gens étaient tous les même des salops de bourgeois après tout ce n'était que des bénitiés de sperme, tout gluant et immonde. J'essaye vraiment de concentrer, je suis à trois quart de son contour dans une dizaine de minutes je pense avoir finit. L'encre marquer bien sur sa peau c'était une bonne chose j'esperais seulement que cela reste car toutes les peaux ne marque pas pareil. Certains voit leurs tatouages s'effacer au bout d'un mois et se plaignent au point de porter plainte. Les gens sont vraiment stupide quand même. : « Ce n'est pas pour prendre leur défense mais je pense qu'ils ont énormément à faire, peut-être même sur ce début d'année, entre les fêtes et tous les événements qu'il peut y avoir. Ils sont à l’affut du moindre sujet pour leurs affaires mais ça viendra, peut-être dans une semaine ou deux non? Ca fait combien de temps déjà? » Je n'attend même pas de réflechir, ce qu'il me dit est vraiment. Le début d'année tout ça, mais ils sont pourtant tous au taquet pour la diffusion de leurs série far de l'année 2017 et dire que j'aurais pas ma dose de Doctor Who cette fois encore: «Eh bien plus que ça, j'ai du les contacter en Septembre quelques mois après la promo de la saison de Sherlock. Ils avaient finit le tournage ils en étaient au montage. Mais avec la comm de Doctor Strange les conférence de presse de Sherlock étaient repoussé à Decembre. C'est vraiment le bordel sur cette série n'empêche. C'est des pros y a rien à dire la dessus.»

Et puis c'est à ce moment qui me parle de ces tatouages, j'étais a fond je lui parle de quelques un de mes tatouages. au point de me lever et de baisser un peu mon pantalon sans peur de m'hexhiber. Les souvenir e mon père remonte à la surface, son rire, son visage, quand il m'a appris à faire du vélo à m'apprendre la vie tel un homme... Mon père ce héros partit bien trop vite. Les sanglots se pose dans ma gorge et je tente de me changer les idées je parle de mes passions le cinéma la musique et le dessins. Et puis mon regard se pose sur lui, je n'en revenais pas... J'apercevais bien une larme sur sa joue était il vraiment en train de pleurer? Il avait quelques choses de charmant, un homme qui pleure avait quelque chose de charismatique je trouvais cela beau c'était si rare de voir un homme pleurait, même moi je n'en avais pas l'habitude. Mais bon il pourrait tout aussi bien ressembler à une danseuse Cagole d'Operette dansant je ne sais pas moi le Fadango en Combi de Girafe tant de niaiserie me donne envie de sortir la Baïonette Eh ouais j'utilise une Majuscule qu'est ce qu'ya je suis un Thug mon frère ! Mais bon cela dit je voulais lui remonter le moral il fallait bien après tout le pauvre était entrain de chialer sur mon fauteuil tout neuf:

«Faut pas pleurer dit... Allez je vais te raconter une histoire de Noyel de Tonton Cosimo: Il était une fois en Laponie, un petit garçon qu'on appellerait Augusto, Augusto avait 9 ans et pensais que son pays se trouvais au fin fond du Perou. Son père qui n'était autre que le gros enculé de PDG du père Noël décida de l'emmener faire un bonhomme de neige. Tandis qu'ils étaient dehors. Un son de clochette leurs tintèrent dans les oreilles tel une nuit de Noël. Ce n'était autre qu'un Renne stupide qui avait tellement froid qu'il était emmitouffler dans un plaid tel un papier cadeau. Un elfe se trouvant sur son dos demande de l'aide à Augusto. Son père beaucoup trop stupide décide de se faire dans son coin une raclette en gros feuj qu'il était avec du vin chaud car en laponie ca caille ! Augusto retourne à sa maison pour faire de la soupe, alors qu'il repare pour nourrir le Rennes il marcha dans la neige bah oui c'était l'hiver faut pas s'y fier car les flocon ne tombait plus mais une belle guirlande de givre et de stalactite parsemé la gouttière Alors qu'il trouva le renne sous un sapin il lui donna la soupe et l'elfe pour le remercié lui offre un Reveillon digne d'un petit prince avec une dinde fumante et plein d'autre victuailles... Bon c'est bon ca va mieu? » disais-je en souriant. APrès cette petite interlude je lui demande alors la signification de son tatouage. Pour en savoir plus sur lui et finalement il tente de m'expliquer:

« Je ne sais même plus. il me semble que l'idée de base était de représenter la force mais il s'avère que je suis plus faible que je ne le montre ou peut-être ai-je été fort un peu trop longtemps. Je ne comprends pas et je suis désolé, ça ne m'arrive que très rarement de finir comme une fontaine devant les gens et même tout seul à mon appartement mais je crois que la c'est le morceau de parmesan qui fait déborder les carbonaras,» l'image employé me fit rire, je dois dire qu'il n'y que les italiens pour faire de tel métaphore, je secoue ma tête en lui repondant: « Nan ne t'en fais pas, ce n'est pas grave j'aurai continuer j'aurai surement finit dans le même état. Tu sais, la signification d'un tatouage ne veut pas forcement montrer ce qu'on est, mais aussi le rêve qu'on aimerait accomplir. En Chine il utilise des ideogramme pour atteindre leurs but, l'amour, l'espoir, la sérénité etc. Si ce tatouage peut te permettre quand tu te lèves le matin et que tu es devant ta glace te motiver à être l'homme que tu veux devenir. Il est bon de savoir d'avance ce que représentera ce tatouage et je pense que ca pourra largement t'aider. » . Je n'en revenais pas d'autant parler je n'étais plus habituer quand même et puis il me propose:  "Je crois que j'ai besoin d'une cigarette. On peut faire une pause s'il te plait? Ou alors on finit et on prend une pause avec autre chose que du simple tabac séché, si tu vois ce que je veux dire," J'observe son tatouagee et je lui avoue: laisse moi cinq petites minutes, j'ai bientôt finit les ocontour. Il ne me restera plus que l'interieur et les ombres à  faire. disais d'un sourire compatissant, c'était une épreuve à subir, mais bon il faut de tout pour faire un monde et puis on arriverai bientôt à l'étape chiante le coloriage.  "Ou si tu veux, je m'en vais chercher de quoi boire un peu, ça nous permettra d'oublier cette scène. Je pense que c'est le mieux et si je le fais maintenant, on aura peut-être la chance d'avoir des bières fraîches, si ce n'est pas beau!" Je me mis à rire: On ira à la supérette en bas de la rue pourquoi pas, mais que de la bière si tu veux que je finisse ton tatouage sobrement faut pas que je boive plus sinon je serai capable de te marquer j'aime la bite en dessous. je me remet au boulot en pensant à la bière bien fraiche qui m'attendra quand j'aurai finit cela. Quelques minutes plus tard j'enroule son bras dans du Celophane pour proteger un maximum le tatouage qui commençais à cicatriser, il n'avais pas beaucoup saigner et c'est une chance. Mais on pouvait d'hors et déjà voir son tatouage dans un étage encore pas finit: Voila mon cher première partie finit. On y vas? disais-je en enlevant la cartouche d'encre posant le matieriel sur une tablette. retirant mes gants pour les jetter dans la poubelle façon basketteur professionnel. Je me lève m'etirant à ce moment on pouvait voir ma ceinture d'adonis ainsi que le condor qui y était tatoué animal Totem de mes origines bien entendu. parce que voilà !

Martin-Pêcheur ; Panaché ; Le Loup ; Le Renard ; La Belette ; La jument de Michao ; Deutsche Qualitât ; Bière ; mousse ; Pierre.

(c) AMIANTE

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() message posté Dim 8 Jan 2017 - 4:15 par Invité


Confessions sous l'aiguille.

feat. Cosme J. Estevez



Que voulez-vous que je réponde à ça? Nous, Anglais, savons y faire parfois et sommes assez professionnels mais ce n'est pas non plus de la Deutsche Qualitât mais je serais tout de même assez curieux de savoir ce qu'il peut dire sur les épisodes de cette nouvelle série, série que j'apprécie assez particulièrement trouvant l'idée originale d'adapter les oeuvres de Mister Arthur Conan Doyle à notre époque. D'un autre côté cela ne m'étonne guère. En ce moment Cumberbatch est assez demandé, comme il le fait comprendre. La musique de fond du salon me fait légèrement sourire, me faisant penser à certaines de mes vacances. La jument de Michao. Sérieusement? En plus d'être Brésilien et Argentin il va me sortir qu'il a des origines bretonnes aussi? Un homme aussi solitaire qu'un loup, passant ce genre de choses. Je trouve cela un peu rigolo ma foi! Après pourquoi pas, ce genre de musique étant assez conviviale parfois. Oui. Je peux parfois être aussi malin qu'un renard mais je préfère laisser ces pensées s'enfuir comme une belette.

Je suis à vrai dire actuellement perturbé entre la chanson et l'histoire qu'il me conte. Je ne comprends pas vraiment l'intérêt si ce n'est pour sécher mes larmes. D'un côté ça a plus ou moins fonctionné, trouvant cela tellement absurde que je ne sais plus où me placer. La logique a été fracassé à coups de pierre. J'espère que ce n'est pas le sujet de stupéfiants quelconques ou d'un projet de scénario car je ne suis pas certains que cela cartonne au cinéma. Peut-être en court métrage qui sait? Un délire de youtuber comme un autre. Je laisse échapper un soupir qui vient du plus profond de mon être mais l'image qu'il me donne des tatouages me fait repartir de plus bel. "C'est tellement beau ce que tu dis. Je sais ce que je veux être et je suis arrivé à ce point déjà, du moins il me semble." lui répondis-je simplement en baissant la tête. Comment ça il aurait fini dans le même état? Je veux en savoir plus moi! "Qu'est-ce qui peut faire que tu finisses dans un état similaire? Quels sujets sont pour toi signe de malaise?" lui demandais-je assez curieux avant d'hocher la tête quant à sa proposition de continuer et de filer ensuite prendre ces bières si attendues. Je m'en vais peut-être vers un terrain boueux, marécageux et proche d'une crise de larmes venant de sa part mais cela ne fait rien. Je suis comme un Martin-pêcheur; j'ai tendance à être un bon indicateur de la qualité d'un milieu aquatique. Plus ces larmes sont profondes dirons-nous, plus il se noie dans son chagrin, mieux c'est. J'ai l'habitude de toucher les points sensibles des gens, ça m'aide à en apprendre plus sur eux, savoir ce qu'ils ont traversé.

Je me rhabille doucement lorsque ce dernier finit et m'enroule dans ce plastique pour le protéger et j'enfile mon manteau. "Quand faut y aller, faut y aller. On prend de la bière de qualité, pas de la merde de panaché." lui dis-je avant de sortir de l'endroit clos et de prendre la route. En chemin, je retire un peu d'argent, une somme équivalente à ce qu'il venait de me faire. Je ne vais pas partir sans payer, je ne suis pas comme ça. Nous arrivons dans une supérette, prenant de quoi se bourrer la gueule au point de se prendre une éjaculation faciale de mousse tellement nous galérerons à ouvrir nos bouteilles, en titubant et en faisant tout secouer à cause de gestes maladroits. Se prendre une cuite à la binouze, si ce n'est pas triste! Une fois achetée, nous nous dirigeons vers un malheureux banc qui ne demande qu'à avoir nos fesses sur la face. Je lui passe une canette, et ouvre la mienne délicatement. "A la tienne l'ami!" lui dis-je regardant droit devant moi. Le dialogue m'avait soudainement unfollow mais je continue à poser des questions les plus inutiles les unes que les autres. "Tu as toujours voulu faire ce que tu fais maintenant ou tu avais des rêves de gosses qui ne se sont jamais réalisés et qui ne se réaliseront jamais?" lui posais-je donc tout en m'enfilant plus de la moitié de cette boisson alcoolisée. "Qui aurait cru que la vie serait aussi difficile? On se fait des plans, se dit que tout va marcher pour le mieux et qu'il n'y a pas besoin de se faire de bile mais tout ça n'est que foutaises et balivernes," lui dis-je sans réel but précis, juste une idée qui me passait par la tête.

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