"Fermeture" de London Calling
Après cinq années sur la toile, London Calling ferme ses portes. Toutes les infos par ici gravity can't forget, to pull me back on the ground again (yann) 2979874845 gravity can't forget, to pull me back on the ground again (yann) 1973890357
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gravity can't forget, to pull me back on the ground again (yann)

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() message posté Ven 11 Nov 2016 - 23:37 par Invité

Yann Blake McFair

London calling to the faraway towns
NOM(S) : McFair, il porte le patronyme avec une grande fierté: il a toujours admiré son père et s'est engagé dans la même voie professionnelle pour faire sa fierté.  Famille traditionnelle au possible, il n'a jamais porté le nom de sa mère, Williams, mais cela ne le choque pas plus que cela. PRÉNOM(S) : Yann, un prénom retour au source pour une famille aux origines gaéliques, porteur d'une symbolique religieuse importante. Très susceptible sur la manière dont est prononcé son prénom, il peut devenir très sec si on l'appelle Yannick ou tout autre dérivé. Blake, un prénom qui tenait énormément à sa mère: celui de son frère décédé quand elle était plus jeune. Une forme d'hommage en quelque sorte. ÂGE : Vingt-sept ans. Et pourtant, il a déjà l'impression d'avoir vécu une vie entière. Même s'il lui arrive de se comporter comme un gamin gâté, il cache, au fond de lui, une certaine maturité durement acquise. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : Londonien pure souche ! Il est né en plein hiver, un certain 14 décembre, dans le plus grand hôpital de la capitale.. NATIONALITÉ : Anglais, même s'il est très fier de ses origines écossaises, mais cela remonte à grand-père McFair, alors il n'en parle pas souvent. STATUT CIVIL : Célibataire. La vie de militaire n'est pas agréable à la première venue, cela exige des sacrifices que ces dames n'ont pas forcément la patience de faire en début de relation ... Et puis, il n'a jamais réellement eu envie de se poser avec quelqu'un pour le moment. Alors il enchaine les relations sans lendemain, sans réelle fierté même si cela fait beaucoup rire ses potes lorsqu'il raconte ses dernières aventures ... MÉTIER : Militaire. Enfin, ancien militaire. Il s'est engagé très jeune et sait que cette voie est la sienne, tout comme celle de son père avant lui. Un tragique accident l'a obligé à se remettre en question mais il est ferme et décidé: une fois qu'il aura retrouvé toute sa stabilité, il y retournera. Peut être pas en tant que soldat, mais il sait que sa vie est dans l'armée. TRAITS DE CARACTÈRE : Personnalité joviale, Yann est quelqu'un de naturellement taquin et joueur, le sourire toujours aux lèvres. Blagueur invétéré, il passe parfois pour un gamin mais parvient toujours à détendre l'atmosphère même si son côté honnête, poussé à outrance, le rend limite moqueur et hautain. Sur de lui et de ce qu'il vaut, il peut passer pour égocentré, c'est quelqu'un d'ambitieux, qui cherche toujours à dépasser ses limites, et de profondément combatif. Bien que renfermé depuis quelques temps, il a toujours été assez mystérieux, méfiant, ne se confiant pas au premier venu mais une fois apprivoisé, il est un ami loyal, sincère et protecteur sur qui on peut compter. Un monsieur "tout-le-monde" dont le courage n'est plus à démontrer mais qui fait preuve de bien trop d'impulsivité en fonçant d'abord et en réfléchissant ensuite. GROUPE : Black Cabs.



My style, my life, my name

Yann a toujours été un amoureux de Londres. C'est son chez lui, la ville où il est né, où vit toute sa famille. Il n'y a nulle ville au monde qui ne le fasse se sentir aussi bien. Même s'il a conscience que ses différents voyages ne lui permettaient pas de voir le meilleur des destinations qu'il parcourait, il reste sur sa position: Londres est la plus belle ville du monde. | Il a eut une enfance normale, seul garçon d'une fratrie de trois enfants. Ses relations avec sa petite soeur ont toujours été cordiales, mais c'est avec son aînée qu'il possède un réel lien fusionnel. | Lorsqu'il y repense, il ne peut s'empêcher de rire en se souvenant de son look de playboy ténébreux qu'il se donnait au lycée | Il n'a absolument pas l'oreille musicale: il connait deux/trois accords à la guitare, enseigné par un ami un soir de beuverie mais il n'a jamais voulu jouer de la musique: il laisse ça aux autre | Il faisait parti de l'équipe sportive de son lycée; le sport, ça a toujours été son point fort ! |Il a toujours voulu devenir militaire: c'était le métier de son père et il se souvient comme si c'était hier de la joie qu'il éprouvait quand ce dernier rentrait en permission et leur racontait les merveilles qu'il voyait sur d'autres continents. Bien sur, être soldat n'est pas un travail évident mais il aime protéger son pays. | Seul garçon, il a toujours été chouchouté par sa mère, c'est d'ailleurs pour elle qu'il a accepté de ne s'engager qu'à vingt-et-un ans: elle avait au fond d'elle l'espoir qu'il renonce à cette pseudo vocation pour un métier plus calme et moins dangereux. | Après le lycée, il a fait quelques mois dans une école de management mais il ne parvenait pas à tenir en place plus de quelques heures: c'était peine perdue. | Il sait qu'être militaire l'empêcher d'avoir une vie comme celle des autres: il ne peut réellement songer à fonder une famille maintenant, et ne voit ses amis d'enfance qu'occasionnellement, mais cela lui convient: il en tire bien d'autres avantages et il ne s'est jamais réellement imaginé avec femme et enfants jusque là. | Il y a quelques mois, après être rentré pour une réunion d'anciens élèves, il est reparti en mission: cette dernière s'est très mal déroulé et lui a couté son autonomie. Amputé de la jambe droite, il a été rapatrié à l'hôpital militaire où il a séjourné pendant plusieurs mois. | La perte de sa jambe a été une épreuve réellement très dure à vivre: il se sentait devenir quelqu'un d'aigri, de méchant. Il a énormément souffert tant sur le plan physique que psychologique mais a été énormément soutenu par sa mère et sa soeur aînée. | Revenu à Londres depuis un mois, il tente de retrouver une vie normale, prenant sur lui d'avoir, en plus, perdu le métier qu'il aimait le plus. | Il vit avec sa soeur cadette pour le moment: profitant du départ de sa colocataire, il s'est installé temporairement dans l'appartement. | Il a énormément honte de son handicap et n'en parle jamais. Malgré les sollicitations de ses proches, il refuse d'aborder le sujet, encore trop sensible pour le moment. | Il y a quelques jours, alors qu'il cherchait à se faire pardonner une promesse non tenue à une vieille connaissance devenue plus que cela ... Il a apprit qu'il allait devenir père. Il est encore sous le choc de la nouvelle.
PSEUDO : atomic.sky PRÉNOM : Carole. ÂGE : 24 ans  gravity can't forget, to pull me back on the ground again (yann) 2637431331  Je suis une grande fille maintenant ! . PERSONNAGE : scénario de @Reed Coleman.  AVATAR : Jack Falahee CRÉDITS : ananas avatar & tumblr.. COMMENT ES-TU TOMBÉ(E) SUR LC ? : J'étais déjà parmi vous il y a quelques mois ... Une certaine petite Chandler, américaine poissarde. CE COMPTE EST-IL UN DOUBLE-COMPTE ?: Non.



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() message posté Ven 11 Nov 2016 - 23:37 par Invité
At the beginning

Bien vous êtes prêts ? Il releva les yeux vers la silhouette féminine. Vêtue de l'uniforme bien connu de l'armée britannique, elle était assise face à lui dans un confortable fauteuil, un carnet sur les genoux, un dictaphone dans la main. Son regard fixant de nouveau le vide, le visage inexpressif il se contenta d'hocher la tête en silence, priant pour que cela se termine rapidement. Allons y alors. Elle enclencha l'appareil dont la L.E.D. rouge signalant la mise en marche attira son regard. Il n'avait pas envie d'être là, mais c'était un rendez-vous obligatoire alors il se pliait aux ordres. Ici l'officier Beth Adamson, nous sommes le 6 novembre et je rencontre le Lieutenant Colonel Yann Blake McFair-Williams dans nos bureaux londoniens. Il s'agit d'un rendez-vous de contrôle visant à déterminer si le Lieutenant Colonel McFair est capable de travailler de nouveau dans l'armée suite à une blessure important et un trouble psychologique de même ampleur. Elle semblait mal-à-l'aise de prononcer ces mots devant lui. C'était une toute jeune psychologue, à peine gradée, qui ne devait pas avoir l'habitude que les choses soient dites de manière si abrupte. Il eut un léger sourire en y pensant: il avait toujours aimé cette ambiance de franche camaraderie, d'honnêteté totale. Lieutenant Colonel McFair, j'aimerai que nous commencions par parler de votre vie avant l'armée. Des entretiens de ce style, il en avait déjà eu un grand nombre: il s'agissait de rendez-vous de routine, à l'époque, visant  déterminer s'il avait le coeur suffisamment bien accroché pour supporter les visions d'horreur qu'il pouvait avoir sur le terrain. Et bien, je suis né à Londres: mon père est militaire et ma mère enseigne à l'université. Elle a toujours aimé tout ce qui était art d'une autre époque ... J'ai deux soeurs avec qui je m'entends bien: Hannah et Claire. D'ailleurs, je vis avec Claire ces derniers temps ... Son visage s'assombrit. Vivre avec sa cadette n'était pas ce qui le dérangeait, mais se retrouver dépendant de la présence de quelqu'un "au cas où" était profondément agaçant. J'ai grandis ici, j'ai été à l'école, au collège, au lycée et j'ai même fais quelques mois dans l'enseignement supérieur. Cependant, j'ai toujours partagé la vocation de mon père et, quand j'ai eu vingt-et-un ans, je me suis engagé. Court résumé de son enfance, mais il ne savait pas vraiment quoi en dire. Il n'avait eut ni père alcoolique et violent, ni mère abandonniste. Il avait grandit au sein d'une famille des plus normales, entouré d'amour et de rire, dans une situation financière plutôt confortable. Il savait qu'il avait de la chance, il pouvait avoir à peu près tout ce qu'il désirait ... Et vos relations avec les autres ? Vos capacités scolaires ? Il leva un sourcil, interrogateur. Ecoutez, j'étais un gamin normal: j'avais des amis, souvent des voisins d'ailleurs et j'étais bon en classe. Qu'est-ce que vous voulez que je dises d'autre ? D'ailleurs, ça me rappelle ... Son coeur se serra soudainement, une bouffée d'angoisse montant en lui. Oui ? lui demanda-t-elle, dans l'attente de la fin de cette phrase semblant soudainement intéressante. Il secoua la tête Non rien. Elle soupira, replaça une mèche de cheveux derrière son oreille et posa son carnet. Le regard de Yann fut attiré par celui, qui se voulait le plus compréhensif possible, de la jeune femme. Ecoutez Yann, je ne suis pas là pour vous juger mais pour vous aider. Vous voulez retrouver votre travail ? Alors vous devez me laisser faire le mien. J'ai besoin de savoir qui vous êtes derrière cet uniforme, besoin de comprendre comment vous pensez, si vous voulez que je vous donne votre habilitation a reprendre le travail. Après un instant de réflexion, il hocha la tête et, après un soupir, il reprit. Y avait une fille ... Reed ... La psychologue eut un sourire taquin. J'sais pas pourquoi mais on était toujours en compétition. Elle était pas méchante, ni bête, ni quoi que ce soit qui donnait envie de l'embêter mais elle avait une lueur de défi dans les yeux ... Je sais pas ... Je ne pouvais pas m'empêcher de la voir comme une rivale. Vous savez, l'armée était vraiment ma vocation, et ce depuis tout petit. Mais pour gravir les échelons faut être un bon et je considérais qu'être le meilleur de ma promo était une bonne manière de se faire remarquer et de monter dans la hiérarchie une fois que j'y serais. C'est débile ... Les notes du lycée ... Comme si ça changeait quelque chose ... Mais cette nana ... Reed, j'ai jamais oublié sa manière d'être. Elle ne se laissait pas faire, elle me rentrait dedans et à la fois, elle me faisait rire. Il cessa alors de parler pour se remémorer la tête blonde au regard incendiaire, sa manière de la taquiner, la façon dont elle lui répondait. Il se remémorait la fois où, revenant du cours de sport, entouré de ses amis et discutant de telle ou telle fille de la classe, il s'était surpris à penser que Reed, finalement, elle était plutôt jolie. Pensée qui lui fait voulu de rougir soudainement alors qu'elle apparaissait dans son champ de vision et qui lui avait valu une semaine de bégaiements de gamin lorsqu'il la voyait. Cette jeune femme, c'était votre petite amie ? Il ne put retenir le rire qui le submergea. Non ! Non certainement pas. Ça aurait pu mais je pense qu'on ne pensait pas à ça l'un envers l'autre. Enfin j'en sais rien. Elle cherchait toujours l'endroit où ça ferait mal et, souvent, elle me taquinait sur mes copines du moment. Avec du recul, elle n'avait pas tort les concernant ... Il n'avait jamais su mettre une étiquette sur ce qu'ils étaient: Connaissances ? Amis ? Rivaux ? Peut être même plus s'ils étaient passés outre leur mauvais caractères respectif ...? On ne refaisait pas le passé, c'était souvent ce qu'il se disait avant de penser à autre chose. La psychologue hocha la tête et, reposant son regard sur ce qu'elle avait écrit, demanda. J'ai vu sur vos états de service que vous étiez un bon élément. Un camarade sur qui on peut compter, et, je cite "quelqu'un de toujours présent quand on en a besoin" ... Yann, même si vous revenez dans l'armée demain ... Vous savez que cela ne durera pas toujours ? Il hocha la tête: son père avait prit sa retraite assez tôt, il avait a peine cinquante ans. On lui avait proposé un poste d'instructeur mais il avait décliné, préférant s'occuper de son jardin ... Que faites-vous lorsque vous êtes en permission ? Il prit le temps de réfléchir à la question, ne sachant pas s'il devait être totalement honnête ou préserver son image en omettant quelques détails. La plupart du temps, je rentre chez mes parents, je profite de ma mère, je vais voir ma soeur aînée et je retrouve de vieux amis. La dernière fois, j'avais une réunion d'anciens élèves, c'était intéressant ... Il passa sous silence les quelques soirées amicales, retrouvailles dans des pubs de la ville où il finissait, généralement, dans le lit de quelques demoiselles qu'il avait réussit à séduire. Le visage de la jeune femme se ferma soudainement et il sut qu'ils allaient aborder des sujets difficiles. Yann, avant tout, sachez que je n'ai pas lu votre rapport d'accident. Je sais juste que vous avez été blessé au combat. Pour les besoins du dossier d'habilitation, j'ai besoin que vous me racontiez ce qui vous est arrivé ce jour là ? En ... Mai 2016 ? Il le savait. Pourtant il détestait en parler ... Sa jambe le lança. On lui avait parler de ce phénomène, les douleurs fantômes. Yann ? Il leva sur elle un regard glacial. Nous étions dans une mission des plus faciles .. Vous savez, quand vous êtes là bas, c'est toujours dangereux mais on apportait des vivres à un village reculé de la région dans lequel des bombardements avaient fait beaucoup de victimes et qui avait coupé le village de tout le reste. Je ne sais pas comment s'est arrivé mais il y a eut une explosion et je me souviens m'être retrouvé sur le sol, avec une douleur aigüe dans la jambe: un morceau de notre ancien -devrais-je dire- véhicule profondément enfoncé dans la jambe. J'ai perdu connaissance et quand je me suis réveillé, on m'a dit que l'amputation était la seule solution. J'avais perdu beaucoup de sang et les chairs étaient très abimés. Il n'y avait rien à faire, le morceau de taule avait sectionné une grande partie de ma jambe ... Il était cru dans ses détails: elle voulait savoir ? Elle ne serait pas déçue ! La jeune femme déglutit difficilement et demanda Comment est déroulé votre convalescence ? Il soupira en repensant aux mois de calvaire qu'il venait de vivre. On m'a rapatrié au pays, dans un hôpital militaire, pour des soins plus approfondis et pour la rééducation. J'ai passé des semaines à apprendre à marcher avec des béquilles, avec une jambe en moins ... La plupart du temps, je me déplaçais en fauteuil roulant, c'était moins fatiguant. Mon corps était épuisé ... Et puis j'ai été vivre avec Hannah, ma soeur ainée, quelques temps. Elle a une maison pas loin de chez nos parents et c'était aussi près de l'hôpital alors ...   La psychologue hocha la tête, acquiesçant en silence tout en continuant de prendre ses notes sur le petit carnet. Après quelques mois, on m'a proposé une prothèse en argumentant que cela me permettrait de retrouver une vie normale, de pouvoir me rendre en ville sans les visages de pitié se retournant sur moi, de pouvoir revoir mes amis sans être assailli de question, de pouvoir retrouver mon indépendance perdue. Alors j'ai dis oui et je suis retourné en rééducation, j'ai vu des tas de médecins, d'ingénieur ... Et me voilà. Si je ne vous avez pas dit que j'avais été amputé, l'auriez vous vu ? Je veux retourner au travail, Officier Adamson. Je ne me fais aucune illusion, le combat, c'est fini pour moi. Je ne serais plus jamais sur le terrain, mais il est hors de question que je retourne au civil. Même si ma pension de blessé de guerre me permettrait de vivre convenablement, je veux être actif. Je suis toujours un patriote ! Ils échangèrent un regard, déterminé pour lui, surpris pour elle. C'était une situation des plus compliqués et ils en avaient conscience. Ce n'est pas moi qui décide, Lieutenant Colonel ... Mon travail consiste à délivrer un rapport qui permettront à d'autres de juger de votre capacité à rester parmi nous. Mais elle n'en doutait pas. McFair était un bon élément, il serait sans doute affecter à une travail de bureau ou de stratégie. Dites moi, n'avez vous d'autre famille que vos parents ? Il ne répondit pas sur le coup, décontenancé par la question. Comment ça ? demanda-t-il bêtement. Et bien ... Avez vous une petite amie ? Une fiancée ? Avez vous des enfants ou prévoyez vous d'en avoir ? J'ai lu dans votre dossier que vous n'étiez pas marié ... La stabilité passe aussi par l'établissement d'une famille. Un point de repère dans le monde civil qui vous permet de quitter votre casquette de militaire quelques temps, de décompresser. Après un silence, il se contenta de répondre Non. La psychologue hocha la tête et arrêta l'enregistrement. Elle prit des notes pendant encore quelques secondes, secondes qui parurent interminables aux yeux de Yann dont les pensées ne parvenaient à retrouver son calme habituel.  Vous savez, Lieutenant ... Il ne faut pas se laisser manger par son travail. Être militaire est une vie pleine de sacrifice, mais nombreux soldats sont mariés et avec une famille ... Ne vous cachez pas derrière cela pour rester seul. Vous allez surement être amené à rester sur Londres pour votre prochaine affectation. Vous l'avez dit vous même, le travail de terrain est terminé pour vous. Alors, reconsidérez la chose ... Il hocha la tête et se leva, serrant la main de la jeune femme avant de prendre sa veste. Il allait sortir, une main sur la poignée de la porte lorsqu'elle l'interpella une dernière fois.  Lieutenant, une dernière chose ... Vous aviez l'air perturbé à certains moments ... Est-ce que tout va bien ? Je ne pense pas que vous souffriez de PTSD mais si vous aviez des flash de l'accident, il faudrait en parler, c'est tout a fait normal ... Il secoua la tête négativement. Rien de tout cela Officier ... Il eut un moment de silence, réfléchissant et, avant de sortir, se tourna vers elle et lui dit Je crois juste que je vais être père bientôt.
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() message posté Ven 11 Nov 2016 - 23:38 par Invité
Super choix. gravity can't forget, to pull me back on the ground again (yann) 2941632856
Bienvenue sur le forum et bon courage pour ta fiche. gravity can't forget, to pull me back on the ground again (yann) 208687334
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Lola Barnett
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() message posté Ven 11 Nov 2016 - 23:42 par Lola Barnett
Bienvenue parmi nous. gravity can't forget, to pull me back on the ground again (yann) 1973890357
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() message posté Ven 11 Nov 2016 - 23:46 par Invité
bienvenue parmi nous gravity can't forget, to pull me back on the ground again (yann) 1973890357
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() message posté Ven 11 Nov 2016 - 23:50 par Invité
Jack gravity can't forget, to pull me back on the ground again (yann) 1922099377 gravity can't forget, to pull me back on the ground again (yann) 3995727071
Bienvenue !
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() message posté Sam 12 Nov 2016 - 0:10 par Invité
Merci à tous :)
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Guyliner.
Ethan I. Hemsworth
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() message posté Sam 12 Nov 2016 - 0:43 par Ethan I. Hemsworth
Yann B. McFair a écrit:
Un tragique accident l'a obligé à se remettre en question mais il est ferme et décidé: une fois qu'il aura retrouvé toute sa stabilité, il y retournera. Peut être pas en tant que soldat, mais il sait que sa vie est dans l'armée.
Mais si ! Ce sera un soldat bionique gravity can't forget, to pull me back on the ground again (yann) 2637431331

Bienvenue, j'peux déjà te dire que j'viendrai squatter ta fiche de liens gravity can't forget, to pull me back on the ground again (yann) 1922099377
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() message posté Sam 12 Nov 2016 - 0:57 par Invité
Bienvenue parmi nous gravity can't forget, to pull me back on the ground again (yann) 2979874845 !
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() message posté Sam 12 Nov 2016 - 1:11 par Invité
bienvenue parmi nous gravity can't forget, to pull me back on the ground again (yann) 1922099377 gravity can't forget, to pull me back on the ground again (yann) 1973890357
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