"Fermeture" de London Calling
Après cinq années sur la toile, London Calling ferme ses portes. Toutes les infos par ici s&l ❝ don't move ! ❞ 2979874845 s&l ❝ don't move ! ❞ 1973890357
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() message posté Ven 6 Juin 2014 - 20:06 par Invité
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Cela faisait un bon mois que j'avais déposé mon dossier à l'académie des sapeurs pompiers de Londres et je n'avais toujours pas de réponses de ces derniers. J'aurais préféré avoir un refus plutôt que d'être dans le doute et ne pas savoir quoi faire. Il était hors de question que je retourne à l'école à la rentrée. De toute façon, j'avais loupé le dépôt des dossiers et c'était fini pour moi. Au pire, je serais serveuse au starbucks coffee en attendant que l'académie des sapeurs pompiers m'appelle. Avec de la chance ce serait rapidement. Je n'avais pas encore mis mes parents au courant. À vrai dire, personne ne savait ce que je voulais faire l'année prochaine sauf Elias. C'était le seul que j'avais mis dans la confidence pour qu'il puisse m'aider à gérer le stress que cette nouvelle va engendrer. Mon parrain est mort dans un feu à New York alors je n'imagine même pas ce que cela va faire pour mes parents et ma famille restée à New York. Je soupire, enfonce mes mains dans les poches de mon jeans et continue mon chemin. J'ère dans la ville depuis une bonne vingtaine de minutes, écouteurs sur les oreilles en pensant à tout et à rien. Ma vie de New York ne me manque pas tant que cela mais ma famille, c'est tout autre chose. J'espère que le reste de la famille pourra bientôt venir nous voir mais je n'y crois pas trop. Si tous mes oncles et tantes débarquent – avec mes cousines et cousins – on se retrouvera à plus de trente, voire quarante. Je souris à cette réflexion. Ma mère fait bien à manger mais pour quarante, je crois qu'elle prendrait l'option de facilité : chacun se démerde et on se retrouve dans la journée quelque part ailleurs. Continuant ma marche, je me retrouve devant un commissariat de police et je fronce les sourcils. Ça peut être une plutôt bonne alternative à l'académie des sapeurs pompiers. J'ôte mes écouteurs que j'enfonce dans mon sac à main et pénètre, tête baissée, dans le commissariat. Je ne sais même pas s'il y a des prospectus qui pourraient m'informer sur l'académie de police ou quoi que ce soit. Au pire, je pourrais toujours demander à quelqu'un. Ou je peux encore faire demi tour et faire des recherches à la maison. Non, je suis arrivée alors autant en profiter. Qui sait, peut être que je vais voir une arrestation en live. D'un coup d'un seul, j'accélère le pas, je suis toute excitée à cette possibilité ! Voilà pourquoi je veux travailler dans les forces de l'ordre. J'ai besoin de cette petite adrénaline pour me motiver. C'est idiot à dire puisque je ne connais rien de ce métier, de ce qu'il s'y passe, sauf ce que j'ai vu à la télévision ou entendu mon parrain dire de ce job qu'il aimait tant. Les mains dans les poches, je me dirige vers un mur où il y a un présentoire avec quelques fiches récapitulatives sur les métiers que l'on peut exercer dans la police. Quelques policiers passent près de moi mais personne ne me porte d'attention ; ce n'est pas plus mal. Je tends la main et regarde une fiche. Il me reste trois jours pour pouvoir déposer un dossier avant la fin de la session. Je déglutis. Ça ne m'arrange pas tout ça ! Je déteste me dépêcher et je déteste encore plus la paperasse même si je sais qu'il faudra que je passe par là. Je plie la papier et l'enfonce dans ma poche lorsque je sens une main se plaquer contre mon dos. En moins de trois secondes je suis collée au mur, la joue écrasée contre la vitre d'un bureau. « Eh mais c'est quoi ce délire ?! » Hurlais-je à l'intention de la personne qui venait de me plaquer contre un mur. Au loin, quelques policiers en uniforme regarde la scène sans bouger le petit doigt. « Mais j'ai rien fais ! » Grognais-je en tentant de voir qui était entrain de me passer une paire de menottes, en vain. Vu la force, il s'agissait d'un homme mais je n'en suis pas sûre à cent pour cent...
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() message posté Ven 13 Juin 2014 - 1:31 par Invité
Elle était comme ancrée à cette chaise depuis des heures déjà. Elle avait accepté de démarrer plus tôt ce jour-là, la jeune femme étant toujours la première à tuer pour avoir des heures supplémentaires. En acceptant de venir à l'aube, Sam ne pensait pas avoir à se demander de quelle couleur étaient les cheveux de la nouvelle secrétaire du boss. Un gros mélange de blond aux reflets violet et rouge. Oui c'était ça, elle avait mis deux heures à trouver. L'ennui l'avait gagné en débarquant au commissariat, et ce mardi s'annonçait bien calme. Il n'y avait rien de pire pour un flic que de rester assis à une chaise de bureau et de se pencher pour pouvoir admirer le plafond. Ce métier avait des tonnes de définitions, mais des mots revenaient toujours : mouvement, adrénaline, défense. La brune ne faisait rien de tout ça ce jour-là. Elle se contentait de faire des allers-retours entre son bureau et la machine à café, embêtait son collègue posté un mètre plus loin, avant de se rabattre sur les bons vieux mots croisés du journal. Elle adorait son boulot, mais ce genre de journée donnait simplement envie de devenir dingue, pour qu'enfin il y ait du mouvement. C'était ce qu'elle se disait tout en mâchouillant le bout de son crayon alors que la porte du commissariat s'ouvrait à nouveau. Pour une fois, elle daignait jeter un oeil au nouvel arrivant, priant pour que ce soit un fou dangereux qu'il fallait arrêter. Au lieu de ça, elle découvrait une jeune fille, tout ce qu'il y avait de plus inoffensif. La naïveté à l'état pur. Elle suivait la brunette du regard, intriguée. Ici, on croisait plus souvent des prostituées que des premières de la classe. Sam lâchait son journal et regardait la jeune fille s'approcher des prospectus. Les mêmes que Bob lui avait présenter lorsqu'il avait conseillé à Sam de tenter l'examen des forces de l'ordre. Elle avait réussis le test haut la main, comme si elle était taillée pour ce job. Mais voir cette fille regarder ces papiers lui donnait des envies taquines. Après tout, la journée était calme, Sam était presque sûre de ne pas être appelée sur une affaire. Il fallait bien pimenter tout cela. Elle savait bien que ce n'était pas la meilleure chose à faire, mais c'était trop tentant. D'un coup, elle se levait de son siège, attachant ses longs cheveux en une queue de cheval haute ; autant jouer le jeu du méchant flic à fond. Elle se dirigeait vers la jeune fille d'un pas assurer, jetant des clins d'oeil furtifs à ses collègues qui comprirent tout de suite le message. Arrivée à la hauteur de la brune, elle enchainait les mouvements d'une rapidité étonnante. L'innocente était plaquée contre la vitre d'un bureau, un bras gentiment tordu dans son dos et la main de Sam sur plaquée sur son épaule. « Vous êtes en état d’arrestation mademoiselle, je vais vous demander de me suivre. » La jeune fille se débattait légèrement, bien qu’il soit impossible de contrer les attaques de Sam. Les années de travail et de sport lui avait offert une endurance de choc et une force insoupçonnable. Alors que sa prisonnière ne comprenait visiblement pas grand chose, la brune lui passait les menottes et l’emmenait derrière les bureaux, là où se trouvaient les salles d’interrogatoires. Elle la faisait passer par la case des gardes à vue, où une dizaine de personnes s’entassaient. Des soûlards, quelques petits voleurs, rien de plus, mais ça, la jeune fille ne le savait pas. Elle ne pouvait voir le regard de l’innocente, mais elle le devinait terrifié. Elle finit par la faire entrer dans une salle qui leur servait d’archives. Avec un peu de chance, elle penserait qu’elle était réellement entrain de passer un interrogatoire. « Déclinez votre identité, nom, prénom, âge, lieu de résidence. » Sam était douée dans ce rôle, elle aurait pu être une bonne actrice. Elle regardait la jeune fille, stoïque, avant de poser ses deux mains sur la table, l’air faussement méchante. « Je suppose que vous savez pourquoi vous êtes ici. » Elle interrogeait la fille du regard, restant la plus sérieuse possible, alors que tout son corps lui hurlait de rire.
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() message posté Mar 8 Juil 2014 - 17:14 par Invité
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Sans réponse de l'académie des sapeurs pompiers de Londres, je cherchais vainement quelque chose d'autre à faire. Retourner à l'école ne faisait pas partie de mon programme et maintenant que j'avais dis à mes frères, sœurs et parents que je comptais rejoindre une caserne, je n'allais pas me rabaisser à retourner à l'école. Avoir un diplôme était une bonne chose mais cela ne m'intéressait pas le moins du monde. J'avais besoin de vivre et non pas d'attendre que ma vie passe. J'étais assez active et Elias et ma mère le comprenait aisément. J'avais besoin de folie, d'adrénaline et en y pensant, entrer dans les forces de l'ordre, chez les policiers, serait une bonne alternative ! Plutôt pas mal et je regretta presque de ne pas y avoir pensé avant. Peut être que j'aurais eu une réponse plus rapide et je ne serais pas là à déprimer comme une dépressive parce que le boulot de mes rêves ne me rappelle pas. En tout cas, je savais que tenter ce concours et tout ce qui va avec reviendrait à devoir abandonner mon rêve de devenir pompier parce que lâcher une académie pour une autre me qualifierait d'opportuniste et ce n'est pas ce que je suis. Prospectus en main, je lis quelques descriptifs lorsque je me retrouve plaquée contre une fenêtre, la joue écrasée et aucun moyen de me défendre. Je suis plutôt réactive en temps normal mais sur le coup, je suis paniquée qu'autre chose ! Je m'égosille presque à dire que je n'ai rien fait mais cela ne change rien. Je voudrais tourner la tête pour demander à quelqu'un de m'aider mais je n'y arrive pas. Je ne sais pas qui est derrière moi ; si c'est un jeune homme de trente ans super musclé ou un homme qui a fait ça toute sa vie. Seulement, quand la personne qui me menotte parle, je sursaute légèrement. Il s'agit d'une femme ! Elle reste derrière moi, une main collée sur mon épaule, l'autre sur mes poignets déjà menottés. Je ne sais pas quoi penser et personne ne bouge autour de nous, personne ne lève le petit doigt et je me dis que ce ne doit pas être drôle de travailler ici. Ils lèvent les yeux et retournent directement à leurs affaires. Une arrestation est tellement banale pour eux qu'ils ne bougent même plus. C'est peut être ça qui me terrifie. Je n'ai aucune envie de faire un boulot comme le leur. J'ai envie de quelque chose qui bouge, qui envoit valser. Je dois l'admettre, je suis allergique à la monotonie. Alors qu'elle m'emmène dans une salle, je me demande bien ce que j'ai fais pour me retrouver là, traitée comme une malpropre. Enfin, je n'ai pas trop à me plaindre, je sais que tout cela aurait pu être pire. Alors qu'elle me force à m'asseoir, je frotte légèrement mes poignets. C'est brutus ou quoi ? Elle m'a fait mal et je n'aime pas vraiment cela. Surtout pour rien. « Déclinez votre identité, nom, prénom, âge, lieu de résidence. » Je la regarde et ne bouge pas. Je ne sais pas pourquoi je suis là et je n'ai aucune envie de voir mon nom dans leurs dossiers. Elle doit être complètement folle vu son regard. Elle a du voir tellement d'horreurs qu'elle voit le mal partout. Voilà ce qui tourne en boucle dans ma tête. Je sais que je pourrais être confrontée à ça, que je devienne pompier ou policière. Je déglutis mais tente de ne rien montrer. « Je suppose que vous savez pourquoi vous êtes ici. » Je secoue légèrement la tête de droite à gauche mais aucun son ne sort de ma bouche pour le moment. Qu'est-ce que j'aimerais réussir à me débarasser de ces menottes qui me serrent bien trop mais je ne peux pas. Il aurait fallu que je fasse gonfler mes poignets avant mais maintenant, c'est trop tard. « Si vous voulez savoir mon identité, vous pouvez regarder dans la poche arrière de mon jeans, il y a tous mes papiers dedans » En quelque sorte : ne croit pas que je vais tout te dire. J'ai vu assez de films de polices pour savoir que c'est une méthode assez courante d'agir de la sorte pour que les gens avouent alors qu'ils n'ont rien fait. Je suis peut être jeune et chétive mais ma mère et mon frère ont bossé au FBI à New York donc j'ai déjà subi quelques entretiens de ce type. Je me rappelle encore de ma mère qui nous faisait subir ça au cas où nous tombions dans de mauvaises mains. « Et il me semble que j'ai le droit à un avocat si je ne me trompe pas » Il y a des histoires de délai mais je veux lui montrer qu'elle ne m'aura pas aussi facilement, bien que tout ce comportement me fait paraître coupable. Je la regarde et ne la lâche pas des yeux. Hors de questions que je m'abaisse à ça !
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