Karen ♡ Ni pull ni soumise

6h00 Tu venais à peine de te lever mais tu étais déjà en route pour le travail. Tu avais pris une douche rapidement , un petit déjeuner rapide. Une fois dans le taxi pour te diriger à ton bureau tu soufflas un bon coup, la pluie ruisseler sur le sol Londonien. Tu posas  ta tête contre la vitre , et ferma les yeux quelques instants.


“Te demander si tu avais conservé des souvenirs du début de ta vie à Londres serait comme demander à un poisson rouge s'il se rappelait de sa journée d'hier. Détailler ta naissance ? Tu ne sais pas comment ça, c'est passer ta mère t'as toujours dit que c'était le plus beau jour de sa vie. Après tu sais que tu es née sous une bonne étoile, une cuillère en diamant dans la bouche. Tu étais déjà plus riche que la plupart des bébés nés le même jour que toi. Tu es née à Londres en Angleterre. Ta naissance fut banale, et oui, tu n'as pas eu la chance d'être née comme Simba dans le roi lion, non, tu es née dans un hôpital comme la plupart des enfants aujourd'hui. Tu es le bijou de deux parents follement amoureux, marié qui ont mis au monde une petite fille nommée Karen Amélia Greggson surnommée Karen. Pour te décrire et pour bien comprendre ton histoire, tu dois avant tous dresser un petit portrait de tes deux géniteurs. Ton père Andrian Greggson , oui comme le nom du riche qui possèdent de multiple complexe hôtelier. Si tu devais dresser rapidement le portrait, il pue le fric, s'en est indécent même pour toi ! Mais c'est aussi un excellent père qui fait passer sa famille avant tout. Et oui, tu n'as pas eu le parcours classique de la petite fille riche délaissé par ses parents, non, tu as grandi dans l'amour et la richesse. Merci à ta bonne étoile. Ta mère maintenant, Natasha Greggson, bosseuse acharné, elle s'est le côté plutôt simpliste de la famille pas de richesse, simple femme qui a bossé pour arriver là ou elle est aujourd'hui. Ta mère, c'est celle qui ramené ton père à la raison quand il commence à penser avec son fric et non son cerveau. Voilà tes géniteurs surement les personnes qui comptent le plus à tes yeux. À l'école, tu as toujours été excellente. Tu as toujours eu cette envie d'être la meilleure, dans tout ce que tu faisais. Jamais la deuxième , toujours la première, déjà toute petite tu dépassais tes limites tu voulais toujours en savoir plus. Tu étais la petite fille bavarde, qui pose pleins de questions pas toujours très utiles, mais tu étais comme ça une petite pile électrique qui ne rester jamais en place. Oui tu étais l'intello de service mais tu étais loin d'être sage comme une image , non toi , tu rigolais tous le temps et tu aimer même embêter tes voisins , un peu peste sur les bords ton caractère commencé déjà à s'affirmer dans la cours d 'école. Mais malgré ça ton dossier scolaire à toujours était exemplaire. Pour tes parents, tu n'étais pas une enfant ingérable enfin ça dépendait des situations. Tu pouvais te montrer un peu têtue lorsque tu n'avais pas envie de manger de légume ou de te faire jolie pour faire bonne image devant les clients de ton père, mais ta mère trouvait toujours une solution pour te redonner le sourire et t'obliger à bien te tenir ou manger des légumes. ”,


Tu ouvres les yeux. Tu étais épuisé, tu n'avais pas dormi beaucoup ton boulot t'avais encore pris beaucoup de temps. Et malheureusement, ton boulot n'était pas le seul souci à l'heure d'aujourd'hui. Heureusement que tu avais ton fils, ce petit bout l'a raison de ton sourire. Tu n'étais pas la meilleure des femmes, mais tu faisais tous pour être la meilleure des mères comme ta mère a pu l'être avec toi.  

“Les années se sont succédé les unes après les autres, te faisant grandir. Mais il y a un moment où tu dois apprendre que la vie n'est pas parfaite et quelle cache certains durs moment. Ce "dur" moment, tu l'as vécu. Ta mère t'avait annoncé un soir en rentrant du lycée qu'elle était atteinte du cancer du sein. Ta vie s'était écroulée à ce moment, tu n'avais pas compris tous les mots, mais tu l'avais pris dans tes bras. Les mois après cette annonce, on était les plus durs, mais vous ne l'aviez pas lâcher, ni toi et encore moins ton père. Ta mère, elle continue de vivre malgré tout, cette guerrière. Mais il a bien fallu qu'un jour la maladie rattrape ta mère. Tu avais 17 ans quand tu l'as perdu. Le deuil de ta mère n'a pas été aussi facile, non il y a eu certain dur moment. C'est aussi à cette période qui a connu tes premières expériences, l'alcool, ta première fois... Pour ton père ça ne fut pas simple aussi il c'était même renfermé dans son métier ,dés fois, il ne rentré même pas tellement votre maison lui rappeler ta mère. Elle est partie dans les bras de Morphée te laissant ton père et toi. Mais il faut le dire cette épreuve vous a beaucoup rapprocher ton père et toi, vous n'étiez plus que deux, mais vous vous en sortez très bien et tous ça grâce à l'amour de ta mère. Ta mère à toujours était un exemple pour toi, c'était son côté très simple qui t'avait toujours impressionné, mais aussi son sourire, elle souriait tout le temps même quand ça allé pas. C'est d'ailleurs grâce à elle que tu es devenue une fille aussi souriante.”,


Fouillant dans ton sac pour chercher ton téléphone, ta main se posa sur un dossier... On pue y lire en gras : "procédure de Divorce". Tu posas un regard sur la bague de  fiançailles qui orner encore ton annulaire. Ton divorce...le tiens et oui c'était  enclenché .. Regardant la pluie par la fenêtre, tu pensas à tout ce que tu avais fait pour arriver là ou tu es aujourd'hui...



“Tes études ? Pour toi, c'était clair la mode était ta voie d'avenir. Une fois diplôme, tu as eu la chance de fréquenter les plus grandes écoles de mode du pays. Tu as même passé un an en Italie pour perfection ton "cv". Tu étais doué dans ce que tu faisais. Tu aimais ça, tu te donnais à fond. Tu avais horreur d'être la deuxième, alors c'était évident pour toi que tu réussis tous tes examens avec une mention et bien sûr, tu as eu une mention à tous tes examens. Tout ce temps d'étude t'a mené à ton métier d'aujourd'hui directrice artistique, ça te prend du temps, mais tu adores ça. Niveau amour, tu as toujours eu de courtes histoires enfin jusqu'à que tu rencontres Ian. Ian, trois lettres qui te faisaient vibrer il y a encore à peine quelque mois. Votre rencontre fut banale, une soirée un peu ennuyante. Lui ne semblait pas tué bien, mais tu avais comme réussi à le faire rire ce soir-là. Un rendez-vous puis deux puis huit, etc. C'était digne d'un conte de fée cupidon avait clairement viser vos cœurs. Un mariage digne d'un mariage princier, surement l'un des plus beau jours de ta vie. Manchester était ensuite devenue ton lieu de résidence. Mais surtout Jamie, ce petit garçon qui était pendant neuf moi dans ton ventre. Ce petit bout qui fait briller tes yeux à longueur de journée, tu le sais que tu n'es pas la meilleure des épouses, mais en tant que mère, tu te dépassais. Oui, tu n'es pas la meilleure épouse, d'ailleurs les liens entre Ian &, toi se détruisais petit à petit, l'amour ne suffisait plus ? Tu ne sais pas. Vous voyez peu, votre emploi du temps était trop chargé. Deux inconnus vivant sous le même toit  voilà tout. Et tu as ton petit caractère, tu râles pour rien, mais ça n'allait plus entre vous, tu lui reprocher tout et n'importe quoi. En quelques mois votre belle histoire était devenue un cauchemar que ça soit pour lui ou pour toi. Tu as alors pris les devants en décidant de demander le divorce. Mais tu restes Karen et comme le disent certains, tu es le bras armé de satan en talon haut alors si tu dois mettre fin à cette histoire qui te faisait vibrer au début , tu en veux ta part alors oui, tu peux passer pour une croqueuse de diamants  et alors ? Tu es une Greggson  malgré tout. Et oui n'en déplaise aux hypocrites l'être humain est égoïste.”,


Tu sors du taxi parapluie à la main. Tu prends ton téléphone à la main "Bon messagerie comme c'est banal venant de toi Ian jamais affronter la vilaine sorcière ? Mais t'inquiète pas ce n'étais pas pour parler du divorce mais de Jamie n'oublie pas qu'il a école aujourd'hui alors tu lui prépare un goûter et le dépose pas en retard et surtout fait lui un bisous de ma part." Oui, tes rapports avec Ian étaient très froids et encore là, c'était gentil. Tu soupires raccrochant et rentre dans ton bureau. C'était partie une nouvelle journée aller commencer dans la vie de Karen Amelia Kavanaugh Greggson.