"Fermeture" de London Calling
Après cinq années sur la toile, London Calling ferme ses portes. Toutes les infos par ici I love romance. I'm a sucker for it. I love it so much. It's pathetic. (sawyer) 2979874845 I love romance. I'm a sucker for it. I love it so much. It's pathetic. (sawyer) 1973890357
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I love romance. I'm a sucker for it. I love it so much. It's pathetic. (sawyer)

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these violent delights, have violent ends
Jamie E. Jones-Collins
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() message posté Ven 6 Mai 2016 - 23:09 par Jamie E. Jones-Collins
I love romance. I'm a sucker for it. I love it so much. It's pathetic.
Sawyer & Jamie.

You know what charm is: a way of getting the answer yes without having asked any clear question. ✻✻✻ À chaque fois, c’est la même chose. Je le sais, je ne devrais pas autant m’emballer, mais impossible. Comme toujours je suis impatiente et excitée. C’est toujours les mêmes sensations, la même peur que rien ne se passe au final, mais la petite lueur d’espoir que si. Je ne sais pas à quoi m’attendre, je ne sais même pas s’il a remarqué qu’il me plaisait. Il est vrai que pour le coup, la situation est plus particulière, engagé pour travailler, j’ai bien dû faire passer mon travail avant tout, comme toujours. Je ne pourrais pas faire le contraire de toute façon, impossible. La dance est bien trop importante pour moi, pour tout saboter à cause d’un crush. Non, c’est pour cela que j’ai donné rendez-vous à Sawyer d’ici peu. Je suis encore en train de me préparer, de mettre la touche finale à mon look. Impossible de ne pas faire attention aux moindres détails, je dois vraiment être parfaite. Je fais déjà très attention en temps normal, mais aujourd’hui encore plus. Le but est d’être à mon avantage et autrement habillée que lorsqu’il me voit d’habitude. Je suis quand même heureuse d’enseigner la danse et de ne pas devoir porter un uniforme où autre vêtement infâme, je crois que je ne le supporterais pas. Je me regarde une dernière fois dans le miroir, tout en fredonnant le même refrain pour la cinquantième fois de la journée, et décide que je suis prête. Je dois encore prendre le métro pour me rendre à Greenwich, ce qui me laisse le temps de repasser les détails de ce que je veux lui dire tout à l’heure. Même après tout ce temps, après toutes les fois où j’ai eu l’impression d’avoir trouvé l’homme parfait, je suis toujours aussi nerveuse. Mais je suis tellement heureuse et impatiente, que la nervosité est relayée au second plan, du moins pour le moment. J’attrape mon sac, glisse mes écouteurs dans mes oreilles, lance une playlist, enfile mes lunettes de soleil et quitte enfin la maison. Niveau timing, je suis dans les temps, j’aimerais assez ne pas arriver la première, juste pour voir son regard lors de mon arrivée, ce qui fait que je dois arriver quelques peu en retard. Tout est calculé, j’ai vraiment envie que cela se passe bien. Au moins il a accepté le rendez-vous, ce qui me donne un peu d’espoir, même si je ne lui ai pas donné la vraie raison. En vérité, je n’ai pas donné de raison précise, mais je reste son mon opinion que c’est un signe positif qu’il est accepté.
Plus le temps passe, plus je me rapproche et plus je deviens nerveuse. Je n’ai pas prévue ce que je veux lui dire et je commence à me dire que j’aurais dû. J’essaie de me concentrer pour savoir ce que je pourrais bien lui dire, avant de laisser tomber. Je ne fais que m’embrouiller, rendant mes idées encore plus floues. Il n’y a pas de raisons, pour que cela se passe mal. La discutions est, jusqu’ici, toujours venue naturellement, je ne vois pas pourquoi cela ne serait pas le cas aujourd’hui. Mon arrêt arrive et me voilà, à tenter de me faufiler entre deux hommes pour pouvoir sortir, « excusez-moi. » Je joue des coudes, mais finit par me retrouver sur le quai. J’enlève mes écouteurs, voulant me concentrer sur le reste du chemin à faire. Je commence à vraiment être nerveuse. Et s’il n’était pas du tout intéressé ? Jusqu’ici je n’ai pas voulu penser à cela, mais maintenant que je suis prêt du point de rendez-vous, tout un tas d’inquiétudes viennent se bousculer dans ma tête. C’est toujours comme cela que ça se passe. Je ne peux jamais être tranquille et pourtant, ce n’est pas la première fois que je donne rendez-vous un homme qui m’intéresse. C’est généralement toujours moi qui fais le premier pas. Pourquoi attendre  de toute façon ? Je refuse de me laisser influencer parce que la société essaie de nous inculquer. Une femme à totalement le droit d’inviter un garçon si elle le veut. Pour moi, très peu s’en sont plains par le passé. J’espère seulement, qu’aujourd’hui cela sera le cas aussi, même s’il a déjà accepté le rendez-vous de toute façon. J’avance aussi rapidement que mes talons me le permettent, je suis quelques peu en retard, mais pas assez pour me garantir qu’il sera déjà là. Tant pis, je n’ai pas vraiment envie d’attendre quelque part, pour être sûre. J’en profite quand même pour envoyer un message à Flora, pour la tenir au courant, comme toujours.  Je l’appellerais après pour tout lui raconter. C’est devenu une tradition lorsque j’ai rendez-vous, autant dire que c’est assez souvent. Je suis presque arrivée, je suis nerveuse, mais j’essaie de ne pas le montrer. J’essaie tant bien que mal de paraître naturelle, alors que j’ai envie de courir pour voir s’il est déjà là. Oui, malgré tous mes premiers rendez-vous, je suis toujours aussi impatiente et excitée. Certaines choses ne changent jamais.

✻✻✻
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() message posté Sam 4 Juin 2016 - 11:52 par Invité
Lorsqu'il est dans un contexte professionnel, Sawyer s'efforce toujours d'être à l'heure ou en avance. Le reste du temps, il est loin d'être aussi ponctuel. La prof de danse de son groupe lui avait donné rendez-vous dans Greenwich et il n'avait aucune idée de pourquoi. Il avait bien essayé de cuisiner les membres du boy's band pour découvrir ce qu'il avait bien pu faire, depuis qu'il avait pris le poste de manager, il avait l'impression d'être un parent en charges d'adolescents incontrôlables. Ce rendez-vous lui donnait l'impression d'être convoqué par la maîtresse d'école pour qu'elle lui apprenne toutes les conneries qu'avaient fait ses fils. En tout cas, Sawyer avait mis toutes les chances de son côté pour amadouer la jolie prof de danse, s'équipant de sa plus belle chemise, sans pour autant quitter sa veste en cuir. Il s'occupait peut-être d'un boy's band, mais il n'était pas prêt à abandonner son look rock and roll. Le jeune homme avait vraiment besoin qu'elle leur donne ces cours, ils devaient bientôt partir en tournée et avaient besoin de faire des progrès rapidement. Dans le cas où elle lui annoncerait ne plus vouloir assurer les cours, Sawyer se retrouverait sacrément dans la merde à devoir trouver une nouvelle prof au pied levé. Surtout, qu'il soupçonnait ses élèves de ne faire des efforts en danse en grande partie en raison du physique avantageux de la jeune femme. Sur cette question, Sawyer ne pouvait pas les contredire, il trouvait également que la prof était très attirante et il essayait de les accompagner à leurs cours le plus souvent possible, histoire de pouvoir se rincer un peu l'œil également. Pour être sûr d'arriver à temps, il avait décidé de prendre le taxi, comme ça elle n'aurait pas une autre raison d'être en colère contre lui et d'arrêter les cours. Pendant le trajet, il s'imagine tous les scénarios possibles sur la raison de cette convocation. Les hypothèses les plus probables étaient que l'un des jeunes se soit pointé complètement bourrer à un cours, ou pire les quatre, sinon qu'ils aient essayé de la draguer. Quelle que soit la raison, le manager était bien décidé à la convaincre de continuer les cours, même s'il devait user de tous ses charmes pour ça. En constatant qu'il est largement en avance une fois devant le café dont elle lui a donné l'adresse, il s'attarde quelques minutes dehors pour fumer une cigarette. Après ça, il rentre à l'intérieur et constate qu'il n'y a pas de Jamie à l'horizon. En patientant, il se remémore tous les moments où il avait eu l'occasion de voir danser Jamie. Il l'avait déjà trouvé sublime avant de la voir danser et le sentiment n'avait été que renforcer après l'avoir vu. Sa façon de bouger, sa souplesse, cela faisait un peu fantasmer Sawyer. Puis à force d'entendre les membres du boy's band parlaient de leur prof de danse trop canon en permanence, il avait bien fallu qu'il se fasse une opinion par lui-même. Son regard est braqué sur la porte, à chaque fois qu'elle s'ouvre, il ressent une pointe de déception en ne voyant pas arriver Jamie. Quand finalement elle apparaît, il est incapable de décoller ses yeux d'elle. Dire qu'elle était canon ne lui rendait vraiment pas justice et Sawyer était à court de mots. Il lui faut plusieurs secondes pour se rappeler qu'il est là dans un cadre professionnel et qu'il ne peut pas se permettre de baver devant elle de la sorte. Sinon, il allait vraiment finir par regretter de l'avoir choisi comme prof pour son boy's band, car il ne pouvait pas trop prendre le risque de la draguer. Il se met debout pour l'accueillir et tend sa main pour lui serrer, mais cela lui paraît assez bizarre même à lui. « Bonjour Jamie. Avant que tu dises quoi que ce soit. Tu dois savoir que quoi qu'ils aient fait, je suis prêt à tout pour que tu continues les cours, s'il te faut plus d'argent, c'est pas un problème, on fera raquer la maison de production. ». D'un geste de la main, il l'invite à prendre place sur la chaise en face de lui. Son plus beau sourire de commercial est présent sur son visage, malgré la distraction qu'incarne Jamie, il essaye de rester concentrer à 100% sur son boulot. Il avait travaillé trop dur pour abandonner maintenant. « Ils ont vraiment besoin de toi. Regarde Brad, il ressemblait à une véritable planche de surf sur pattes lorsqu'il était sur scène. Ce qu'il faisait le mieux c'était la danse du robot. Maintenant il commence presque à avoir l'air normal. ». C'était sa façon à lui de flatter son travail et de lui faire comprendre qu'elle était une véritable magicienne pour réussir à faire chanter ces jeunes qui n'avaient pas tous de disposition pour la danse. Ils étaient plus chanteurs que danseurs et la tâche de Jamie n'était pas vraiment simple.
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