"Fermeture" de London Calling
Après cinq années sur la toile, London Calling ferme ses portes. Toutes les infos par ici There's no place like home - Jamie 2979874845 There's no place like home - Jamie 1973890357
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There's no place like home - Jamie

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() message posté Dim 29 Nov 2015 - 15:34 par Invité

   
Jamie Kane

   
London calling to the faraway towns
NOM(S) : Kane. PRÉNOM(S) : Jamie. ÂGE : 25 ans. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : 18 Aout 1990 à Londres. NATIONALITÉ : Britannique. STATUT CIVIL : Célibataire. MÉTIER  : En recherche d'emploi. TRAITS DE CARACTÈRE : Pas prise de tête, fêtard, sociable, comique, ironique quand on l'énerve, aime voyager, loyal, optimiste. GROUPE : Walk on a Line.

   


   
My style, my life, my name

   
Jamie aime les pistaches, il pourrait s'en empiffrer pendant des heures. Il a peur du vide, mais n'ose pas l'avouer. Il aime conduire, mais pas en ville la circulation et les feux ça le stresse. Quand il cuisine il a tendance à faire tout frire, car ça a "meilleur goût". Il ne supporte pas de manger du salé au petit-déjeuner, ça lui donne la nausée. Il a fait un tas de petits boulots, car il aime bien tester de nouvelles choses et ne pas rester sur place. Lorsqu'il a décidé de faire la fête, il ne se couche jamais avant l'aube et peut enchainer sur une journée normalement à force d'habitude. Il est sociable et veut toujours laisser une chance aux gens, toutefois ce n'est pas une bonne poire et il repère assez rapidement quand on se moque de lui. Il aime beaucoup le foot et à longtemps pensé que son père lui mentait en disant que Harry Kane n'était pas son cousin. Il n'aime pas le fait que chez lui se soit toujours vide alors il traine dehors avec ses amis depuis tout petit n'aimant pas la solitude. Il est rapidement déconcentré quand il voit une jeune femme qui lui plais. Il lui arrive d'être romantique quand il commence à s'attacher, mais fait le mec viril et fier devant ses potes. Il adore faire du sport, et il court quasiment tous les jours ça lui permet de se vider la tête.
   
PSEUDO : Mia. PRÉNOM : Samira. ÂGE : 23 ans. PERSONNAGE : inventé.  AVATAR : Niall Horan. CRÉDITS : Fae. COMMENT ES-TU TOMBÉ(E) SUR LC ? : Je sais plus, April m'a probablement encore dévergondée. CE COMPTE EST-IL UN DOUBLE-COMPTE?: Négatif.


   

   
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() message posté Dim 29 Nov 2015 - 15:34 par Invité
At the beginning

   

« Jamie, pose ce ballon c’est l’heure de passer à table ! » m’interpellait ma mère excédée par le fait qu’une fois de plus je n’obéissais pas. Le ballon entre les jambes, je continuais de slalomer dans le salon. J’avais à peine 5 ans, et une énergie inépuisable semblait m’animer. A l’école, j’avais hâte qu’il soit l’heure de la récréation pour jouer avec les autres enfants, me dépenser. Rester assis tranquillement sur ma chaise ne m’avait jamais particulièrement intéressé.  Sauf dans les rares cas où j’étais passionné par le sujet, et mes enseignants se souviennent probablement toujours de ces instants tant ils ont été exceptionnels. On a parlé à mes parents d’hyperactivité bien sûr, de consultations spécialisées aussi. Toutefois, cela ne les a jamais préoccupés au point de me faire consulter. Pour eux, il était normal qu’un enfant bouge, aussi épuisant que cela puisse être. Mon père était partisan de la discipline. A son sens, une bonne fessée, ou une longue punition étaient les seules choses pour me calmer. Il n’avait pas tords, je ralentissais pendant quelques minutes… avant de reprendre de plus belle. Aujourd’hui encore, je ne saurais expliquer d’où me venait cette énergie. J’avais juste besoin de bouger, et une incapacité totale à me concentrer sur quelque chose. Le monde était trop intéressant, trop plein de possibilités pour que je puisse me poser dans une voie donnée. D’ailleurs, c’est mon mode de vie depuis tout petit. Ne pas faire de plans sur le long terme, vivre au jour le jour, voir ce que cela donnera demain, et aviser au dernier moment.

Né et élevé à Londres, je n’ai jamais eu le loisir de m’aventurer plus loin que les quelques villes avoisinantes, si ce n’est pour voir la mer dans des zones plus rurales. Mes parents travaillaient beaucoup afin de gagner de quoi remplir mon assiette. Il parait que lorsque j’étais petit, une voisine me gardait pendant qu’ils allaient bosser. Une vieille femme, qui prenait pas cher juste histoire d’arrondir ses fins de mois, et surtout de rendre service à un jeune couple dans une situation un peu précaire. Enfant, je n’ai jamais totalement ressenti notre niveau social. Curieux, social, avenant, j’ai toujours été assez entouré pour ne pas remarquer que je n’avais pas tout ce que les autres pouvaient avoir. Puis, au final, mes amis les plus proches vivaient dans le même coin que moi, et avaient tous des ressources plus ou moins limitées. Forcément, lorsque personne n’a rien, vous n’avez pas des envies extravagantes. L’essentiel était à l’époque d’avoir le droit de jouer en rentrant de l’école, une fois les quelques devoirs à faire expédier. On pourrait dire qu’on a fait les 400 coups, je me contenterais de déclarer qu’on a grandi ensemble. En faisant des conneries, il faut le dire, mais tout de même on était gosses alors est-ce que l’on peut vraiment nous blâmer pour cela ?

A l’entrée au collège les affinités se transformèrent en véritables liens d’amitiés qui se firent plus durables, plus solides. Continuant d’évoluer, je finis par avoir des envies moins abordables pour mes parents qui continuaient de se tuer à la tâche. A cette époque, je ne voulais pas comprendre que c’était difficile. Tout ce qui comptait, c’était que je voulais avoir tel gadget, ou tel autre à la mode. Parce que la majeure partie des enfants l’avait, parce que ça me faisait envie tout simplement. Autant par conformisme que personnellement probablement, mais tout de même. Je me rendis compte que la vie était injuste et que d’avoir des parents qui travaillaient tout le temps sans avoir l’occasion de profiter vraiment de ça pour avoir tout ce que je voulais, ça craignait ! A force, j’ai finis par m’éloigner d’eux, leur en voulant de ne pas être plus qu’ils ne pouvaient être, égoïstes et bête, adolescent en définitive. Je passais mon temps à trainer avec mes amis, jamais sans Romeo ou Casey, toujours en train d’inventer de nouvelles façon de nous évader, de fuir d’une façon ou d’une autre notre quartier qui était notre terrain de jeu, sans jamais le quitter vraiment physiquement.

C’est au lycée que je découvris mes premiers flirts. Même si je ne l’ai jamais avoué à personne, je pensais à l’époque qu’on aimait qu’une personne toute sa vie. Mes parents étant resté ensemble, c’était pour moi une preuve irréfutable en dépit de ce qui se passait dans les autres couples. Toutefois, après être sorti quelques jours avec Amelia Fletcher j’avais radicalement changé d’avis. Alors qu’elle me semblait parfaite de prime abord, ma déception avait fini par être à la hauteur de mes espérances : démesurée ! Je prenais alors encore plus les choses à la cool, et commençait à goûter vraiment aux plaisirs de la vie. Faire la fête, boire et pour la première fois ne plus être en mesure de donner mon prénom, fumer des substances plus ou moins licites. En sommes, les années des premières fois. C’est plus cela que je retiens du lycée qu’autre choses. J’étais en cours peu concentré, peu concerné, un peu blasé. Au fond, je savais que quoi que je puisse souhaiter faire d’extravagant cela me serait impossible. Etre de notre milieu et faire des études ça relevait de l’exploit. A moins d’être excessivement brillant, ce que bien évidemment je n’étais pas. J’ai donc un peu abandonné l’école, avant de totalement l’abandonner à l’obtention du diplôme.

A ce moment où tout le monde est partit de son côté, parfois de part et d’autre du monde, je suis resté à Londres. Je n’avais connu que ça, j’avais soif d’ailleurs, mais pas le moyen d’exécuter cette ambition. Alors je décidais de me concentrer sur un objectif réalisable : travailler quelques années pour partir à l’étranger, afin de pouvoir découvrir le monde. J’atterrissais donc dans un bar de la ville. Rapidement, je me liais d’amitié avec certains de mes collègues mon tempérament avenant totalement propice à de genre d’interactions. Je rencontrais aussi des tas de jeunes femmes avec lesquelles je ne passais jamais plus de quelques mois. Après le coup d’Amelia, j’avais appris à ne pas mettre d’espoir dans les relations amoureuses, bien que je continue d’avoir des élans de romantisme de temps en temps. Quelques temps plus tard, j’eus la chance de pouvoir intégrer Romeo, mon ami de toujours, à notre troupe de joyeux lurons au bar. Il revenait de l’armée, et une place était disponible. Même si nous avions été séparés les choses restaient exactement les mêmes et nous avons pris plaisir à travailler ensemble. Notre duo a fini par être complété par April, une magnifique blonde – accessoirement notre collègue – qui m’avait tapé dans l’œil. J’avais voulu faire un pas vers elle, bien sûr, mais elle avait méchamment recalé un client qui avait tenté de lui faire du gringue avant d’expliquer qu’elle sortait d’une histoire compliquée. A partir de ce moment-là, j’avais décidé de laisser un peu de temps pour ne pas me faire jeter de façon catégorique.

En parlant de temps, je pensais qu’il ne serait pas aussi long entre l’élaboration de mon projet d’ailleurs et mon départ. Toutefois, alors que j’étais prêt à m’en aller on avait découvert un cancer à ma mère. Bien que nos rapports ne soient pas fusionnels je l’aimais et j’avais décidé de rester un moment histoire de voir comment les choses tournaient. Finalement, quelques mois plus tard, elle était en rémission et l’oncologue était rassuré ne craignant plus rien de létal. Je pouvais donc abandonner ma vie londonienne, les soirées dans des endroits que je connaissais par cœur, la routine du boulot, et à contre cœur mes amis. Me promettant tout de même de tenter le coup avec April en revenant. Elle en aurait eu là, du temps.

J’atterrissais finalement au pays des kangourous. Immédiatement, j’ai adoré l’Australie. Leur façon de vivre, leur façon d’être. Tellement différente de tout ce que j’avais pu connaitre jusqu’alors. C’était nouveau, intéressant, intriguant, curieux. Rapidement, je trouvais un job dans une petite ville côtière près de Sydney, et profitais de mes jours de repos pour apprendre à surfer. En quelques mois, je pris un teint semblable aux locaux et me rendit compte que mon accent se faisait de moins en moins prononcé. Je continuais de sortir, de faire la fête, de flirter, de découvrir des tas de choses expérimentant au maximum. Au final, repartir ne me semblait plus vraiment attractif. Toutefois, je n’eus pas vraiment le choix. Après un tour complet du pays organisé par les amis que je m’étais fait sur place, je faisais le chemin en sens inverse ayant l’impression de quitter ma demeure.

A l’aéroport, la grisaille Anglaise me fit grimacer. J’entamais d’ailleurs de me plaindre dès que je serais rentré chez mes parents afin de récupérer mes clefs. Néanmoins, je n’en eu jamais l’occasion. Au moment où mon père m’ouvrit la porte, je compris immédiatement qu’il y avait un problème. Son teint était gris, comme celui d’un cadavre. Seulement il était là, bien vivant. Je laissais tomber ma valise dans l’entrée et le bousculait ne cherchant même pas à en savoir plus. Parce que je savais. Je grimpais à l’étage et retrouvais la suite parentale totalement changée. C’était l’hôpital, l’hôpital à la maison. Ma mère avait un teint encore plus terrible que celui de mon père. Des perfusions étaient proches du lit, et une bouteille d’oxygène se trouvait juste à côté d’elle. Difficilement, elle ouvrit les yeux en m’entendant arriver. Je m’approchais, bouleversé, les larmes aux yeux. Pas besoin d’être un génie pour comprendre. Elle était mourante, il ne lui restait que peu de temps. Rapidement, elle s’était rendormie, ayant fait des efforts pour me contrôler afin de ne pas exploser je sortais de la chambre après avoir embrassé son front. Mon père me suivit, et à peine à l’extérieur je hurlais « Pourquoi ? Pourquoi tu ne me l’as pas dit ? Je serais rentré il y a des mois ! Tu te rends compte d’à quel point c’est dégueulasse que je n’aie pas pu être là ! » m’égosillais-je hors de moi. La mort dans l’âme, il grimaça avant de répondre « C’est elle. Elle ne voulait pas te gâcher ton voyage, ta vie si heureuse là-bas. Je n’ai fait que respecter ses volontés. » expliqua-t-il bien trop calme pour que je puisse l’accepter. Lui jetant un regard noir, je dévalais les escaliers et récupérais mes clefs d’appartement avant de me tirer sans lui adresser un autre regard. Je n’en étais pas capable. Les choses auraient mal tournées si j’étais resté, je le savais. J’avais posé mon sac chez moi, récupéré mon portable, mon portefeuille plein de livres et j’étais sorti. Mon seul objectif : boire jusqu’à ne plus me souvenir de mon prénom. Arrivant au bar où j’avais longtemps travaillé, je me rendis compte que tout avait changé. April et Romeo ne travaillaient plus là-bas. D’ailleurs ils avaient vécu bien des choses aux dires de mes anciens collègues. Le monde avait continué de tourner, et je me trouvais totalement perdu. Tandis que je jouais avec mon troisième verre, je finis par le repousser. Cela ne pouvait plus durer. La vie avait une échéance. J’avais profité de tout, pendant des années, ne m’était jamais donné de but, de durée limite pour ce genre de comportement. Il était temps de faire quelque chose de significatif de mon existence… Toutefois, une question subsistait : quoi ?

   
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() message posté Dim 29 Nov 2015 - 15:35 par Olivia Andrews
j'aime beaucoup le pseudo There's no place like home - Jamie 2941632856
bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche There's no place like home - Jamie 1942225346 There's no place like home - Jamie 1973890357
n'hésite pas si tu as des questions There's no place like home - Jamie 208687334
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() message posté Dim 29 Nov 2015 - 15:36 par Invité
Bienvenue I love you
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() message posté Dim 29 Nov 2015 - 15:42 par Invité
Bienvenue There's no place like home - Jamie 1973890357
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() message posté Dim 29 Nov 2015 - 15:49 par Invité
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Copaiiiin !  :lover:
Re-Bienvenue There's no place like home - Jamie 2637431331 There's no place like home - Jamie 1973890357
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() message posté Dim 29 Nov 2015 - 16:30 par Invité
Bienvenue parmi nous, et si tu as la moindre question n'hésite pas. There's no place like home - Jamie 2941632856 There's no place like home - Jamie 1973890357
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() message posté Dim 29 Nov 2015 - 16:40 par Invité
Bienvenue parmi nous There's no place like home - Jamie 1973890357 J'aime ce pseudo There's no place like home - Jamie 2555317567
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() message posté Dim 29 Nov 2015 - 17:19 par Invité
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Aller, j'uis morte bisous. There's no place like home - Jamie 878725457
Re-bienvenue ici, bon courage pour ta nouvelle fiche ma chérie. There's no place like home - Jamie 1303875830
T'es trop belle avec Niall bordel There's no place like home - Jamie 3209449636 There's no place like home - Jamie 3209449636 There's no place like home - Jamie 3209449636 There's no place like home - Jamie 955919189
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() message posté Dim 29 Nov 2015 - 17:49 par Invité
Bienvenue There's no place like home - Jamie 1922099377
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