(✰) message posté Sam 27 Déc 2014 - 3:11 par Invité
. SOMETIMES THINGS HAVE TO FALL APART TO MAKE WAY FOR BETTER THINGS . Elle achevait sa journée de travail non sans un soupire de contentement. Elle laissait son ordinateur portable au pied du canapé, à l'abandon, alors qu'elle quittait ses confortables coussins pour se servir un verre de vin. Rien de tel pour mettre un point à cet article qu'elle trainait avec elle depuis des semaines. Elle sortit un verre de ses placards, fit le choix d'un blanc, et s'enroula de nouveau dans son plaid, au creux de son canapé. D'un sifflement, elle intima à Nala de la rejoindre. C'était ce genre d'instants futiles qu'elle avait appris à apprécier. Ce n'était pas une journée extraordinaire, et pourtant elle se sentait bien. En paix. Tout en sirotant son verre de vin, elle fit un rapide tour des réseaux sociaux, sans y porter un grand intérêt cependant. Mais c'était aussi son job de se tenir informer. Et cette mission s'imposait également à son téléphone, qu'elle avait éteint pour bosser sans distractions. Elle écouta rapidement les messages vocaux laissés à son intention, prenant note sur un post-it d'en rappeler certains. Et puis elle finit par regarder ses messages, qui cet après-midi-là, se réduisaient à un seul et unique texto. 'Olaf s'ennuie sans sa Nala'. Ses yeux fixèrent un moment le petit écran, alors que ses lèvres étaient pincées. Walt. Le souvenir de leur dernière entrevue restait flou, comme si tout cela n'avait été que rêvé. Un dérapage, un moment d'égarement, un baiser. Cece avait eu du mal à mettre le doigt sur le problème. Après tout, il était un homme, et elle était une femme. Ils partageaient une complicité évidente, mais la brunette sentait peser sur elle une ombre qui ne cessait de lui répéter que ce n'était pas dans l'ordre des choses. Ils n'étaient pas dans l'ordre des choses. Leur complicité, leur amitié, rien de tout cela n'était logique. Pourtant elle se surprenait à apprécier les moments qu'ils passaient ensemble, à adorer les soirées qu'ils passaient avachis, une bière à la main. Jusqu'à ce que la culpabilité revienne. Jade était toujours là, dans un coin de sa tête, et elle revoyait ses larmes coulées sur ses joues à chaque fois qu'elle revenait d'un rendez-vous avec Walt. Il avait été le fléau de sa soeur, et elle fraternisait avec l'ennemi. Il avait beau être parfois insupportable, elle avait fini par l'apprécier. Jusqu'à ce baiser. Il ne l'avait pas embrassé, elle. Il avait embrassé un souvenir. Et toute cette histoire foutait un bordel monstre dans sa tête. À tel point qu'elle ne put se résoudre à le faire revenir ici, sur les lieux du délit. Elle lui donna rendez-vous dans un parc aux abords du quartier, prétextant un plus grand espace pour les chiens. Elle quitta une nouvelle fois son canapé pour s'éclipser dans sa chambre, où elle associa une paire de bottes à sa robe. Elle enfila son manteau, couvrit ses oreilles d'un bonnet et regagna le salon dans la vaine tentative d'attacher Nala. Quelques minutes de bataille et une gourmandise plus tard, elle quittait son appartement, laisse en main et s'autorisa une petite marche jusqu'au parc. Elle s'arrêta sur le chemin pour commander deux cafés au starbuck du coin et ne tarda pas à arriver devant les longs parterres de fleurs qui donnaient des couleurs au ciel gris. Elle détacha Nala pour la laisser profiter de l'herbe fraiche et s'assit sur un banc en débutant la dégustation de son café. Une boule d'anxiété s'était formée dans sa gorge au fil des heures, et elle redoutait l'instant où Walt ferait son apparition. C'est en voyant Nala détaler vers l'entrée du parc qu'elle comprit que son chien préféré était arrivé, accompagné de son maitre.
L'entraînement des gamins s'est bien passé, ils font des progrès considérables qui le ravisse au plus haut point. Surtout que ses élèves le vénèrent presque, buvant ses paroles, il a l'impression d'être un véritable maître jedi. La plupart rêve de devenir joueurs professionnels un jour, alors Walt gagne quelques points de respect pour avoir foulé les pelouses des plus grands stades d'Angleterre. Après avoir rangé le matériel, il en profite pour discuter avec quelques membres du club, mais il ne s'éternise pas pour autant sinon il allait encore y passer la journée. Puis c'était sa semaine d'avoir Olaf, il craignait un peu ce que son dalmatien était capable de faire s'il le laissait seul trop longtemps. Un véritable fléau sur pattes celui-là. Comme à son habitude, le chien manque de renverser Walt, avant même qu'il n'ait pu faire trois mètres dans son appartement. Walt caresse un peu son fidèle compagnon pour le calmer un peu. En pénétrant plus loin dans son appart, il constate vite que son chien a fait des ravages. Le contenu de la poubelle semble éparpiller un peu partout dans le salon, ainsi que de nombreux objets renversés, il n'y a qu'un chien pareil pour oublier que sa queue renverse tout sur son passage. Pendant une seconde, il est tenté d'emmener Olaf chez Rose pendant qu'elle est au travail pour s'en débarrasser le temps qu'il se calme, mais il doute qu'elle apprécie le cadeau. Il pourrait l'emmener courir, mais il s'est déjà assez dépensé avec les gamins à l'entraînement. C'est donc logiquement qu'il en vient à l'idée qu'Olaf a besoin d'être en la compagnie d'autres chiens. Qui de mieux que Nala pour ça ? Surtout que cela fait plusieurs jours qu'il essaye de trouver un moyen pour reprendre contact avec Cece, le maître de Nala. En temps normal, il n'aurait pas réfléchi à deux fois avant de lui envoyer un texto, mais la dernière fois qu'ils s'étaient vus la situation avait quelque peu dérapé. Avec un petit coup dans le nez, il s'était un peu laissé emporter par son instinct et l'avait embrassé. Elle n'avait pas perdu de temps pour le repousser et il lui avait fallu un peu de temps pour comprendre pourquoi. Jusqu'à ce qu'il comprenne pourquoi la situation lui avait donné un goût de déjà vu, mais si différent en même temps. Jade, la soeur jumelle de Cece, avec qui il était sorti il y a des années. C'était ça l'ombre qui planait au-dessus d'eux. Ils n'en parlaient que rarement, mais Walt se doutait bien qu'elle était toujours là dans un coin de l'esprit de Cece. Il avait peur qu'elle lui en veuille, comme s'il avait fait quelque chose de grave, alors que ce n'était qu'un simple baiser après tout. C'est anxieux qu'il envoie un texto, prenant grand soin de ne mentionner que leurs animaux. La réponse ne vient pas tout de suite, mais rien d'étonnant à cela. Il est soulagé d'obtenir une réponse, bien que la proposition de la rejoindre au parc le laisse un peu perplexe. Le froid ne l'enthousiasme pas des masses, ils seraient bien mieux à l'intérieur d'un de leur appartement, mais cela semble être hors de question. En y pensant ce n'est pas plus mal pour Olaf qui a bien besoin de se dépenser. Walt s'habille pour affronter le froid, son écharpe du club de Liverpool autour du cou. Le plus difficile consiste à faire rentrer Olaf dans la voiture et qu'il se tienne tranquille, même si le trajet n'est pas très long, Olaf ne cesse d'aboyer, comme s'il sentait qu'il allait bientôt rejoindre sa Nala. Walt de son côté, n'est pas aussi excité, se demandant s'il a vraiment eu une bonne idée. Trop tard pour renoncer, il voit déjà se profiler le parc où ils ont rendez-vous. Après avoir garé sa voiture, il marche affreusement lentement jusqu'à l'entrée du parc, Olaf tirant sur sa laisse comme un déterré. Nala ne tarde pas à foncer sur eux, tournant tout autour d'eux et aboyant joyeusement, il a même du mal à détacher Olaf tellement celui-ci s'agite dans tous les sens. C'est seul qu'il reprend sa marche, dans la direction dont venait Nala, apercevant une silhouette sur un banc. Il se sent nu sans son chien pour lui servir de rempart, surtout qu'il ne sait pas comment l'aborder, tout est devenu si bizarre entre eux. « C'est fou ce que je me sens aimer quand Nala est dans les parages. ». Il tente l'humour parce qu'il ne sait vraiment pas comment l'aborder, s'il doit lui faire la bise, faire comme si de rien était. Il tourne la tête vers Olaf et Nala qui sont en train de se courir après, ignorant le reste du monde. « Sympa ton bonnet, Olaf a bouffé le mien la semaine dernière, plein de bave, le truc était irrécupérable. ». Il n'ose pas vraiment la regarder dans les yeux, il se frotte les mains pour les réchauffer et préfère ne pas prendre le risque de s'asseoir pour le moment.
. SOMETIMES THINGS HAVE TO FALL APART TO MAKE WAY FOR BETTER THINGS . Assise sur son banc, elle regardait sa chienne courir de tout son être. Elle sautait, roulait, s'arrêtait parfois, simplement pour vérifier que son maitre était toujours là. Cette petite boule de poil avait une vie bien facile. Cece l'enviait pour ça, même si la perspective d'être pleine de boue ne l'attirait pas forcément. Elle la suivait du regard et osait un sourire alors que son âme était dévorée par l'anxiété. Walt ne tarderait pas à arriver et cette idée lui retournait l'estomac. Les images de leur dernière entrevue trottaient encore dans son esprit et la mettaient mal à l'aise, comme si quelque chose clochait. C'était certainement le cas. Il était l'ex petit-ami de sa soeur, celui qui l'avait faite pleurer, et grandir en même temps. La brune l'avait autant haït qu'apprécier dans sa vie, et aujourd'hui elle ne savait pas quel sentiment adopter. C'était un baiser, rien qu'un baiser, et pourtant à l'instant où il s'était penché vers elle, Cece ne s'était pas sentie elle-même. Elle s'était sentie Jade. Et c'était une chose qu'elle n'avait jamais voulu ressentir. Il n'y avait pas pire douleur que d'être regarder comme une autre, être aimer comme une autre. C'était ce qu'elle redoutait le plus était enfant, et à la mort de sa soeur, elle avait cru que plus jamais elle ne ressentirait cette sensation. Une sensation d'imposture. Parce que Walt appartenait à Jade, à son passé, à un passé qu'elles avaient partagé. Et des centaine de questions s'emparaient d'elle. L'avait-il embrassé comme il l'avait fait avec elle ? Avait-il voulu la retrouver, rien qu'un instant ? C'était idiot, car la réponse à toutes ces questions étaient sûrement l'alcool. Elle se trouvait bête, mais cette pensée ne parvenait pas à étouffer son mal-être. Nala la tira de ses tourmentes quand elle apparue sous ses yeux, sa queue battant l'air à vive allure. Elle lui demandait la permission de s'éloigner, et Cece devinait pourquoi. Olaf arrivait au loin, accompagné de son maitre. La gorge de la jeune femme se serra et elle se leva en faisant le geste à sa chienne de courir. Elle fourra ses mains dans ses poches, ne sachant pas bien quoi en faire et voulant par la même occasion ne pas voir ses doigts finir en glaçons. Elle attendait que le petit groupe se rapproche, alors que les deux chiens étaient fous de joie d'enfin se retrouver. À cet instant, pour la relation qu'elle avait Walt, elle aurait aimer être un chien. Tout était plus simple. Walt arriva finalement à sa hauteur et elle tenta de l'aborder, avant de se raviser. Elle n'avait jamais été douée pour les relations humaines, encore moins quand celles-ci étaient complexes. En général, elle fuyait. C'était plus facile. Mais en le voyant elle n'en avait pas envie. « C'est fou ce que je me sens aimer quand Nala est dans les parages. » Malgré elle, elle s’autorisa un sourire en sa direction. Il avait fait le premier pas et leur donnait l’occasion de débuter ces retrouvailles en douceur, loin de leur véritable problème. Ils fuyaient à deux, en somme. « Elle est douée pour ça. Pour ma part il fait bien trop froid pour que je te saute dessus. » C’était étonnement naturel, elle qui pensait que cette discussion serait un calvaire. Le malaise était palpable, mais il était clair qu’il s’évertuait tous les deux à faire comme si de rien n’était. « Sympa ton bonnet, Olaf a bouffé le mien la semaine dernière, plein de bave, le truc était irrécupérable. » Elle posa instinctivement une main sur le bonnet qu’il pointait et son sourire s’élargit alors qu’elle imagine l’état dans lequel Olaf avait du laisser le feu bonnet. « Merci. Au fond, il t’a rendu service. Tu n’as définitivement pas une tête à bonnet. » Elle tente les taquineries habituelles, mais l’air qui les sépare reste électrique. Un silence s’installe et Cece le regarde, debout face à elle, ses yeux bien loin d’elle. Elle déteste cette situation. Tout était simple avant. Nala et Olaf passent entre eux et elle décide de briser la glace. « Je suis désolée pour l’autre fois. J’ai mal réagi, on avait trop bu et j’ai laissé parlé mon impulsivité. » Elle ne le regardait pas, préférant porter son attention sur leurs chiens. Elle parlait comme si elle récitait un discours. Aucune émotion ne traversait sa voix. Elle n’était pas franche, et faisait ce qui était la meilleure chose à faire. Elle ne supportait pas cette situation et souhaitait simplement que ce malaise s’arrête. « On a qu’à oublier. » Elle pose enfin ses yeux dans les siens et hausse les épaules. Elle laissait la suite des événements entre ses mains. Il pouvait choisir d’ignorer tout ça, comme elle le faisait. Ou il pouvait ne pas l’accepter.
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(✰) message posté Mar 24 Fév 2015 - 19:30 par Invité
Son cœur s'emballe un peu plus qu'il ne le voudrait en sa présence. Il a même un peu de mal à comprendre pourquoi il réagit ainsi, ce n'est pas la première fois qu'il embrasse une femme et que rien ne se concrétise par la suite. Même s'il n'avouera jamais que ses techniques de drague ne sont pas infaillibles. Ils étaient amis après tout, les choses ne devraient pas être si compliquées entre eux. Cece était canon, le genre de femme sur laquelle les hommes se retournent dans la rue, Walt le savait bien. Pour être honnête, Walt se demandait presque comment il avait fait pour résister aussi longtemps avant de l'embrasser. Ils étaient proches, taquins, complices. Bien que leur relation n'était qu'amicale, il avait parfois l'impression d'avoir une relation plus intime avec elle qu'avec les femmes qui passaient dans son lit. C'est dans ces moments-là qu'il réalise, que même s'il tente tous les deux d'en parler le moins possible, l'ombre de Jade plane toujours au-dessus de leur tête. S'il n'était jamais sorti avec sa sœur, peut-être que les choses auraient été différente. Tout ce qui lui importe pour le moment, c'est de dissiper ce malaise qui s'est installé entre eux et qu'il a du mal à supporter. « Elle est douée pour ça. Pour ma part il fait bien trop froid pour que je te saute dessus. ». Walt hausse un sourcil tout en souriant au double sens qu'elle a employé, pourtant il se retient de répondre une connerie du genre "j'ai ce qu'il faut pour te réchauffer !". Il aurait probablement opté pour cette option si la situation n'était pas déjà aussi trouble, mais il se contente d'une remarque sur son bonnet, préférant faire comme si de rien était et ne pas prendre le risque de rentrer dans le vif du sujet. « Merci. Au fond, il t'a rendu service. Tu n'as définitivement pas une tête à bonnet. ». Il devrait afficher une mine outrée, parce que tout va à Walt Fowler, même avec une horrible chemise hawaïenne monsieur est parfait. Pourtant, il se retrouve à rigoler de sa taquinerie, ses épaules et sa posture se détendent un peu, s'imaginant que finalement ils vont pouvoir faire comme si rien était arrivé sans même en discuter. La solution idéale pour lui. Il sursaute presque quand elle reprend la parole et sa mine réjouit disparaît en comprenant le sujet qu'elle compte aborder. « Je suis désolée pour l'autre fois. J'ai mal réagi, on avait trop bu et j'ai laissé parlé mon impulsivité. ». Cette fois, Cece a toute son attention, il la regarde, la scrute, parce que ses paroles ne sont pas très claires. Il espère comprendre davantage par son langage corporel, mais elle est fermée, distante. Elle avait voulu aborder le sujet, mais tout était encore moins clair qu'auparavant. La méthode de Walt de ne rien dire du tout aurait été beaucoup plus efficace, les femmes et leur satané besoin de parler de tout. « On a qu'à oublier. ». Il croise son regard et répond à son haussement d'épaule par un autre haussement d'épaule. « Okay. ». Cela ne signifie pas qu'il accepte d'oublier, juste qu'il a entendu ce qu'elle avait à dire. Il prend quelques secondes pour réfléchir, profitant de la diversion que lui offre Olaf et Nala et qui viennent de les frôler à pleine vitesse. « Oublier quoi au juste ? ». Son ton n'est pas accusateur ou même agressif, simplement curieux. Une fois qu'elle a lancé la conversation, il ne peut pas se contenter de semi-excuses à la noix, les mêmes qu'elle lui aurait donné pour s'excuser de lui avoir envoyé une bière à la gueule après une mauvaise blague de sa part. « Parce que c'était juste un baiser, pas besoin de t'excuser pour ça... t'as le droit de pas me trouver attirant, même si t'avais bu quelques verres, ce que je trouverai doublement plus bizarre d'ailleurs, mais passons... Si tu penses qu'on est mieux amis, aucun soucis. ». Walt tente de lui offrir un sourire rassurant, mais il galère avec ses mots. Le contraste entre le discours presque mécanique de Cece quelques secondes auparavant est frappant. Il se passe la main dans les cheveux, pas certain de devoir continuer, mais il sent qu'ils en ont tous les deux besoin pour éclaircir la situation, parce qu'il n'est pas sur de pouvoir oublier aussi facilement qu'elle le voudrait. « Parce que j'avais l'impression que peut-être... le prend pas mal, si c'est pas ça et que tu me trouves juste moche je te donne le droit de me baffer. J'avais l'impression que c'était peut-être par rapport à Jade ou je sais pas. Je voulais juste te dire que j'entretiens pas une torche pour elle et j'ai pas un autel en son honneur dans ma chambre où j'embrasse une photo d'elle tous les soirs !!! ». Là il regrette de s'être embarqué dans son explication, parce que les mots sortent de sa bouche et il a l'impression de s'enfoncer un peu plus à chaque mot qui sort. « Ce que je voudrai que tu saches c'est que je traîne pas avec toi en pensant à elle et que deuxième je suis magnifique dans tous les chapeaux, si tu me voyais avec une chapka tu me sauterai dessus avant que j'ai le temps de dire bonjour. ». C'est plus fort que lui, il a eu besoin de conclure son petit monologue sur une touche d'humour, ce qui ne l'empêche pas d'être extrêmement anxieux de la réaction que Cece peut avoir.
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