"Fermeture" de London Calling
Après cinq années sur la toile, London Calling ferme ses portes. Toutes les infos par ici wilbur. those who are heartless once cared too much 2979874845 wilbur. those who are heartless once cared too much 1973890357


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() message posté Mer 23 Juil 2014 - 21:26 par Invité

Wilbur Samuel Queshire

London calling to the faraway towns
NOM(S) : Queshire, évidemment le nom de son père. PRÉNOM(S) : Wilbur Samuel Marx. ÂGE : trentes ans. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : 4 Juillet 1984 à Clevedon, Surrey. NATIONALITÉ : il est de nationalité anglaise. sa mère est d'origine italienne quand son père lui est bel et bien totalement anglais.STATUT CIVIL : célibataire.
MÉTIER  : rédacteur technique, il traduit et écrit des modes d'emplois. En parallèle, il tient un blog, remplit des photos qu'il prend lorsqu'il sort dehors, racontant les mésaventures d'un agoraphobe dans la grande ville de Londres, les siennes. TRAITS DE CARACTÈRE : maniaque, intelligent, négatif, rigide, solitaire, mélomane, désordonné, coléreux, chétif, fier, froid, imaginatif, nostalgique, mélancolique, impulsif. GROUPE : on my bicycle.



My style, my life, my name

Il respire le tabac à plein nez et vit au milieu des livres qu'il dévore pour occuper son temps. Lui, qui est allergique à la télévision et qui préfère de loin regarder des séries sur son ordinateur portable contenant sa vie entière, son travail, son blog, et les moments de sa vie qu'il n'arrive pas à renier malgré tous les efforts du monde.

Wilbur est l’aîné d'une fratrie de trois garçons. Il a toujours été l'enfant chétif dans les jupons de sa mère pourtant. Celui qui n'osait pas trop parler aux gens, souriant, mais incapable de tenir une conversation avec quelqu'un qu'il ne connaissait pas. Les interactions avec les autres sont toujours un dilemme pour lui, mais il ne blâmera plus sa timidité maladive, qu'il avait réussi à balayer en quelques années... Il blâmera son désintérêt des gens, du monde et de sa cruauté, qui le rend malade. Il blâmera la bêtise, et la méchanceté humaine.

Surnommé Will, il trouvait gamin que le monde lui en voulait injustement. Enfant, il était adorable, silencieux, aimant envers ses proches. Quand le monde a commencé à paraître injuste envers lui, alors il a tout fait pour contrebalancer cela en étant une tête de nœud, un ado à problème qui avait envie de vivre et d'emmerder un monde qu'il détestait. C'était une crise d'adolescence, qui s'éternisa, des années, avant qu'il ne tombe à terre épuisé et que la mélancolie ne l'abatte, froidement. Il s'est alors senti feuille morte face à une nouvelle injustice qu'il avait finalement bien mérité cette fois et avec laquelle il vit tous les jours.

Entre misanthropie et agoraphobie, il ne supporte pas (ou difficilement) les trottoirs surchargé des grands axes Londonien. Il n'aime pas aller dehors, n'aime pas voir du monde, n'aime pas être encerclé par ces gens qu'il ne saisit pas, qui l'insupportent à être heureux. Il a peur, même s'il tente de le cacher. Il a l'impression que personne ne peut le comprendre autour de lui, c'est pourquoi il raconte ses expériences au travers de son blog, humoristique en certain point et aussi sombre qu'il ne l'est à d'autres. Le but: éviter les séances de psy au tarif astronomique et parler à quelqu'un, ou être lu par quelqu'un à l'autre bout du monde qui le comprend, qui le rabaisse, qui le soutient. Peu importe, du moment qu'il s'exprime sans recevoir le désagrément d'une rencontre réelle ou d'une discussion téléphonique. Le virtuel pour lui est plus important qu'une interaction normale en personne. C'est simple, direct, et on peut mentir sans faillir. Mentir en disant qu'il va bien, qu'il fait beau à Londres et qu'il écrit son message d'un café et l'envoyé par mail à ses parents. C'est bien mieux que le téléphone, cela évite les ruptures dans sa voix, les silences qui s'éternisent et les questions sur la vie qu'il n'a pas, à laquelle il trouve des excuses bidonts non-réfléchies. Sur les amis avec qui il sort peut, ou qu'il n'a pas. Sur le job de ses rêves se résumant à écrire des notices en six langues différentes et àêtre détesté de tous pour ses explications peu claires, installé dans son appartement imbibé d'une odeur de whisky et recouvert de jouets qu'il ne range jamais appartenant à une enfant qui n'est pas la sienne.

Il est effectivement parrain d'une petite Lyra, dont il s'occupe quasiment tous les jours puisque sa mère et son père sont trop occupés par leur travail respectif et que Wilbur leur coûte moins cher qu'une nourrice à plein temps. Il ne se déplace pas, fuit l'extérieur un maximum et s'occupe d'elle mieux que quiconque. C'est son point faible dans la vie, la seule personne avec laquelle il ne ronchonnera pas à l'idée de parler, avec qui il se montre attentionné, souriant, puisqu'il l'aime plus que n'importe qui.

Les contacts humains le dégoûtent et il fuira une étreinte, une bise, quoi que ce soit dépassant une poignée de main. Il n'a jamais fréquenté personne, n'a jamais dépassé le stade de quelques baisers alors qu'il était bourré et dont il ne se souvient absolument pas. L'idée d'avoir quelqu'un lui déplaît. Il ne ressentirait rien, selon lui. Rien à part un vide considérable, une présence ni réconfortante ni agréable, un peu comment siune bouteille vide avait décidé de rouler dans son lit.

Il était sûrement fait pour être et vivre seul, lui, désagréable et ronchon. Lui, qui n'accorde son attention qu'à une gamine de cinq ans qui arrive à le manipuler avec aisance. Ce qui explique les sorties au parc, les glaces, et les nombreuses visites chez Hamleys.

Il joue du violon au plus grand désarrois de ses voisins. La musique et lui vont de pair, c'est son refuge premier et il en écoute du matin au soir. Un peu de tout, du classique principalement, mais les radios actuelles aussi, offrant de grands moments de chanson sous la douche.
Il n'aime pas le thé, du moins, pas tant qu'il n'est pas extra fort, sans sucre, sans lait. Il préfère de loin le café, noir en général. Au départ il détestait ça, mais a fini par s'habituer à cette amertume et depuis, ne songe même plus à acheter de sucre. Le sucré n'est pas vraiment son fort, il préfère manger salé, de loin. L'odeur qu'il supporte le moins est celle de la cannelle, agrémentée de sucre au moment de Noël cette odeur lui donne envie de vomir son scone nature du matin.


 
PSEUDO : batteryfox. PRÉNOM : audrey. ÂGE : j'ai vingt ans. PERSONNAGE : inventé !  AVATAR : Ben Whishaw CRÉDITS : pingu & hollow art & NEPTUNIUM 237. COMMENT ES-TU TOMBÉ(E) SUR LC ? : via PRD je crois, ou bazzart (mémoire à court terme)


 

 
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() message posté Mer 23 Juil 2014 - 21:27 par Invité
At the beginning

La fumée criminelle s'échappait de ses lèvres avec lenteur. Assassine, elle était symbole de ses addictions nombreuses et de son désintérêt face aux minutes de vie qu'il perdait en consumant cette mort en rouleau. L'homme à la vingtaine passée était tombé dans l'un de ses fauteuils, à moitié habillé, à moitié prêt. Au final le courage lui avait manqué. Au final, l'appel d'une bouteille de whisky et d'un paquet de cigarettes avaient eu raison de son courage. De sa volonté de ne pas décevoir les autres. Personne ne pensait à quel point lui, pouvait être déçu par la tournure des choses. Son appartement était sa bulle, son réconfort alors que seize heure sonnait sur des cloches quelques rues plus loin. Il n'y était pas allé. Il était mieux, là.

Un raclement de gorge -qui n'était le sien- perturba la parfaite mélodie jouée par l'un des meilleurs violoniste de son temps. Bien, bien au-dessus de son niveau. Bien, bien au-dessus de ses compétences de joueur de violon amateur, mouvant sa tête depuis des heures au rythme de la mélodie effrénée, violente, rageuse. Tout comme lui, aux regrets persécutant ses songes, aux images qu'il voyait lorsqu'il fermait les yeux d'un avenir joyeux, radieux qui se scellait en ce moment même et qui n'était pas le sien, non. A en jugé par la table renversée, les deux ou trois bouteilles échouées sur le sol et l'odeur de tabac froid imprimé dans les murs, la rage l'avait emporté. La rage, et la tristesse. La nuit en était même tombée sur Londres sans qu'il ne se rende compte de rien, perdu dans un imaginaire dont lui seul était le maître. Loin, bien loin de cette triste réalité qu'elle lui avait froidement rappelé. Loin, très loin d'un passé qui avait bien commencé. La musique était la bande originale de sa vie. Un maelström amer dans lequel il essayait de nager sans se noyer, mais il avait bu la tasse une fois de plus. Après le bruit des clés dans la serrure et la fermeture de la porte, c'était donc un raclement de gorge, qui le rappelait à la réalité. Une pression sur le baladeur et la musique cessa, rappelant le silence qui hantait d'ordinaire cet appartement à eux. L'intrus l'avait réveillé. « Je croyais que tu devais arrêter. »A l'opposé du salon, près de la porte d'entrée tout juste fermée se trouvait un autre homme, aux traits similaires, la jeune fleurissante et les joues creuses. Il se bataillait avec des cheveux bruns, parfaitement détrempés par la pluie extérieure et trop long à son goût en ce moment que l'on pouvait retrouver dans ceux de son aîné, observant avec attention le nuage de fumée formée au bord de ses lèvres. On pouvait voir qu'ils étaient du même sang, justifiant sûrement la présence du visiteur dans l'appartement délabré d'un homme en costume cravate affalé sur son fauteuil comme un malpropre. Un malpropre qui avait bu. « Pourquoi je le ferais. » Il avait promis à ses parents d'arrêter, et puis au final, comme la plupart des gens, il a trouvé ça trop difficile, trop irritant de n'avoir rien dans les mains. L'assiette lui servant de cendrier à côté de lui, il y fit tomber le paquet de cendre s'étant agglutiné au bout de sa clope, comme si de rien était. Il savait très bien que son cadet avait une sainte horreur de la cigarette, mais cela n'allait pas l'empêcher d'en griller une, puis une autre, et ainsi de suite en espérant provoquer son départ bien avant cela.Ce n'est pas qu'il n'aimait pas son frère, c'est juste que Wilbur, aussi désagréable et enfantin qu'il est préférait rester seul à bouder le monde, plutôt qu'à l'améliorer. « T'es pas allé au mariage alors. » Malgré la pluie à l'extérieur, Cosmo Queshire s'était empressé d'ouvrir la fenêtre donnant sur la rue surchargée de personnes aux parapluies ternes. « Tu as prévenu ? » « Nan. » Un témoin en moins à un mariage, prévisible non ? Cela fera une petite histoire à raconter.. avec un peu de chance, ils allaient annuler, ou bien elle déciderait de ne plus jamais lui adresser la parole, solvant le moindre de ses problèmes.

« Elle va être déçue, tu penses pas ? » Il se raidit, rien qu'en entendant le pronom utilisé. Elle.

Pour comprendre il faudrait remonter à des années en arrières..ou bien lire son blog et y découvrir quelques informations sur un passé qu'il partage, pour essayer d'avancer.


anagoraphobicinlondon.tumblr.com/aboutme 
post: 15/03/2008

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On m'a plusieurs fois demander si je ne voulais pas parler de moi un peu plus. Pour essayer de me comprendre, ou juste pour assouvir une curiosité malsaine qu'internet accentue (mais soyons honnête, on stalke tous quelqu'un, plus ou moins grâce à cette technologie). On m'a demandé si j'étais fils unique, si j'étais célibataire ou si mon mutisme m'avait valu des ennuis à l'école.

J'avais déjà expliqué vaguement que je n'avais pas toujours été aussi blasé par la vie. Que j'avais une âme, autrefois...qui a plus ou moins été réduite en bouillie aux fils du temps, de l'adolescence et des tollés que je me suis prit dans la tronche. Tout le monde a eu des problèmes, a et aura des problèmes. Les miens ne sont pas bien différent des vôtres ou de ceux de mon voisin de palier que j'évite un maximum de croiser. Je les partage juste avec vous, pas pour recevoir de la pitié, ou quoi que ce soit. Ça me libère de mes démons et si quelqu'un, quelque part, comprend ou vit la même chose... Alors, au moins nous ne seront pas seul. Ce qui m'a décidé ? Les récents événements ayant rayé d'un énorme trait mon objectif premier, sentimentalement parlant : que ma meilleure amie se rende compte que je suis fou d'elle depuis des années. Oui, moi aussi je suis l'un de ces gars de la friendzone.

Je m'appelle donc Wilbur, j'ai vingt-quatre ans et je suis rédacteur technique, vous savez, le type qui fait de votre vie un enfer en rédigeant des saletés de notices incompréhensibles sauf pour lui. Je suis le champion du montage de kit Ikea pour cette même raison. Je suis né à Clevedon, Surrey, dans l'ouest de l'Angleterre. Mes parents sont tous les deux professeurs, j'ai deux frères cadets, Cosmo et Ira, nés deux et quatre ans après moi.

Enfant, j'étais très réservé. Je ne parlais pas énormément, je souriais à peine et je préférais laisser le devant de la scène à mes frères, plus épanouis, si ce mot est juste. Je n'ai jamais été très bavard, d'abord par timidité puis par désintérêt complet. Je n'avais pas vraiment beaucoup d'amis..J'étais de ceux qui, plutôt, risquaient cher à la récréation. Cependant,j'avais l'avantage d'être le fils de deux des professeurs de l'établissement et, effectivement, j'ai subi peu de violences scolaires grâce à eux. Éventuellement à cet âge, ce qui m'a radicalement changé, c'est lorsque mes parents ont décidés de déménager à Londres. Mes frères et moi avons dû nous faire de nouveaux amis là-bas, ce qui semblait plus compliqué pour moi que pour eux comme toujours.
En tout ça, c'est comme cela que nous avons rencontré Margareth (ce sera son pseudonyme pour cette histoire). Maggie était légèrement plus âgée que nous trois et vivait à quelques rues de chez nous, dans notre quartier résidentiel et nous nous retrouvions donc tous dans le seul square du coin où presque tous les enfants venaient jouer. Je ne sais pas pourquoi, mais dès le départ, je savais que j'allais me ridiculiser devant elle énormément de fois. Ce qui est le cas. Elle nous a fait découvrir les cachettes du quartier sur nos bicyclettes, comme un gang de motard faisant le tour du pâté de maison. C'est pas bien compliqué à deviner, un p'tit gars et une fille un peu plus âgée... J'avais le béguin pour elle, et c'est resté, des années. J'en étais arrivé à croire que j'avais gagné le jackpot, que c'était du tout cuit, qu'on allait se marier quand on serait plus vieux. J'étais très naïf, malheureusement je le suis toujours.

Je n'avais jamais vraiment eu le courage de le lui dire clairement, jusqu'à l'âge de treize, quatorze ans où j'ai fini par lui dire, ce à qui elle m'avait répondu qu'elle aussi. Elle n'a pas vraiment saisi le sens de mes mots je suppose, ou a fait semblant de ne pas comprendre, je n'ai jamais vraiment cherché à savoir... J'étais juste fou de rage, me rendant encore plus crétin que possible à l'adolescence. Je remettais tout sur son dos, elle, qui ne comprenait pas pourquoi j'avais si mal réagit. Je suis donc le meilleur ami. Celui à qui on peut tout dire, tout faire sans que rien ne soit ambigu. Il m'a fallu du temps pour comprendre, pour cesser d'espérer. Parce que oui, même ça, ça ne m'avait pas encore vaincu. Il y avait un espoir certain à chaque fois qu'elle disait rompre avec un de ses nouveaux copains, alors que moi, je préférais me défouler en brisant tout ce que je croisais. Il a fallu qu'elle m'annonce ses fiançailles, que je me retrouve témoin d'un mariage auquel je ne veux pas assister et qu'elle ne m'annonce, à une semaine de la cérémonie pour laquelle je me prépare psychologiquement pour ne pas lui faire de mal, qu'elle va avoir un gosse et que ce sera moi, son parrain, pour que j'accepte. Je sais qu'elle n'a jamais voulu me faire de mal. Je sais que je suis encore dans l'âge bête, et que plus tard, je trouverais tout cela assez drôle au final, ou du moins, que cela ne me touchera plus autant. J'espère.


EDIT : 02/01/14

Lyra à cinq ans aujourd'hui. Je pense que mettre à jour ce sujet était donc nécessaire. Vous avez pourtant eu l'occasion, ou non, de voir ma vie, depuis ces dernières années. J'ai trente ans, je suis célibataire et je garde une petite fille de cinq ans presque tous les jours de ma vie, sans qu'elle ne soit là mienne. Pour ça, j'ai dû déménager dans un plus grand appartement avec deux chambres et je dois travailler plus qu'avant pour payer un loyer exubérant et la nourriture pour deux. J'ai dû trouver un nouveau vélo, me retenir de faire des achats compulsifs de jouets pour Noël et je dois sourire, lorsque son père, ou sa mère, viennent la chercher chez moi et laisse mon appartement vide. Si j'avais fait quelques choses comme ça dans le passé, cela aurait été pour aider sa mère. Maintenant, je m'occupe de Lyra pour Lyra, et personne d'autres. Je supporte le bruit qu'elle fait, je vais au cinéma regarder des films avec elle et j'accepte qu'elle se colle à la télévision durant des heures, concentrée sur un Disney dont elle chante toutes les chansons, au point où les chansons de Raiponce ou de la petite sirène finissent par être le fond sonore de mon appartement même lorsqu'elle n'est pas là. Ça a changé beaucoup de choses dans ma vie.

J'ai détesté Margareth durant longtemps, mais ça va mieux. L'ado en colère était remonté à la surface, haineux, triste, hurlant et fumant sa clope pour calmer ses nerfs à vifs. Pendant neuf mois, j'ai voulu montré mon mécontentement comme ça, aussi inutile que cela pouvait l'être, aidé par mes frères que je ne remercierais jamais assez, pour avoir été là pour aérer mon appart et vidé l'alcool dans l'évier. Lyra est née, et cette petite chose m'hurlait de faire un effort puisqu'elle n'était pas responsable de ma tristesse, ni de mon incapacité sociale. Si j'avais été fichu de lui dire, y'a des années, je ne me serais peut-être pas autant vautré par la suite. Ça se trouve, je n'aurais pas vécu un tel échec, je serais agréable à vivre et je laisserai un pourboire au restaurant.

Je n'ai pas envie de regretter ma vie. A vrai dire, j'ai plus vraiment envie de rien si ce n'est..continuer, en espérant avoir un meilleur job, réussir à faire tenir une pièce sur mon front un jour ou arrêter de passer ma vie devant pinterest. J'y arriverais peut-être un jour et à ce moment-là, je mettrais à nouveau à jour ce sujet.

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() message posté Mer 23 Juil 2014 - 21:29 par Invité
HIIIIIIIIIIIIIII HIIIIIIIIIII HIIIIIIIIIIIII
*GROOOOOOOOS FANGIRLISME DELAMORTQUITUE EN VUE*

BEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEN WHISHAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAW MON LOULOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOU
*_______________________________________________________________*

JE T'AIME JE T'AIME JE T'AIME *0*

hum.. pardon....
Spoiler:

quoiqu'il en soit, bienvenue et il nous faudra un lien hein  wilbur. those who are heartless once cared too much 902495459
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() message posté Mer 23 Juil 2014 - 21:35 par Invité
Bienvenue ici :p je m'en doutais que t'aurais fait un truc comme ça Spençou xD.

Bon courage pour ta fichette =).
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() message posté Mer 23 Juil 2014 - 21:35 par Invité
Il est beau Ben. wilbur. those who are heartless once cared too much 705448254
Et puis ce prénom. wilbur. those who are heartless once cared too much 2555317567

Bienvenue sur le forum. wilbur. those who are heartless once cared too much 1973890357
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() message posté Mer 23 Juil 2014 - 21:43 par Invité
Bienvenue ! wilbur. those who are heartless once cared too much 1922099377
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() message posté Mer 23 Juil 2014 - 21:43 par Invité
Bienvenue I love you si tu as des questions, hésite pas !
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() message posté Mer 23 Juil 2014 - 21:47 par Invité
Audrey. :hinhin: On se tombe toujours dessus. wilbur. those who are heartless once cared too much 3903491763
Bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche. wilbur. those who are heartless once cared too much 1973890357
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() message posté Mer 23 Juil 2014 - 21:54 par Invité
merci tout le monnnnndee  wilbur. those who are heartless once cared too much 1942225346 wilbur. those who are heartless once cared too much 1942225346 wilbur. those who are heartless once cared too much 1942225346 
je n'hésiterais pas, promis promis  wilbur. those who are heartless once cared too much 1973890357 

Spencer  wilbur. those who are heartless once cared too much 1200797290 moi je dis avec plaisir !  :waaa: j'adore ben aussi *obviously* alors je peux comprendre  wilbur. those who are heartless once cared too much 955919189 

Jilly  wilbur. those who are heartless once cared too much 3674345785 toi ici  wilbur. those who are heartless once cared too much 3674345785 wilbur. those who are heartless once cared too much 3674345785 wilbur. those who are heartless once cared too much 3674345785 wilbur. those who are heartless once cared too much 3674345785 wilbur. those who are heartless once cared too much 3674345785 wilbur. those who are heartless once cared too much 3674345785 wilbur. those who are heartless once cared too much 3674345785  bordel le monde du rpg est tellement petit  :gogo: 
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() message posté Mer 23 Juil 2014 - 21:56 par Invité
Ah non mais cet acteur est... tellement... tellement... TELLEMENT talentueux...
on va bien s'entendre je crois  :hinhin: 
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