(✰) message posté Mer 30 Aoû 2017 - 14:22 par Invité
Des coups de feu avaient retentis dans les rues londoniennes. Forcément, quand Maon avait entendu l’annonce dans sa radio, il avait annoncé sa position non loin de là pour prévenir qu’il y interviendrait avec d’autres collègues de la police. Finalement il n’y a eu aucune victime grave, juste quelques blessés mais rien de vital, heureusement mais ça n’avait pas été une mince affaire. Une course poursuite avait eu lieu et après avoir suivi l’un des tireurs en passant par un grillage, Maon avait mal atterri en sautant mais il ne s’est pas arrêté pour autant. Seulement courir alors qu’on a mal, forcément ça n’arrange pas nos histoires. L’un de ses collègues lui avait alors dit qu’il ferait mieux d’aller à l’hôpital ce que Maon avait refusé. Qu’est-ce qu’il peut être têtu celui-là quand il s’y met. Seulement il n’avait pas d’autre choix de s’y rendre mais c’était pour le boulot. Même s’il n’y a pas eu de blessés graves, l’investigation ne s’arrête pas là, ils soupçonnent même qu’il y ait d’autres délinquants en liberté accroché à cette histoire. Maon est donc chargé d’aller voir certaines victimes qui ont dit avoir vu quelques choses avant d’entrer dans l’ambulance et l’un des tireurs avant qu’il ne se fasse arrêté après avoir été soigné. Ils ont des tas de choses à régler et donc Maon s’y rend avec l’un de ses collègues car il n’est pas certain de pouvoir conduire. Heureusement Snoopy n’est pas là aujourd’hui, il est bel et bien sain et sauve avec Joleen puisqu’ils sont partis pour la journée dans un parc d’attraction avec d’autres amis de la petite, profitant du week end alors que l’école vient tout juste de reprendre. Enfin, arrivé à l’hôpital, Maon s’occupait d’avoir des informations sur l’état de certains blessés quand il vit son collègue le prendre en traitre en allant voir l’un de ses amis bossant ici Djawny et si Maon ne sait pas ce qu’ils se sont dit, le faire que son collègue le pointe du doigt le fait comprendre qu’il a dû parler de sa blessure. Maon souffla, il s’approcha de son ami pour le saluer. « Salut, pas trop la folie aujourd’hui ? » Ça l’est la plus part du temps, toujours les secours pleins heureusement que l’hôpital a un personnel compétent qui sait gérer les choses car ça ressemble souvent à un champ de bataille que beaucoup de patients arrivent en même temps pour des trucs plus ou moins graves. Maon surpris son ami en train de regarder sa jambe. C’est vrai qu’en venant le saluer il boitait mais ce n’est qu’un détail. Du moins pour Maon qui est casse-cou et pense avant aux autres avant lui-même. Rien qu’à voir autour de lui, c’est beaucoup plus grave que sa petite blessure même si la douleur ne passe pas. « C’est rien et je suis pas un enfant » Se contente-t-il de dire en haussant les épaules. Il n’y a pas mort d’homme surtout que Djawny est en pédiatrie donc c’est pas son secteur.
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(✰) message posté Jeu 21 Sep 2017 - 16:50 par Invité
I'm not kid
.
Maon & Djawny.
LUCKYRED
Quand il y a urgence, peu importe les spécialités choisis par un interne. On intervient sur tout style de chose. On doit savoir tout, tout apprendre. Moi je veux devenir chirurgien pédiatrique et pourquoi ne pas faire un truc en général. J’aime bien toucher à tout, même si j’ai choisi les enfants, car j’adore passer du temps avec eux. Sans doute, car je suis un grand enfant. Puis sans doute que dans le fond, j’aurais voulu qu’on m’aide, qu’on me comprenne quand j’étais plus petit, quand j’ai vu ma mère mourir sous mes yeux, que j’étais gâché. Là à ne rien pouvoir faire. J’étais démuni et sans doute encore maintenant. Enfin, c’est un peu la course en ce moment, alors je fais comme tout le monde, j’oublie ma spécialisation. On est là pour aider, sauver des gens et forcément parfois on devra toucher à d’autre chose. C’est un travail d’équipe plus qu’on ne le croit. Je me retrouve donc dans les urgences, jonchant les couloirs et laissant mon regard glisser sur les personnes patientant dans la salle d’attente et ceux arrivant dans les urgences avec les ambulances, les pompiers. Ça arrive de partout. La guerre s’est déclarée dehors ? Non. Juste une fusillade, pas la première que l’on voit dans nos rues, mais clairement ps la dernière, sinon le monde serait trop doux et apparemment il doit être rude pour certains. Enfin, je tombe nez à nez avec un collègue policier, le collègue d’un autre ami bon je suis bien plus proche de Maon que le partenaire me montre en grimaçant. Il serait blessé. Le connaissant, il est têtu et ne veut pas être soigné. Je vois donc Maon s’approcher de moi et mon regard ne peut qu’observer cette façon de se déplacer en direction de ma personne. Boiteux. Il boite et tu lui offres un sourire tout en regardant autour de toi. « à ton avis ? » Que je rétorque en rigolant un peu. La folie ? Pas plus que d’autre jour. Y a toujours des moments complétement dingue dans ce métier et on fait avec tout bonnement. Enfin, je louche sur sa jambe qui n’a pas l’air au top et presque automatiquement j’entends mes oreilles grésiller en l’entendant m’envoyer promener avant même que je ne dise un mot ! « Cool, du coup tu ne vas pas pleurer, je n’ai pas besoin de te rassurer ou autre délire du style ! » Je demande un fauteuil roulant et je le lui montre du doigt. « Assis ! » Il n’a pas le choix. Pourquoi je le lui laisserais le choix, il peut hésiter, mais il ne va pas apprécier, que je le force comme un fou à faire ce que je désire pour pouvoir le soigner. « Allez on va te soigner ! » Que je finis par ajouter.
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(✰) message posté Jeu 29 Mar 2018 - 17:57 par Invité
Les hôpitaux, comme tout le monde ce n’est vraiment pas son truc. Pourtant ça a presque été une résidence pour lui puisqu’il y a dormi pendant des mois lors de son coma. Sans doute est-ce pour cela qu’il les fuit quand il le peut. Aujourd’hui avec le travail il n’avait pas le choix mais ce n’est en aucun cas pour lui qu’il y va, pourtant il a vraiment mal à la jambe mais ça passera. Au pire il doit avoir des anti douleurs dans sa bagnole. Son chef ne lui a pas dit d’aller voir qui que ce soit alors ça l’aide, il n’a pas d’ordre d’aller voir qui que ce soit mais c’est son collègue qui le prit en traite. Autant dire que s’il avait des armes à la place des yeux alors bye bye l’ami flic. A la place il voit son ami qui travaille ici venir le voir. Maon essaye de détourner la conversation mais il sait très bien que c’est peine perdue. « Oh une petite journée en somme quoi ! » Il ironise et pourtant il n’a pas forcément tout à fait tort. C’est tout le temps la folie donc ce n’est pas pire que d’habitude. Qu’il vienne pour s’occuper de sa jambe, ça doit être une fleur, ce n’est pas bien compliqué même si forcément quand on est interne, on veut s’occuper des cas les plus exceptionnels pour apprendre. Disons que ça lui fait une petite pause même si Maon préfère discuter avec lui que se faire soigner. Une chochotte ? Non mais il ne trouve pas cela indispensable de voir quelqu’un, d’autre ont beaucoup plus besoin de voir quelqu’un que lui. « Ca dépend, aux gosses ont leur donne des bonbons quand ils sont courageux c’est ça ? » Il plaisante, pourtant pour des bonbons il ne dit jamais non, ça c’est clair. Il est un grand enfant dans ces cas-là. Quand il voit le fauteuil roulant que lui montre son pote, il le regarde blasé. Vraiment ? Il n’a pas besoin de cela, il peut marcher comme un grand. Quand il s’agit de se faire soigner, il a plus tendance à fuir et ça se voit. « C’est rien de grave. Tu sais bien qu’on a plus besoin de moi dehors qu’ici ! » Tout comme Maon sait que son travail à lui c’est de soigner les gens. Bon il s’occupe avant tout des enfants mais il est là quand même en tant que chirurgien alors pote ou pas pote, forcément il a des responsabilités. C’est pour cette raison qu’il n’insiste pas forcément. Il se tait alors le temps du trajet avant de lui demander « Alors quoi de neuf ? » Il n’y a pas forcément d’autres oreilles qui écoutent donc ils peuvent parler librement. Au moins ça tuera le temps en attendant même si Maon n’a pas forcément de parler, le silence c’est bien mais puisque c’est son pote qui s’occupe de lui, autant que ça serve à quelque chose.
(j'ai tellement hoooonte en voyant les dates :o )
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(✰) message posté Jeu 19 Avr 2018 - 23:12 par Invité
I'm not kid
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Maon & Djawny.
LUCKYRED
Les urgences c’est souvent la panique, alors forcément même si je suis spécialisé en pédiatrie on me détache souvent en aide dans l’urgence quand les mains manque. Et autant dire que vu le nombre d’ambulance de cris et compagnie actuellement, que le monde en urgence les mains en plus ne sont pas en trop, tout au contraire. Alors, je me prête au jeu assez rapidement, je me roule dans la foule et je me retrouve en face à face avec monsieur Maon. Forcément, le connaissant il ne va pas s’installer et me laisser le soigner directement. Faut pas trop pousser non plus, hein. Me faciliter le boulot ce n’est pas dans les choses prévus … « Ouai une journée carrément reposante ! » Que je lâche en regardant le chaos autour de nous. Si ça c’est une journée tranquille ? Il n’a pas tort. Dans le fond une journée horrible ça doit être celle placé sous le signe du noir ! Par exemple un attentat ou autre ou là on a beaucoup à gérer et autant dire que personne n’aime ça, sinon faut être un dingue et c’est souvent ce genre de personne qui crée le chaos de toute façon. « Je vais t’en faire avaler une poignée … tu seras courageux et pas trop chiant comme ça ! » Que je finis par lui lâcher, j’aurais pu le mordre si j’avais eu l’occasion de le faire … mais ce n’est pas le cas. Je le regarde et le voit entrain de tergiverser sur le fait ou non de s’asseoir sur ce fauteuil roulant. Je ne demande pas grand-chose, ô que non. Juste qu’il s’installe. Ce n’est que la règle fixé par le règlement et les dirigeants de ce lieu. « Bien … mais on a besoin d’un toi en forme, pas en morceau, donc assis ! » Que je répète, je serais plus doux avec une autre personne, mais c’est Maon, alors après tout j’y vais franco, je sais que voilà, je ne risque pas grand-chose. « Puis tu sais qu’avec ton coma … on ne peut pas faire tout et n’importe quoi, donc on surveille, donc t'as pas le choix sinon je demande à ton chef de te mettre au repos ! » Là je sais que Maon va se calmer direct. Je le regarde et souris à sa question alors que je l’emmène à la radio. « Rien de bien neuf et toi mis à part être un casse-cou …enfin ça ce n’est pas nouveau … » que je finis par ajouter en allant dans l’ascenseur.
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