(✰) message posté Ven 3 Mar 2017 - 22:43 par Invité
weekly visit to the association between a journalist and a police officer.
Raina & Lou-Ann
Au cours des douze mois de 2014, la presque trentenaire pris connaissance d’un « flyer » sur une Association « spécialisée » dans l’accueil des citoyennes londoniennes ou étrangères résidant sur le sol anglais, victimes d’abus sexuels. C’est après l’un des 1ers rendez vous dans un cabinet de psychologie que le professionnel en a tendu un à la dernière de la fratrie des Busby. Vous savez, c’est après son agression que la journaliste sportive du « Times » s’y ai rendu ! Et c’est un peu en « trainant les pieds » que la presque trentenaire a fait son apparition dans les locaux de l’Association. Certaines personnes de son entourage de « loin ou de près » étaient au courant de ce « cauchemar », la future mère ne voyait pas l’intérêt d’en faire part à d’autres. Mais, après un certain temps la presque trentenaire a réussi à faire le récit de son histoire à une seule personne : Raina. Et si la journaliste sportive a « repris du poil de la bête », la deuxième de la fratrie Busby y trouve toujours plusieurs intérêts à se rendre dans les locaux de l’Association une à deux fois par semaine en fonction de son planning. Et l’un d’entre eux est de ne pas « couper » le lien avec la policière. Du coup, c’est à l’habitude que la trentenaire en se rendant jusqu’au lieu d’accueil a fait un « détour » au Beth’s Bistrot afin d’y prendre un nombre incalculable de pâtisseries. Ainsi, ne sachant pas au final s’il y aurait beaucoup d’influence, c’est avec 3 boîtes, les unes sur les autres que la journaliste sportive entre dans l’enceinte des locaux. Un « Bonjour. » sort de la bouche de la trentenaire en faisant irruption dans la grande pièce à l’attention de toutes les personnes présentes. Raina discutant avec quelqu’un, la trentenaire lui adresse un signe de la main avant de se diriger vers une table afin d’y déposer ses boîtes et d’en sortir les pâtisseries et de les mettre sur des « plateaux. »
(✰) message posté Dim 5 Mar 2017 - 20:28 par Invité
weekly visit to the association between a journalist and a police officer.
Raina & Lou-Ann
Depuis plusieurs années maintenant Raina était bénévole dans une association pour victimes d’abus sexuels. Elle avait mis du temps à le faire parce qu’il avait d’abord fallu qu’elle accepte le fait qu’elle-même avait été une victime. Ca avait pris du temps mais ça avait fini par arriver. Elle n’était plus la même depuis et avait traversé de nombreuses choses que personne ne connaissait à par son psy. Elle avait beau être dans l’association et écouter les femmes qui en avaient besoin, jamais elle n’avait raconté son histoire. Elle ne voyait pas vraiment l’intérêt que cela aurait. Les femmes voyaient qu’elles n’étaient pas seules et peut être que cela les aiderait ou les « soulageraient » de savoir qu’une bénévole avait aussi enduré la même chose. Cependant, il était hors de question qu’elle le fasse. C’était personnel et elle n’avait pas besoin de le dire à tout le monde. Pas que ces femmes en ont besoin non plus mais bon, elle pensait que les laisser parler et les soutenir était bien plus utile que le reste.
Elle était donc présente à l’association ce jour-là. Son travail fini, elle avait décidé de venir surement pour combler le peu d’action qu’elle avait eu aujourd’hui. Elle ne s’était pas sentie très utile et avait besoin de ce sentiment dans sa vie. Elle parlait donc avec une jeune femme qui était déjà venue plusieurs fois lorsqu’elle vit Lou-Ann arriver. La jeune femme venait depuis un moment maintenant. Raina se disait qu’elle n’avait peut-être plus besoin de le faire parce qu’il lui semblait que Lou’ avait accepté la chose et arrivait à aller de l’avant mais elle n’était pas contre le fait qu’elle vienne. Raina savait qu’elle était une des rares si ce n’était la seule personne à qui elle s’était confiée et rien de pour ça, elle n’était pas prête de l’abandonner. Finissant avec la jeune femme, elle se dirigea vers sa « protégée ». « Hey, Comment vas-tu aujourd’hui ? Je vois que tu n’oublies pas notre tradition. » Il y a toujours quelqu’un pour ramener quelque chose à manger enfin surtout lorsque c’est une personne qui vient depuis longtemps.
(✰) message posté Ven 17 Mar 2017 - 22:19 par Invité
weekly visit to the association between a journalist and a police officer.
Raina & Lou-Ann
Ce n’est pas une « question » d’âge : les 1ers « pas » des personnes ayant subi un abus sexuels dans les locaux de l’Association sont toujours « timides. » C’est le constat de la trentenaire après presque 3 ans à s’y rendre. A l’époque, la journaliste sportive a eu la conviction que ce « temps » n’a servie à « rien » et que sans doute(s) dans les prochaines semaines et les prochains mois, sa conviction serait toujours la « même. » En quoi ça peut être « bénéfique » d’écouter d’autres personnes faire le récit du « traumatisme » vécu à part la faire « (re)vivre » le sien ? Pourquoi, faire le récit de son propre « traumatisme » à des inconnues alors que certaine(s) personne(s) de son entourage n’ont obtenu que de « brèves » lignes qui (re)tracent ces quelques instants avec cet inconnu et alors que certaine(s) autre(s) n’en ont eu aucune(s) ? Mais, c’est « plus facile de parler à des inconnu(s) », non ? Ce n’est pas le cas de Lou Ann. Bien qu’au fil de ses venues, un « lien » est venu se « tisser » entre les deux londoniennes. Alors, avec les autres cela reste « cordiale » et « polie » avec des phrases « bateaux » quand la conversation « dévie » sur ce « sujet » personnel. Cela explique en « partie » les raison(s) de son signe de « loin » en sa direction. Et oui, la trentenaire n’avait pas envie de la déranger dans sa discussion et en plus, « tradition » oblige la trentenaire devait les disposer sur les grandes tables. A son, « Hey, comment vas tu aujourd’hui ? [..] » la journaliste sportive hausse les épaules de bas en haut. « Oh. Je vais bien. & toi ? » Est ce que ça sonne « faux » ou c’est la « moue » apparue sur ses lèvres qui la trahie ? Puis concernant son, « [..] Je vois que tu n’oublies pas notre tradition. » la journaliste fait un signe de la tête de droite à gauche. « Non ! Tu sais bien, que je ne vis que pour les pâtisseries ! » Un rire.
(✰) message posté Sam 25 Mar 2017 - 14:03 par Invité
weekly visit to the association between a journalist and a police officer.
Raina & Lou-Ann
Si Raina était toutes les semaines présente à l’association, elle ne l’était pas forcément tous les jours. Elle connaissait donc plus ou moins certaines personnes, d’autres, elle ne les avait jamais rencontrées. Elle se disait au fond que c’était bien de ne pas être au courant de tout ce qui se passait bien qu’il n’était pas rare qu’elle parle avec d’autres bénévoles et qu’ils s’échangent leurs « expériences » et les « aides » qu’ils donnaient. Cela permettait parfois de mieux com-prendre certaines choses, certaines personnes aussi et de pouvoir donner plus facilement des conseils. C’était d’ailleurs ce qu’elle était en train de faire lorsque Lou’ entra dans l’association. Elle tentait d’aider une jeune fille du mieux qu’elle pouvait. Elle était nouvelle et avait une force de caractère incroyable. Raina s’était attendue à ce qu’elle pleure vu l’expérience traumatisante qu’elle venait de lui décrire mais rien. Pas une seule larme. Elle avait l’air de toute les avoir pleurés et son corps ne semblait plus pouvoir lui en donner d’autres mais lui demander de devenir forte. C’était étrange, très étrange d’ailleurs étant don-né que cela semblait s’être passé peu de temps au part avant. Cependant, on n’a pas tous les mêmes facilités à encaisser les coups. La jeune femme lui promis de venir la revoir. Lui parlé lui avait fait du bien et c’était ce qui comptait le plus.
Elle alla alors rejoindre Lou’. Elles n’étaient pas les meilleures amies du monde mais avec le temps, elles avaient développé un lien, une connexion. Raina était toujours contente de la voir et de lui parler. « Heureusement, que tu n’as pas rapporté des donuts, ça au-rait été un vrai cliché si j’en mangeai. » Il était vrai qu’en tant que policière, on lui pro-posait souvent des donuts dû au stéréotype. Pourtant, elle, elle n’en était pas vraiment fan. « Je vais bien merci. Allez, dis-moi la vérité maintenant, qu’est ce qui ne va pas ?» Raina commençait à connaître assez Lou-Ann pour savoir que quelque chose n’allait pas chez elle. Ce n’était ni son sourire ni son entrain habituel et ça, Raina le savait. Et puis, la question n’était pas une question à laquelle, Raina désirait une réponse banale ou juste polie. Elle voulait vraiment savoir comment allait la jeune femme. C’était une vraie question et pas une marque de politesse pure et dure.
(✰) message posté Mer 29 Mar 2017 - 13:27 par Invité
weekly visit to the association between a journalist and a police officer.
Raina & Lou-Ann
Au sein de l'association, Lou Ann n'a pas le statut de « bénévole. » Elle n'a que le statut de « victime » à la recherche « d'aide », de « conseils » et « d'écoute. » Alors en se rendant là bas une à plusieurs fois par semaine, la trentenaire ne prétend pas être en mesure de représenter un quelconque soutien aux autres victimes d'abus sexuels. D'où les conversations « simples » que la journalise sportive entretient avec l'ensemble des personnes qui fréquentent aussi les locaux de l'association. Pareil avec l'ensemble des bénévoles à l'exception de Raina. Cela c'est sans aucun(s) doute(s) parce que la jeune femme n'est pas encore capable ou ce n'est pas encore possible de mettre cet événement traumatique dans un « coin » de sa tête et d'avancer à nouveau sans crainte(s) lorsqu'il y a encore des conséquences de ce « cauchemar » qui ponctuent son quotidien. C'est à cause de ces dernières que Lou Ann remet les pieds toutes les semaines dans la grande pièce avec des paquets de pâtisseries. Ce ne sont jamais les mêmes. Cela change en fonction des propositions du magasin dans lequel la trentenaire s'arrête sur le trajet. Alors, au « Heureusement, que tu n’as pas rapporté des donuts, ça au-rait été un vrai cliché si j’en mangeai. » de la policière, la jeune femme accompagne son « Il y en avait. J'aurai pu en prendre. Ils avaient l'air trop bons ! » d'un grand sourire inscrit sur sur ses lèvres. Ceci avant que ces dernières ne la « trahissent » en laissant apparaître qu'après le fait qu'au mois d'octobre Jake ait apprit que Timeo est peut être son fils ; le mois sans nouvelles de sa part ; la rencontre à la Winter Wonderland où il a apprit pou son agression et qu'il a pris la décision d'être son père sans faire le test, qu'un nouveau rebondissement que Raina ignore encore a eu lieu. Alors à son « Je vais bien merci. Allez, dis-moi la vérité maintenant, qu’est ce qui ne va pas ? » la trentenaire croise les bras contre sa poitrine avant de s'adosser à la table tandis qu'un « Il a fait le test .. » se fraye en chemin entre ses lèvres qui laissent apparaitre une autre grimace dans un haussement d'épaules.
(✰) message posté Jeu 13 Avr 2017 - 18:21 par Invité
weekly visit to the association between a journalist and a police officer.
Raina & Lou-Ann
Depuis plusieurs années Raina avait passé le cap face à son viol. Elle en avait longtemps souffert, ne s’était ouvert que bien tard par rapport à cet évènement de sa vie pour lequel elle avait d’abord cru être de sa faute. Elle avait relégué la chose bien en arrière de son crâne, il n’était pas tapi sous des tas de poussière mais s’effaçait de plus en plus et parfois, elle l’acceptait comme un ami et lorsque ce n’était pas le cas, elle allait voir son psy pour en parler. Devenir bénévole l’avait aidé à accepter encore plus la chose et elle avait toujours désiré aider les autres alors c’était l’occasion parfaite. Et Lou’ était presque une preuve de ça. Elle savait que la jeune femme n’avait pas encore réussi à passer outre et le fait qu’elle ait peut être un fils qui était peut être selon de son violeur ne devait pas aider. La jeune femme ne comprenait pas comment elle avait pu vouloir garder l’enfant bien qu’elle ait fait un déni de grossesse. Comment se remettre d’un tel évènement si vous avez toujours quelqu’un pour vous rappeler la chose ? Lou’ avait fait des progrès bien sûr mais ce n’était pas terminé et ça ne le serait probablement jamais.
Elles plaisantèrent alors sur les pâtisseries et Lou-Ann lui avoua qu’il y avait bien des donuts mais que ce n’était pas ce qu’elle avait choisi ce qui au fond allait très bien à la policière. Le cliché policière/donuts n’était pas son truc. Elle assista alors pour savoir ce qui n’allait pas avec Lou’-Ann. Si elle n’avait pas envie de lui en parler, elle serait le lui dire, elle n’avait pas le moindre doute là-dessus. La brunette lui annonça alors la nouvelle. Raina resta un instant sans voix. La policière n’ignorait pas que la jeune femme avait revu la personne qui pourrait être le père de son fils et que si ce n’était pas le cas, cela signifierait alors que son violeur était le père de son enfant. La blondinette ignorait comment Lou’ pouvait rester si calme. Elle espérait que la meilleure chose pour elle soit la bonne mais elle ne savait pas si c’était le cas. « C’est le père ? » Elle ne savait pas trop si elle avait envie d’en parler ou juste de parler en monosyllabe. C’était peut-être plus facile de dire seulement oui ou non que parler plus longuement bien que la brunette savait qu’elle pouvait compter sur Raina. Si elles ne se voyaient pas en dehors de l’association, Raina lui avait cependant donné son numéro si elle avait besoin de parler à n’importe quel moment de la journée.
(✰) message posté Mar 18 Avr 2017 - 16:09 par Invité
weekly visit to the association between a journalist and a police officer.
Raina & Lou-Ann
Ce n'est pas encore possible pour Lou Ann de mettre cet événement traumatique dans un « coin » de sa tête et d'avancer à nouveau sans crainte(s) lorsqu'il y a encore des conséquences de ce « cauchemar » d’à peine quelques minutes qui ponctuent sa vie quotidienne. A l'époque, la journaliste sportive a fait le récit de plusieurs « péripéties » auprès de « sa » bénévole, Raina : n°1, l’agression ; n°2, la rupture inévitable avec Jake ; n°3, le déni de la naissance prochaine d'un enfant et n°4, les 1ers pas avec un enfant qui a 50% de « chances » d'être le fils de Jake et 50% de « chances » d'être le fils de l'homme qui s'est fait « plaisir » avant de disparaître dans la nuit ! Aujourd'hui, la jeune femme à aussi fait le récit de nouvelles « péripéties » à Raina : n°1, l'annonce « surprise » à Jake qu'il a « peut être » un fils au mois d'octobre ; n°2, le mois de novembre sans nouvelles de la part du reporter de la BBC et n°3, la rencontre de Jake et du garçon de 2 ans à la Fête Foraine au mois de décembre. Maintenant, il y a l' épreuve du « test » déterminant si « oui ou non » l'ancien compagnon de Lou Ann est le père de ce bonhomme. A son « C’est le père ? », la trentenaire fait un nouveau mouvement d'épaules de haut en bas. Une grimace accompagne son « Je ne sais pas .. Je suis partie avant qu'il n'ouvre l'enveloppe .. » tandis que sa tête se baisse vers le sol de la pièce. Après son, « Je n'étais pas prête à connaître les résultats .. » Lou Ann tourne la tête vers la jeune femme à la chevelure blonde avec une expression « tristounette » inscrite sur le visage. Enfin, après son « J'étais venue pour ça .. Mais, je ne m'attendais pas à ce qu'il l'ai déjà fait. » la journaliste sportive « souffle » avant de prendre une des mignardises du Beth's Bistrot et la porter à ses lèvres.
(✰) message posté Mar 25 Avr 2017 - 18:35 par Invité
weekly visit to the association between a journalist and a police officer.
Raina & Lou-Ann
Raina savait que Lou-Ann avait revu Jake et que ça l’avait un peu bouleversé. La blonde ne savait pas vraiment comment elle arrivait à gérer ce couteau qui se retournait dans une plaie non guérit. Serait-elle d’ailleurs un jour guérit ? Elle en doutait quelque peu malgré qu’elle sache que la brunette soit persévérante ou sinon, ce ne serait que dans quelques années. Elle ne voyait pas la jeune femme réussir à passer le pallier pour le moment. Elles travaillaient ensemble pour ça mais il était aussi vrai que Raina n’était pas psy et qu’elle n’avait pas les compétences requises pour être plus qu’une simple aide. Elle devrait peut-être prendre des cours pour tenter de pouvoir aider encore mieux les personnes qui passaient le pas de la porte de l’association. Cependant, si elle y avait déjà pensé, il fallait avouer qu’avec son travail, ce n’était pas vraiment possible. Elle avait des horaires bien trop disparate pour pouvoir prendre des cours ou sinon, en déporté peut être mais ça ne l’intéresserait pas le moins du monde, pas pour ce genre de cours en tout cas.
Elle écouta alors la jeune femme parler tandis qu’elle avait haussé les épaules à sa question. Elle ignorait si c’était le père, était parti avant. Raina ne comprenait pas trop pourquoi mais après tout, si Lou’ voulait que Jake fasse le test, elle n’était pas prête à assumer la réponse ne s’y attendant pas ce que son amie lui confirma. « Je comprends, tu ne t’y attendais pas mais ce sera pour la prochaine fois, le temps d’assimiler la chose.. » En fait, non elle ne comprenait pas, elle n’avait jamais vécu ça de sa vie mais elle tentait de comprendre et de se mettre à sa place. Ce n’était pas facile bien qu’elle soit assez empathique. Dans ce cas-là, elle arrivait plus facilement à la comprendre plutôt que de comprendre comment elle avait pu garder un enfant qui était peut être le fils d’un possible agresseur sexuel malgré un déni de grossesse. Raina était persuadée qu’elle l’aurait mis à l’adoption mais là encore, elle ne trouvait pas dans la position de Lou-Ann et avait décidé d’arrêter de chercher à comprendre. Elles en avaient plusieurs fois discuté et savait que ce n’était pas facile. « Tu te disais peut être qu’il prendrait soin de Timéo sans en demander plus ? » Raina ne savait pas vraiment comment Lou’ avait vu les choses comme ça. Elle s’attendait peut être à ce que Jake lui en parle avant.
(✰) message posté Mer 10 Mai 2017 - 22:55 par Invité
weekly visit to the association between a journalist and a police officer.
Raina & Lou-Ann
Lou Ann fait un mouvement d'épaules de haut en bas au « Je comprends, tu ne t’y attendais pas mais ce sera pour la prochaine fois, le temps d’assimiler la chose .. » de son amie. Cela lui a pris plusieurs mois afin que son corps s'arme de courage en faisant abstraction de ses peurs concernant les résultats dans l'objectif qu'ils réalisent ce test afin qu'ils n'aient plus aucuns doutes sur l'homme qui partage le même patrimoine génétique que son fils. Combien de temps ça aurait pris afin que Lou Ann soit « en mesure » de faire le test .. Combien de temps ça aurait pris afin que Lou Ann soit « en mesure » de lire les résultats .. C'est peut être mieux qu'il soit fait. C'est peut être mieux que Jake apprenne le contenu dans l'enveloppe blanche dans les prochaines heures. Après son « Je t'enverrai un message dès qu'il m'a mise au courant. » Lou Ann avale la dernière partie de la pâtisserie qu'une de ses mains tient. Elle fait un mouvement de la tête de droite à gauche après le « Tu te disais peut être qu’il prendrait soin de Timéo sans en demander plus ? » de Raina. « Je .. Non .. Je ne sais pas .. Peut être. » Elle fait un haussement d'épaules de haut en bas. « J'aurais juste voulu qu'il m'en parle .. » Une grimace apparaît sur ses lèvres. « Enfin .. Au final, c'est bien non ? Ça va peut être me permettre d'aller de l'avant .. Plus ou moins facilement en fonction des résultats du test. Mais, bon .. » Elle ne peut s'empêcher de prendre une autre pâtisserie.
(✰) message posté Lun 22 Mai 2017 - 22:14 par Invité
weekly visit to the association between a journalist and a police officer.
Raina & Lou-Ann
Raina était contente de ne pas s’être retrouvée dans la même situation que son amie. Si cela avait été le cas, elle aurait probablement avorté ou alors mis l’enfant pour l’adoption. Elle ne se serait pas vu avoir toute sa vie sous ses yeux le souvenir de son viol. Bien qu’elle ne doute pas du tout que Timéo soit un enfant adorable. Elle ne savait vraiment pas comment Lou arrivait à gérer les choses et d’un côté comprenait mieux pourquoi elle n’était pas complètement « guérit » de la chose. Lorsque la journaliste lui dit qu’elle lui dirait ce qu’elle en était, Raina ne put s’empêcher de poser sa main sur son épaule. « Oui, je veux savoir. Et tu m’appelles à n’importe quelle heure du jour et de la nuit, tu le sais ça. » [/color]Enfin presque n’importe quelle heure parce qu’en patrouille, elle ne pouvait pas se permettre d’avoir son portable sur elle mais elle rappellerait à la fin. Après, si Lou-Ann ne l’appelait pas, elle ne lui en voudrait pas. Elle serait juste déçue parce qu’elle s’était attachée à la jeune mère et au fait que ce n’était pas facile à vivre mais qu’elle pouvait vraiment compter sur elle si besoin.
Lou n’avait pas vraiment l’air de savoir quoi penser et au fond, raina ne pouvait que se dire que dans la même situation, elle serait pareil. Après tout, comment réagir en apprenant qu’une personne à fait un test de paternité sans vous mettre dans la confidence. Surprise ? Vexée ? Peut être des deux ce qui pouvait se comprendre tout en se disant que ça devait pas être facile pour l’homme qui ne savait pas s’il était père ou non. Lorsqu’elle demanda plus ou moins si c’était une bonne chose, Raina ne put s’empêcher de dire. « Oui, je pense que c’est une bonne chose. Je ne sais pas ce que tu espères mais d’un côté, j’espère vraiment pour toi que c’est lui le père. Ca te permettra plus facilement de tourner la page et d’avoir une autre vision des choses. Si ce n’était pas un viol, c’était une histoire sans lendemain et c’était plus facile à accepter non ?