(✰) message posté Jeu 2 Fév 2017 - 19:43 par Invité
Flora Parsons
London calling to the faraway towns
NOM(S) : Parsons, comme le nom du célèbre politicien anglais, patronyme qu’elle porte plus ou moins avec fierté. ça dépend des jours. PRÉNOM(S) : flora, doux prénom de la déesse romaine des fleurs et du printemps. choix parfait par ses parents, puisqu’elle est née au printemps. GE : vingt sept ans. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : un sept mai fleuri, à londres. NATIONALITÉ : anglaise par son père, italienne par sa mère. STATUT CIVIL : amoureuse d’un héritier faussement snob et arrogant. MÉTIER : architecte d’intérieur. TRAITS DE CARACTÈRE : romantique, exigeante malgré elle, dynamique, obstinée, sensible, honnête voire un peu trop franche, rancunière sur certains points, terre à terre, loyale, trop perfectionniste, attentionnée, naturelle, ambitieuse, généreuse, indépendante, fragile, beaucoup trop maniaque. GROUPE : black cabs.
My style, my life, my name
avec un papa politicien et une maman attachée de presse, flora a grandi dans un environnement différent de ceux de ses camarades, digne d’un scénario américain. ses parents ont toujours plus ou moins fasciné la presse, sa mère étant considérée comme la femme de l’ombre, celle à l’origine du succès politique de papa parsons. flora, elle, a toujours détesté la politique. elle n’y trouve aucun intérêt. ✻ elle a une relation conflictuelle avec sa mère. vera parsons est une femme influente, avide de pouvoir, trop exigeante, qui en a toujours demandé trop à sa fille. elle a été élevée d’une main de fer, à la baguette comme diraient certains. flora lui en veut. ✻ son métier est sa passion. le dessin et la décoration l’ont toujours inspiré. elle aime créer et rénover, inventer et innover. ✻ fille unique, elle aurait aimé avoir un frère ou une soeur avec qui jouer. pour se sentir moins seule, pour partager. ✻ claustrophobe, elle ne prend quasiment jamais l’ascenseur, sauf par nécessité. les petits espaces l’oppressent et l’angoissent. ✻ le vin blanc est sa boisson de choix. ✻ tous les matins ou presque, elle met un point d’honneur à aller courir dans le parc le plus proche. ✻ pour certains, flora peut apparaître comme étant quelque peu coincée, mais il suffit d’apprendre à la connaître, pour se rendre compte que ce n’est pas du tout le cas. ✻ il y a trois ans, elle a perdu son fiancé dans un accident de voiture. le deuil a été long et difficile. elle ne pensait pas retrouver l’amour un jour. ✻ elle sait jouer parfaitement du piano. petite, sa mère lui imposait des cours réguliers, chaque semaine, que ça lui plaise ou non. ✻ à moitié italienne, elle a passé la plupart de ses étés en italie, jusqu’à sa majorité. elle adore le pays, la cuisine, la culture, la langue. elle affiche fièrement ses origines. il paraît qu’elle fait les meilleures lasagnes du coin. elle parle, également, italien couramment. ✻ ambitieuse et bourreau de travail, elle prend rarement des vacances. pourtant, elle adore voyager. ses proches lui répètent souvent qu’elle est folle de ne pas en profiter tant qu’elle le peut. ✻ elle a un tatouage derrière la nuque : un avion en papier qui s’envole. sa mère voit ça comme un signe de rébellion, alors qu’elle, le voit plutôt comme un signe d’émancipation. ✻ flora est maniaque, voire trop maniaque. elle fait partie de ces gens chez qui il est rare de trouver du bazar, de la poussière, de la vaisselle sale dans l’évier. ✻ elle a un chat, fripouille, qu’elle adore. ✻ elle a retrouvé l’amour, récemment, avec aiden arlington, un snob arrogant qui a su s’infiltrer dans son coeur. ✻ elle l’ignore, mais sa mère cache un lourd secret, une vie cachée, que personne ne connaît.
PSEUDO : timeless. PRÉNOM : bérénice, boubou, bé, bébé, bbcue, au choix GE : vingt trois ans. PERSONNAGE : inventé, toute seule comme une grande AVATAR : margot goddess robbie CRÉDITS : morrigan + tumblr COMMENT ES-TU TOMBÉ(E) SUR LC ? : sur les fesses CE COMPTE EST-IL UN DOUBLE-COMPTE ?: nope, juste la refonte du premier d’une longue série
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(✰) message posté Jeu 2 Fév 2017 - 19:43 par Invité
At the beginning
PRINTEMPS 1995 ; L’herbe était fraîche sous la plante de ses pieds, se coinçait entre ses orteils, la chatouillait, la faisait rire d’un rire naïf et juvénile. Ses yeux bleus se relevèrent et se posèrent sur le visage illuminé, par le faible soleil, de son père. Son regard brillait avec malice et son sourire était sincère, moins crispé que d’habitude. C’était le sourire qu’il ne réservait qu’à elle, elle le savait. Ses brefs instants de père et fille, seuls, étaient rares. Trop rares. Son travail de politicien lui prenait du temps, lui demander d’être à des endroits, tout le temps, même pendant les fêtes. Mais il mettait un point d’honneur à ne jamais rater son anniversaire. Flora avait sept ans aujourd’hui. Une pile de cadeaux l’attendait, posés au pied de la cheminée, comme à Noël, mais elle s’en fichait. Pouvoir profiter de son père ainsi, était pour elle, le plus beau des cadeaux. Mère les regardait depuis la fenêtre, elle le savait, elle sentait son regard brûler des trous dans la peau de son dos. Mère n’aimait pas voir Flora jouer dans l’herbe, ça tâchait, ça faisait des traces vertes difficiles à faire partir sur les robes blanches de créateurs. Un autre rire s’échappa du fond de sa gorge, alors que son père la posa sur ses épaules. « Tiens-toi bien, ma chérie. » Ses doigts agrippèrent automatiquement des mèches de cheveux, pour ne pas tomber en arrière. C’était une si belle journée, pour souffler sept bougies.
ETE 2005 ; Le soleil caressait sa peau, la réchauffait, la rendait hâlait, blondissait ses cheveux. Le sable était chaud sous ses doigts, elle traçait des cercles sans but précis, la conversation de ses cousins et cousines, juste un bruit de fond. Ses pensées étaient ailleurs, loin de l’Italie, et de cette plage à des kilomètres de Rome. C’était son dernier été en famille. Bientôt, elle aurait dix-huit ans. Bientôt, elle rentrerait à la fac, et cesserait de passer quelconque vacances avec ses parents. C’est ce qu’elle voulait, ce qu’elle attendait, depuis un moment maintenant. Si elle aimait l’Italie, la gastronomie, la langue, Rome, elle voulait son indépendance, elle voulait s’émanciper. Retrouver une sorte d’anonymat. S’éloigner de la politique et de ce monde qu’elle ne comprenait pas. Avoir des parents sous le feu des projecteurs n’est pas aussi glamour qu’il n’y paraît. Le statut de Reine des Glaces de sa mère était lourd à porter. Surtout lorsque l’on sait que ce n’est pas qu’une simple façade. Elevée d’une main de fer, elle n’avait qu’une hâte, partir. Loin, si elle le pouvait. Sa passion, à elle, c’était le dessin, l’art, inventer, réinventer, décorer. Elle voulait devenir architecte d’intérieur, et elle y arriverait, elle le ferait. « Flora, vieni ? » Elle releva la tête pour croiser le regard de son cousin, prêt à se jeter à l’eau. Un sourire se dessina sur ses lèvres, alors qu’elle se leva péniblement. « J’arrive ! »
AUTOMNE 2012 ; Les feuilles recouvraient les rues de Londres, les allées du parc, les étendues d’herbe. Elles volaient et tourbillonnaient au rythme du vent, se déposaient sur les voitures, les gens, le toit des immeubles. L’automne était une saison bizarre. La nature se mourrait, commençait une longue hibernation, jusqu’au printemps, où tout renaîtrait, où tout fleurirait. C’était fascinant, et étrange à la fois. Matthew adorait l’automne, pour une raison qui lui échappait. Flora, elle, aimait le soleil, aimait les fleurs, le printemps, l’été. Tout était plus beau avec du soleil, alors que l’automne arborait des couleurs monotones. De l’orange, du marron, du gris quand il pleuvait, du gris parce que le soleil ne brillait pas. Il adorait Halloween, aussi. Pouvoir se déguiser, et prétendre être une autre personne le temps d’une soirée, pouvoir manger des bonbons par dizaines. Il avait gardé cette âme d’enfant, cette nature juvénile, même à vingt-quatre ans. Il était parti trop tôt. La voiture l’avait fauché trop rapidement, trop vite, elle ne l’avait pas vu traverser. Sa bague de fiançailles tournait entre son index et son pouce. Son poids, si léger avant, semblait peser une tonne maintenant. Le diamant brillait, semblait la narguer. Flora plaça la bague dans son écrin, avant de déposer ce dernier dans un carton, avec tous leurs souvenirs. Tous ces souvenirs qu’elle ne pouvait plus voir. Tous ces souvenirs qu’elle devait cacher, ranger, pour avancer, pour continuer de vivre. Sans lui.
HIVER 2016 ; Londres était magique, à Noël. Les illuminations rendaient la ville féerique, belle à voir. Flora adorait cette période de l’année. Il avait beau faire froid, la neige avait beau recouvrir les trottoirs pavés, Décembre était le seul mois où Flora acceptait le froid. Depuis la grande baie vitrée de l’appartement d’Aiden, on pouvait apercevoir, au loin, la magie de Noël. Ses jambes étaient étendues sur celles du jeune homme. Ses doigts lui caressaient doucement les mollets, de caresses lentes et douces. Elle aimait les moments comme ceux-là, où tout était calme, où personne d’autre n’existait qu’eux deux. Les flammes de la cheminée se reflétaient sur les traits fatigués du visage d’Aiden. « Je suis contente que tu sois rentrée, » murmura-t-elle, doucement. L’hôpital l’avait laissé sortir quelques heures plus tôt. Sa plaie cicatrisait lentement, mais sûrement. Une stupide agression à l’arme blanche, parce qu’il ne voulait pas lui donner son portefeuille. C’était ridicule, stupide, irréfléchie. Flora avait eu peur, tellement peur. Des tas de scénarios s’étaient mélangés dans sa tête. Le perdre n’était pas envisageable. Pas maintenant, pas après. Jamais. Les sentiments qu’elle avait pour lui étaient forts, et tellement sincères. Ils n’étaient pas comparables à ceux qu’elle avait porté pour Matthew. L’amour était différent, avec chaque personne. Néanmoins, ses sentiments étaient vrais. Une main se posa, inconsciemment, sur son ventre. Il n’avait pas grossi, pas encore, rien n’était visible. Le petit être qui grandissait en elle, n’avait que quelques semaines. Elle ne lui avait pas dit, pas encore. Parce qu’elle avait peur. Peur de sa réaction connaissant son passé. Peur, parce que c’était trop tôt. Ils n’étaient ensemble que depuis quelques mois seulement. Pourtant, il fallait bien qu’elle lui dise, pas vrai ?
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(✰) message posté Jeu 2 Fév 2017 - 19:45 par Invité
EDIT / le titreee ma boubouuuuu, t'es toujours aussi belle et flora et toujours aussi parfaite
"STATUT CIVIL : amoureuse d’un héritier faussement snob et arrogant." le reginald assume totalement
Jake O. Cavendish
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(✰) message posté Jeu 2 Fév 2017 - 19:45 par Jake O. Cavendish
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(✰) message posté Jeu 2 Fév 2017 - 19:54 par Invité
Ouf j'ai eu peur que t'ai plus Margot en ouvrant la page Trop de changements dans la même journée Elle est trop canon pour l'abandonner anyway. Je suis curieuse de voir les changements quand même.
Ethan I. Hemsworth
Guyliner.
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(✰) message posté Jeu 2 Fév 2017 - 19:54 par Ethan I. Hemsworth
City of stars there's so much that I can't see Re-bienvenue & courage pour ta fiche
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(✰) message posté Jeu 2 Fév 2017 - 19:56 par Invité
WHO KNOWSSSSSSSSS, I FELT IT FROM THE FIRST EMBRACE Toujours aussi belle la Flora
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(✰) message posté Jeu 2 Fév 2017 - 19:58 par Invité
(Re)Bienvenue à la maison
Vous avez le courage de refaire vos fiches quoi
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(✰) message posté Jeu 2 Fév 2017 - 20:23 par Invité
re-bienvenue
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(✰) message posté Jeu 2 Fév 2017 - 21:20 par Invité
flora est tellement belle, margot quoi hâte de voir les changements bon courage pour cette nouvelle fiche